PIROXICAM

PIROXICAM

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 21/12/2000
Etat : validée

  • Identification de la substance
  • Propriétés Pharmacologiques
  • Mécanismes d’action
  • Effets Recherchés
  • Indications thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Effets sur la descendance
  • Pharmaco-Dépendance
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Voies d’administration
  • Posologie & mode d’administration
  • Pharmaco-Cinétique
  • Bibliographie
  • Spécialités contenant la substance

    Identification de la substance

    Formule Chimique :
    HYDROXY-4 METHYL-2 N-PYRIDYL-2 2H-BENZOTHIADIAZINE-1,2 CARBOXAMIDE-3 DIOXYDE-1,1

    Ensemble des dénominations


    CAS : 36322-90-4
    DCF : PIROXICAM

    DCIR : PIROXICAM

    autre dénomination : CP-16171

    bordereau : 2594

    sel ou dérivé : ISOXICAM

    sel ou dérivé : TENOXICAM

    Classes Chimiques


    Regime : liste I

    1. ANTIINFLAMMATOIRE (principale certaine)
    2. ANTIINFLAMMATOIRE NON STEROIDIEN (principale certaine)
    3. ANALGESIQUE (principale certaine)
    4. ANALGESIQUE PERIPHERIQUE (principale certaine)
    5. ANTIPYRETIQUE (principale certaine)
    6. INHIBITEUR DE LA SYNTHESE DES PROSTAGLANDINES (principale certaine)
      Inhibiteur de la cyclo-oxygénase:
      – Prostaglandines 1980;19:51-59.
    7. ANTIAGREGANT PLAQUETTAIRE (secondaire certaine)
      – Experientia 1979;35:797-798.
      – Clin Pharmacol Ther 1978;23:134-135.
    8. URICOSURIQUE (secondaire certaine)
      Inhibition de la réabsorption de l’acide urique.
    9. SUBSTRAT DU CYTOCHROME P450 2C9 (principale certaine)
    10. SUBSTRAT DU CYP 2C9 (principale certaine)

    Mécanismes d’action

    1. principal
      Inhibiteur de la cyclo-oxygénase.
      Puissant inhibiteur de la synthèse des prostaglandines.

    1. ANTIINFLAMMATOIRE (principal)
    2. ANTALGIQUE (principal)
    3. ANTIPYRETIQUE (accessoire)

    1. RHUMATISME INFLAMMATOIRE (principale)
      Traitement symptomatique des poussées aiguës :
      – Curr Ther Res Clin Exp 1980;27:852-859.
    2. ARTHROSE (principale)
      Traitement symptomatique des poussées aiguës.
    3. RHUMATISME ABARTICULAIRE (principale)
      Traitement symptomatique de courte durée des poussées aigües.
    4. GOUTTE(TRAITEMENT DE LA CRISE) (secondaire)
      Traitement symptomatique de courte durée de la crise de goutte.
    5. DOULEUR (à confirmer)
      Dans les douleurs aigües et chroniques: efficacité suggérée par l’analysee de 86 essais incluant plus de 10.000 malades:
      – BMJ 1998;316:333-338.
    6. CANCER DU COLON(PREVENTION) (à confirmer)
      Diminution du risque relatif en cas de traitement par les AINS; étude cas-témoins avec aspirine, indometacine, piroxicam:
      – Cancer1998;82:2326-2333.

    1. ULCERATION OESOPHAGIENNE (CERTAIN )
      Quatre cas (les conditions de prise médicamenteuse ne sont pas mentionnées) :
      – B M J 1990;300:1018.
    2. ASTHENIE (CERTAIN RARE)
    3. HYPERSUDATION (CERTAIN RARE)
    4. OEDEME (CERTAIN RARE)
      Liés à la rétention hydrosodée.
    5. POIDS(AUGMENTATION) (CERTAIN RARE)
      Liée à la rétention hydrosodée.
    6. INSUFFISANCE CARDIAQUE(AGGRAVATION) (CERTAIN TRES RARE)
      En rapport avec la rétention hydrosodée :
      – Br Med J 1983;287:835.
    7. HYPERTENSION ARTERIELLE(AGGRAVATION) (CERTAIN )
      Méta-analyse de plus de sept cents sujets hypertendus traités principalement par les bêta-bloquants, la pression moyenne est élevée de cinq millimètres de mercure :
      – Ann Intern Med 1994;121:289-300.
    8. DYSURIE (CERTAIN TRES RARE)
    9. HEMATURIE (CERTAIN TRES RARE)
      Liée à une thrombopénie.
    10. UREE SANGUINE(AUGMENTATION) (CERTAIN FREQUENT)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      FORTES DOSES

      Le plus souvent isolée et transitoire :
      – Am J Med 1982;72,Suppl2A:54-57.

    11. CREATININEMIE(AUGMENTATION) (CERTAIN RARE)
      – Arch Intern Med 1984;144:63-64.
    12. INSUFFISANCE RENALE AIGUE (CERTAIN TRES RARE)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      SUJET AGE
      DESHYDRATATION
      CIRRHOSE DECOMPENSEE
      SYNDROME NEPHROTIQUE
      TRAITEMENT DIURETIQUE
      INSUFFISANCE CARDIAQUE
      NEPHROPATHIE PREEXISTANTE
      LUPUS ERYTHEMATEUX DISSEMINE

      En rapport avec l’effet inhibiteur sur la synthèse des prostaglandines empêchant l’adaptation circulatoire rénale à l’hypoperfusion favorisée par les états d’hypoperfusion rénale et/ou d’hypovolémie :
      – Arch Intern Med 1984;144:63-64.
      – Therapie 1989;43:504.

    13. NEPHROPATHIE INTERSTITIELLE AIGUE (CERTAIN TRES RARE)
      – Arch Intern Med 1984;144:63-64.
      Un cas après usage d’un gel cutané :
      – Med Hyg 1994;52:213.
    14. PROTEINURIE (CERTAIN TRES RARE)
    15. SYNDROME NEPHROTIQUE (CERTAIN TRES RARE)
      – Arch Intern Med 1984;144:63-64.
      Un cas après usage d’un gel cutané :
      – Med Hyg 1994;52:213.
    16. ERUPTION CUTANEE (CERTAIN RARE)
      A type d’érythème généralisé ou polymorphe, d’éruption bulleuse. Nécessite l’arrêt immédiat du médicament.
    17. ERYTHRODERMIE (A CONFIRMER )
      Un cas :
      – Bord Med 1982;15:469-470.
    18. ERYTHEME POLYMORPHE (CERTAIN TRES RARE)
      – Ann Dermatol Venereol 1982;109:255-258.
    19. ERYTHEME PIGMENTE FIXE (A CONFIRMER )
      Deux cas, avec réaction croisée avec d’autres ‘oxicam’ :
      – Allergy 1995;50:741-744.
    20. SYNDROME DE STEVENS-JOHNSON (CERTAIN TRES RARE)
      Références :
      – Ann Dermatol Vénérol 1982;109:261-262.
      – N Engl J Med 1995;333:1600-1607.
    21. SYNDROME DE LYELL (CERTAIN TRES RARE)
      Plusieurs cas dont un mortel :
      – Presse Med 1981;10:3407-3408.
      – Bord Med 1982:15:469.
      Le risque le plus élevé parmi les AINS :
      – N Engl J Med 1995;333:1600-1607.
    22. ECZEMA (CERTAIN TRES RARE)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      PHOTOSENSIBILISATION

      Deux cas :
      – Cutis 1985;35:485-486.

    23. DERMATITE DE CONTACT (CERTAIN TRES RARE)
      Un cas après utilisation sous forme de gel :
      – Contact Dermatitis 1992;27:261.
    24. PHOTOSENSIBILISATION (CERTAIN RARE)
      Mécanisme phototoxique probable. Eruption bulleuse et prurit au niveau des zones exposées :
      – Ann Dermatol Vénérol 1982;109:255-258.
      – N Engl J Med 1983;309:186-187.
      Un cas :
      – Acta Derm Venerol 1983;63:557-558.
      Augmente la sévérité du lupus érythémateux:
      – Dermatologica 1990;182:56-58.
      Augmente la sévérité du syndrome de Sj–gren:
      – Cutis 1987;39:37-39.
    25. PURPURA THROMBOPENIQUE (CERTAIN TRES RARE)
      Soit thrombopénique, soit dans le cadre d’un syndrôme de Schonlein-Henoch. Un cas de purpura thrombopénique :
      – Clin Exp Rheumatol 1987;5:298-300.
    26. ULCERATION DE LA BOUCHE (CERTAIN TRES RARE)
      – Eur J Rheumatol Inflam1978;1:349.
    27. SECHERESSE DE LA BOUCHE (CERTAIN RARE)
    28. NAUSEE (CERTAIN FREQUENT)
    29. VOMISSEMENT (CERTAIN RARE)
    30. DOULEUR EPIGASTRIQUE (CERTAIN FREQUENT)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      ANTECEDENTS ULCEREUX
      GASTRITE
      HERNIE HIATALE
    31. DOULEUR ABDOMINALE (CERTAIN RARE)
    32. DIARRHEE (CERTAIN RARE)
      Un cas avec colite lymphocytaire:
      – Presse Med 1999;28:735-737.
    33. GASTRITE (CERTAIN FREQUENT)
      Serait l’AINS le plus gastrotoxique selon une étude italienne conduite entre 1993 et 1994:
      – Eur J Clin Pharmacol 1998;54:393-397.
    34. ULCERE GASTRODUODENAL (CERTAIN RARE)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      FORTES DOSES
      TRAITEMENT PROLONGE
      ANTECEDENTS ULCEREUX
      ASSOCIATION A L’ASPIRINE

      Nécessite l’arrêt du traitement :
      – Br Med J 1985;290:117.

    35. HEMORRAGIE DIGESTIVE (CERTAIN RARE)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      SUJET AGE
      FORTES DOSES

      A type d’hématémèse ou de méléna, nécessite l’arrêt immédiat du traitement :
      – Lancet 1982;1:1302-1303.

    36. TOXICITE HEPATIQUE (CERTAIN TRES RARE)
      Quelques cas d’atteinte hépatique :
      – Arch Intern Med 1984;144: 63-64.
      – Bord Med 1982;15:469-470.
      Un cas mortel :
      – Br Med J 1986;293:540-541.
      – Gastroenterol Clin Biol 1987;11:712.
    37. TRANSAMINASES(AUGMENTATION) (CERTAIN TRES RARE)
      Augmentation le plus souvent isolée, modérée et transitoire.
    38. PHOSPHATASES ALCALINES(AUGMENTATION) (CERTAIN TRES RARE)
      Augmentation le plus souvent isolée, modérée et transitoire.
    39. BILIRUBINEMIE CONJUGUEE(AUGMENTATION) (CERTAIN TRES RARE)
    40. HEPATITE CHOLESTATIQUE (CERTAIN TRES RARE)
      Un cas (+ 6 dans la littérature) :
      – Gastroenterology 1991;101:1737-1740.
    41. HEPATITE MIXTE (CERTAIN TRES RARE)
      Un cas mortel :
      – Br Med J 1986;293:540-541.
      – Therapie 1989;43:504.
      Un cas réversible à l’arrêt du médicament :
      – Am J Gastroenterol 1990;85:898-899.
    42. HEPATITE CYTOLYTIQUE (CERTAIN TRES RARE)
      Un cas :
      – Am J Gastroenterol 1990;85:468-470.
    43. HEPATITE FULMINANTE (CERTAIN TRES RARE)
      Un cas :
      – Am J Gastroenterol 1990;85:468-470.
      Deux cas, un mortel et un ayant nécessité une greffe :
      – Gut 1992;33:1436-1438.
    44. ANEMIE (CERTAIN TRES RARE)
      En rapport le plus souvent avec un saignement digestif occulte ou une hémodilution :
      – J Rheumatol 1977;4:393-404.
    45. ANEMIE HEMOLYTIQUE (CERTAIN TRES RARE)
      – Therapie 1989;43:504.
    46. LEUCOPENIE (CERTAIN TRES RARE)
    47. THROMBOPENIE (CERTAIN TRES RARE)
      – Br Med J 1982;284:311-312.
      – Drugs of Today 1980;16:115.
    48. TEMPS DE SAIGNEMENT(ALLONGEMENT) (CERTAIN RARE)
      Lié à l’effet antiagrégant plaquettaire.
    49. SOMNOLENCE (CERTAIN FREQUENT)
    50. VERTIGE (CERTAIN FREQUENT)
    51. CEPHALEE (CERTAIN FREQUENT)
    52. ACOUPHENE (CERTAIN TRES RARE)
    53. FLOU VISUEL (CERTAIN TRES RARE)
    54. REACTION D’HYPERSENSIBILITE (CERTAIN RARE)
      Le plus souvent à type de manifestations cutanées, plus rarement atteinte hépatique, rénale ou hématologique. Nécessitent l’arrêt immédiat du médicament.
    55. PURPURA RHUMATOIDE (A CONFIRMER )
      – Br Med J 1982;284:311-312.
    56. APLASIE MEDULLAIRE (A CONFIRMER )
      Un cas d’imputabilité douteuse :
      – Lancet 1982;1:1186.
    57. ANEMIE APLASTIQUE (A CONFIRMER )
      Un cas :
      – Br J Haematol 1991;77:256-257.
    58. PEMPHIGUS (A CONFIRMER )
      Un cas mortel :
      – N Engl J Med 1983;309:795-796.
    59. ERUPTION LICHENOIDE (A CONFIRMER )
      Un cas généralisé 10 jours après l’instauration du traitement chez un sujet âgé :
      – Eur J Dermatol 1993;3:156-157.
    60. STENOSE DE L’INTESTIN GRELE (A CONFIRMER )
      – Gastroenterology 1988;94:1070-1074.
    61. BRONCHOSPASME (A CONFIRMER )
      Un cas, chez un sujet agé asthmatique :
      – Ann Pharmacother 1995;29:199.
    62. HALLUCINATION VISUELLE (A CONFIRMER )
      Un cas, chez un sujet agé, avec conscience du caractère irréel :
      – Presse Med 1995;24:504.

    1. DUREE DE LA GESTATION(AUGMENTATION)
      Et dystocie chez l’animal.
    2. TOXICITE FOETALE
      Au cours du troisième trimestre de grossesse, tous les inhibiteurs de synthèse des prostaglandines peuvent exposer le foetus à une toxicité cardiopulmonaire (hypertension pulmonaire avec fermeture prématurée du canal artériel).

    1. NON

    1. ULCERE GASTRODUODENAL(ANTECEDENT)
    2. GASTRITE(ANTECEDENT)
    3. HERNIE HIATALE
    4. ETHYLISME CHRONIQUE
    5. SYNDROME NEPHROTIQUE
    6. INSUFFISANCE CARDIAQUE
      Risque de décompensation.
    7. LUPUS ERYTHEMATEUX DISSEMINE
    8. SUJET AGE
    9. STERILET
      Risque d’inefficacité.
    10. ASSOCIATION AUX ANTICOAGULANTS
      Risque hémorragique accru.
    11. ASSOCIATION AU LITHIUM
      Risque d’intoxication par le lithium en raison de la diminution de son élimination rénale.
      – Lancet 1983;1:418.
    12. EXPOSITION AU SOLEIL
      Risque de photosensibilisation.

    1. ULCERE GASTRODUODENAL
    2. HEMORRAGIE DIGESTIVE
    3. GASTRITE
    4. INSUFFISANCE HEPATOCELLULAIRE GRAVE
    5. INSUFFISANCE RENALE SEVERE
      Risque d’insuffisance rénale aiguë :
      – Ann Intern Med 1990;112:568-576.
    6. GROSSESSE
    7. ALLAITEMENT
    8. HYPERSENSIBILITE A L’ASPIRINE
      Il existe une allergie associée entre l’aspirine et les antiinflammatoires non stéroïdiens chez les sujets présentant un syndrome de Fernand Widal (asthme, rhinite vasomotrice, polypes nasaux) déclenché par l’aspirine.
    9. HYPERSENSIBILITE
      Hypersensibilité connue au piroxicam.
    10. ENFANT DE MOINS DE 15 ANS
    11. PORPHYRIE
      Le piroxicam a été associé à des crises de porphyrie aiguë, il figure sur la liste des médicaments contre-indiqués chez les patients atteints de porphyrie.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie et mode d’administration

    Dose usuelle par voie orale chez l’adulte:
    Dix à trente milligrammes par jour.
    Dose maximale:
    Quarante milligrammes par jour.

    Le traitement sera de préférence de courte durée et la posologie réduite à la dose minimale effeicace dès l’amélioration de la
    symptomatologie clinique.

    Dans les affections comportant un risque infectieux, l’utilisation sera prudente en raison de la diminution des défenses naturelles de l’organisme contre l’infection.

    Surveillance du traitement:
    Surveillance clinique des
    signes d’hypersensibilité et des signes d’intolérance digestive: leur apparition nécessite l’arrêt du traitement.Surveillance de la tension artérielle et du poids: un régime hyposodé peut s’avérer nécessaire.
    Surveillance de la fonction rénale chez les
    sujets en état d’hypoperfusion rénale ou d’hypovolémie.
    Surveillance hématologique et hépatique en cas de traitement prolongé.

    Pharmaco-Cinétique

    – 1 –
    DEMI VIE
    45
    heure(s)

    – 2 –
    ELIMINATION
    voie rénale

    – 3 –
    REPARTITION
    lait

    Absorption
    Résorption rapide par le tractus gastro-intestinal .
    Après administration répétée de 20 mg par jour, au bout d’une semaine le taux plasmatique à l’état stable est proche de 5 microgrammes par ml.

    Répartition
    Fixation aux protéines plasmatiques proche de 99%; existence probable d’un cycle entéro-hépatique.
    Très faible passage dans le lait: rapport lait/plasma: 0,01; non détectable dans le serum du nourrisson.
    – Eur J Clin Pharmacol 1983;25:829.

    Demi-Vie
    45 heures;
    Importantes variations inter et intra-individuelles.

    Métabolisme
    Subit une hydroxylation du cycle pyridinique au niveau hépatique.

    Elimination
    Voie rénale:
    les 2/3 du produit administré sont éliminés par les urines, dont moins de 5% sous forme inchangée.
    La clairance rénale ne représente pas plus de 10% de la clairance corporelle totale.
    L’insuffisance rénale ne semble pas avoir de répercussion
    majeure sur la pharmacocinétique.

    Bibliographie

    – Drugs 1981;22:165-187. (REVUE GENERALE)
    – Am J Med 1982;72,Suppl2A.
    – Pharmacotherapy 1982;2:80-89. (REVUE GENERALE)
    – Eur J Rheumatol Inflamm 1983;6:1-138. (Second piroxicam symposium)
    – Drugs 1984;28:292-323.
    – Clin Pharmacol Ther 1985;37:13-18.
    (PHARMACOCINETIQUE)*
    – Am J Med 1986;81,5B:1-55. numéro spécial
    – Inpharma 1979;209:19. (REVUE GENERALE)
    – Reactions1984;108:11. (EFFETS SECONDAIRES)
    – Reactions1986;139:12.
    – Drug Saf 1993;8:99-127. (INTERACTIONS)* Revue des interactions avec les
    AINS.
    – Drugs 1994;48:907-929.(Piroxicam-bêta-ciclodextrine).

    Spécialités

    Pour rechercher les spécialités contenant cette substance, consultez le site www.vidal.fr

    Principe actif présent en constituant unique dans les spécialités étrangères suivantes :


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