TASMAR 100 mg comprimés pelliculés (arrêt de commercialisation)

Donnez-nous votre avis

TASMAR 100 mg comprimés pelliculés (arrêt de commercialisation)

Introduction dans BIAM : 13/10/1998
Dernière mise à jour : 23/3/1999

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Autres dénominations :
    No AMM européenne – EU/1/97/044/001-002


    Forme : COMPRIMES PELLICULES

    Etat : arrêt de commercialisation

    Laboratoire : PRODUITS ROCHE

    Produit(s) : TASMAR

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 23/4/1997
    2. publication JO de l’AMM 27/8/1997
    3. mise sur le marché 14/9/1998
    4. arrêt de commercialisation 17/11/1998

    Présentation et Conditionnement

    Conditionnement 1

    Numéro AMM : 345464-1

    2
    plaquette(s) thermoformée(s)
    15
    unité(s)
    PVC/PE/PVDC
    jaune clair

    Evénements :

    1. inscription SS 8/8/1998
    2. agrément collectivités 13/8/1998


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Conditionnement 2

    Numéro AMM : 345465-8

    4
    plaquette(s) thermoformée(s)
    15
    unité(s)
    PVC/PE/PVDC
    jaune clair

    Evénements :

    1. inscription SS 8/8/1998
    2. agrément collectivités 13/8/1998


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIPARKINSONIEN DOPAMINERGIQUE (AUTRE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : N04B-X01.
      Le tolcapone est un inhibiteur, sélectif et réversible, de la catéchol-O-méthyltransférase (COMT), actif par voie orale. Administré en même temps que la lévodopa et qu’un inhibiteur de la décarboxylase d’un acide aminé aromatique, il stabilise les concentrations plasmatiques de lévodopa en réduisant sa transformation métabolique en 3-méthoxy-4-hydroxy-L-phénylalanine (3-OMD).
      Des taux plasmatiques élevés de 3-OMD ont été associés à une réponse médiocre à la lévodopa chez des patients atteints de maladie de Parkinson. Le tolcapone réduit fortement la formation de 3-OMD.
      Pharmacologie clinique :
      Des études menées chez des volontaires sains ont montré que le tolcapone administré par voie orale induit une inhibition réversible de l’activité de la COMT dans les érythrocytes humains. Cette inhibition est étroitement liée à la concentration plasmatique de tolcapone. Avec 200 mg de tolcapone, l’inhibition maximale de l’activité érythrocytaire de la COMT est en moyenne supérieure à 80%. A la posologie de trois administrations quotidiennes de 200 mg de Tasmar, l’inhibition de l’activité érythrocytaire de la COMT est de 30 à 45%, sans développement d’une accoutumance.
      Une augmentation transitoire de l’activité érythrocytaire de la COMT, supérieure au niveau mesuré avant traitement, a été observée après arrêt du tolcapone. Toutefois, une étude menée chez des patients atteints de la maladie de Parkinson a confirmé qu’il n’y avait, après l’arrêt du traitement, aucune modification significative de la pharmacocinétique de la lévodopa ou de la réponse du patient à la lévodopa par rapport aux données recueillies avant le traitement.
      Lorsque Tasmar est administré en même temps que la lévodopa, il accroît d’environ deux fois la biodisponibilité relative (AUC) de la lévodopa. Ceci est dû à une diminution de la clairance de la lévodopa, impliquant ainsi un allongement de sa demi-vie d’élimination (T 1/2 b). En général, la concentration plasmatique maximale moyenne de lévodopa (Cmax) et le temps nécessaire pour l’atteindre (Tmax) n’ont pas été modifiés. L’effet se manifeste dès la première prise. Les études menées chez des volontaires sains et des patients atteints de maladie de Parkinson ont confirmé que l’effet maximal est obtenu avec 100 à 200 mg de tolcapone. Le tolcapone a entraîné une baisse marquée et dose-dépendante des taux plasmatiques de 3-OMD lorsqu’il a été administré en association avec la lévodopa et un inhibiteur de la décarboxylase d’un acide aminé aromatique (bensérazide ou carbidopa).
      L’effet du tolcapone sur la pharmacocinétique de la lévodopa est similaire quelle que soit la forme pharmaceutique de la lévodopa/bensérazide et de la lévodopa/carbipoda : il est indépendant de la dose de lévodopa, du rapport quantitatif entre lévodopa et inhibiteur de la décarboxylase d’un acide aminé aromatique (bensérazide ou carbidopa) et de l’utilisation de formes à libération prolongée.
      Etudes cliniques :
      Des études cliniques ont montré une réduction significative de 20 à 30% des périodes OFF et une augmentation équivalente des périodes ON, accompagnée d’une diminution de la sévérité des symptômes chez les patients fluctuants recevant Tasmar. L’évaluation globale de l’efficacité par les investigateurs a également montré une amélioration significative.
      Dans une étude clinique chez des patients sans fluctuations de fin de dose, Tasmar a amélioré significativement, par rapport au placebo, les activités de la vie quotidienne et les fonctions motrices.
      * Propriétés pharmacocinétiques :
      Aux doses thérapeutiques, la pharmacocinétique du tolcapone est linéaire et indépendante de l’administration concomitante d’une association de lévodopa et d’un inhibiteur de la décarboxylase d’un acide aminé aromatique (bensérazide ou carbidopa).
      Absorption :
      Le tolcapone est rapidement absorbé, le Tmax étant de 2 heures environ. La biodisponibilité absolue après administration orale est d’environ 65%. Aucune accumulation du tolcapone n’est observée à la posologie de 100 ou 200 mg trois fois par jour. A ces doses, la Cmax est approximativement de 3 microg/ml et 6 microg/ml, respectivement. La prise d’aliments retarde et diminue l’absorption du tolcapone, mais la biodisponibilité relative d’une dose de tolcapone prise avec un repas reste de 80% à 90%.
      Distribution :
      Le volume de distribution du tolcapone est faible (Vss = 9 l). Le tolcapone diffuse peu dans les tissus en raison de sa forte liaison aux protéines plasmatiques ( supérieur à 99.9%). Des études in vitro ont montré que le tolcapone est principalement lié à l’albumine plasmatique.
      Métabolisme, élimination :
      Le tolcapone est presque totalement métabolisé avant son excrétion. Seule une très faible quantité de substance (0.5% de la dose) se retrouve sous forme inchangée dans l’urine. La principale voie métabolique du tolcapone est sa conjugaison en glucuronide inactif. De plus, le composé est méthylé par la COMT en 3-O-méthyl-tolcapone et métabolisé par les cytochromes P450 3A4 et P450 2A6 en un alcool primaire (hydroxylation du groupe méthyle), lequel est ensuite oxydé en acide carboxylique. La formation de l’amine correspondante par réduction ainsi que la N-acétylation subséquente est faible. Après administration orale, l’élimination du produit se fait à 60% dans les urines et à 40% dans les fèces.
      Le tolcapone est un médicament à faible coefficient d’extraction (coefficient d’extraction = 0,15), présentant une clairance systémique modérée de 7 l/h environ. La demi-vie d’élimination (T 1/2 b) du tolcapone est de 2 heures environ.
      Insuffisance hépatique :
      Une étude menée chez des patients atteints d’une insuffisance hépatique a montré qu’une hépatopathie modérée non cirrhotique n’avait aucun impact sur la pharmacocinétique du tolcapone. Toutefois, chez les patients présentant une cirrhose modérée, la clairance du tolcapone non lié a été réduite de presque 50%. Cette réduction pourrait accroître de deux fois la concentration moyenne de produit non lié.
      Insuffisance rénale :
      La pharmacocinétique du tolcapone n’a pas été étudiée chez les patients atteints d’insuffisance rénale. Cependant, la relation entre la fonction rénale et la pharmacocinétique du tolcapone a été évaluée en pharmacocinétique de population au cours des essais cliniques. Les données issues de plus de 400 patients ont confirmé que la pharmacocinétique du tolcapone n’est pas modifiée par la fonction rénale dans un large intervalle de valeurs de clairance de la créatinine (30 à 130 ml/min). Ceci pourrait s’expliquer par le fait que seulement une quantité négligeable du tolcapone inchangé est excrétée dans l’urine, et que le métabolite principal, le tolcapone-glucuronide, est éliminé à la fois dans l’urine et la bile (fèces).

    1. ***
      Tasmar est indiqué en association à la lévodopa/bensérazide ou à la lévodopa/carbidopa dans le traitement de la maladie de Parkinson chez les patients qui ne peuvent être stabilisés par ces associations, particulièrement ceux présentant des fluctuations de fin de doses.
      Etant donné que Tasmar doit être utilisé uniquement en association à la lévodopa/bensérazide ou à la lévodopa/carbidopa, les conditions de prescription relatives à ces spécialités à base de lévodopa s’appliquent également à leur utilisation concomitante avec Tasmar.
    2. MALADIE DE PARKINSON

    1. DYSKINESIE
    2. NAUSEE
    3. TROUBLE DU SOMMEIL
    4. ANOREXIE
    5. DIARRHEE
      Lors des essais cliniques, le seul événement indésirable entraînant fréquemment un arrêt du traitement par Tasmar a été des diarrhées.
    6. SYNDROME MALIN DES NEUROLEPTIQUES
      Des cas isolés de patients présentant des symptômes suggérant un syndrome malin des neuroleptiques ont été rapportés après un arrêt ou une réduction des doses de Tasmar et d’autres traitements dopaminergiques concomitants.
    7. TRANSAMINASES(AUGMENTATION)
      1% des patients traités par 3 administrations quotidiennes de 100 mg et 3% des patients traités par 3 administrations quotidiennes de 200 mg ont présenté une augmentation, jusqu’à plus de trois fois la limite supérieure de la normale, du taux d’alanine aminotransférase (ALAT). Cette augmentation est généralement apparue 6 à 12 semaines après le début du traitement et n’était pas associée à des symptômes ou à des signes cliniques. Dans la moitié des cas environ, les taux de transaminases sont revenus spontanément à leur valeur initiale alors que les patients étaient encore sous traitement. Dans les autres cas, le traitement a été interrompu et les taux de transaminases sont revenus à leur valeur initiale.
    8. COLORATION DE L’URINE
      Le tolcapone et ses métabolites sont de couleur jaune et peuvent provoquer une coloration jaune intense de l’urine, ne présentant aucun danger.

    1. DIARRHEE
      Lors des essais cliniques, 16% et 18% des patients recevant respectivement Tasmar 100 mg et 200 mg ont souffert de diarrhées, comparativement à 8% des patients recevant le placebo. Les diarrhées associées à Tasmar sont généralement apparues 2 à 4 mois après l’instauration du traitement. Les diarrhées ont conduit à l’arrêt du traitement chez 5% et 6% des patients recevant respectivement Tasmar 100 mg et 200 mg, comparativement à 1% des patients recevant le placebo.
    2. SURVEILLANCE DE LA FONCTION HEPATIQUE
      Il est recommandé de contrôler le taux de transaminases en début de traitement par Tasmar, puis tous les mois pendant les 6 premiers mois. Si une élévation des transaminases survient et qu’il est décidé de continuer le traitement, il est recommandé de procéder à des contrôles complets plus fréquents de la fonction hépatique. Le traitement doit être arrêté si le taux d’ALAT dépasse 5 fois la valeur normale ou si un ictère survient.
    3. SYNDROME MALIN
      Symptômes évoquant le syndrome malin des neuroleptiques (SMN) : le syndrome malin des neuroleptiques est caractérisé par une rigidité musculaire, une élévation de la température, des modifications de l’état mental et une élévation du taux sérique de créatine-phosphokinase (CPK). Il a été rapporté à la suite de diminutions importantes de la posologie des médicaments antiparkinsoniens. Si après l’arrêt de Tasmar, des symptômes apparaissent, le médecin doit envisager d’augmenter la dose quotidienne de lévodopa.

      Il peut y avoir un lien entre le syndrome malin des neuroleptiques et le syndrome sérotoninergique et, par conséquent, les médicaments augmentant l’activité sérotoninergique cérébrale peuvent aussi être responsables de ces symptômes.

      Interaction avec le bensérazide : en raison de l’interaction entre le bensérazide à forte dose et le tolcapone (se traduisant par une augmentation des concentrations de bensérazide), le prescripteur devra, jusqu’à plus ample expérience, surveiller les effets indésirables dose-dépendants.
    4. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
      En l’absence de données disponibles sur l’association de Tasmar avec des inhibiteurs de la MAO-A, cette association devra être prescrite avec précaution.
    5. INTOLERANCE AU LACTOSE
      Chaque comprimé à 100 mg contient 7.5 mg de lactose. Ces quantités sont probablement insuffisantes pour provoquer des symptômes d’intolérance au lactose.
    6. INSUFFISANCE HEPATIQUE SEVERE
      La prudence est de rigueur pour le traitement des patients présentant une insuffisance hépatique sévère. Aucune information n’est disponible sur la tolérance du tolcapone chez ces patients.
    7. INSUFFISANCE RENALE SEVERE
      la prudence est de rigueur pour le traitement des patients présentant une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine inférieure à 30 ml/min). Aucune information n’est disponible sur la tolérance du tolcapone chez ces patients.
    8. GROSSESSE
      Chez le rat et le lapin, une embryoftotoxicité a été observée après l’administration de tolcapone.

      Les essais cliniques n’ont donné aucune information sur l’utilisation de Tasmar chez la femme enceinte. Aussi Tasmar ne doit-il être utilisé pendant la grossesse que si le bénéfice escompté justifie le risque potentiel encouru par le foetus.
    9. ALLAITEMENT
      Dans les études chez l’animal, le tolcapone est excrété dans le lait maternel.

      L’innocuité du tolcapone chez le nourrisson n’est pas établie ; par conséquent, les femmes ne doivent pas allaiter pendant le traitement par Tasmar.
    10. CONDUCTEURS DE VEHICULES
      Les essais cliniques ne permettent pas de conclure que Tasmar peut entraîner une inaptitude à conduire un véhicule ou à utiliser une machine. Toutefois, les patients doivent être informés que cette aptitude peut être compromise par leurs symptômes parkinsoniens.

    1. HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS
    2. ASSOCIATION AUX IMAO
      Tasmar ne doit pas être administré conjointement à des inhibiteurs non sélectifs de la monoamine oxydase (MAO) tels que la phénelzine ou la tranylcypromine. L’association d’inhibiteurs de la MAO-A et de la MAO-B équivaut à une inhibition non sélective de la MAO. Par conséquent, ils ne doivent pas être administrés en association, en même temps que Tasmar et la lévodopa associée. Les inhibiteurs sélectifs de la MAO-B ne doivent pas être utilisés à des doses supérieures à celles recommandées (par exemple sélégiline 10 mg/jour) quand ils sont administrés conjointement à Tasmar.

    Traitement

    La dose la plus élevée de tolcapone qui a été administrée à l’être humain est de 800 mg trois fois par jour, avec ou sans administration concomitante de lévodopa, au cours d’une étude d’une semaine menée chez des volontaires sains âgés. Les
    concentrations plasmatiques maximales de tolcapone à cette posologie ont été de 30 microg/ml en moyenne (en comparaison à 3 microg/ml et 6 microg/ml pour, respectivement, 100 mg et 200 mg de tolcapone). Nausées, vomissements et vertiges ont été
    observés, en particulier lors d’associations avec la lévodopa.
    D’après les données obtenues chez l’animal, le seuil de concentration plasmatique létale du tolcapone est supérieure à 100 microg/ml. Des difficultés respiratoires ont été observées chez
    le rat après administration de doses élevées par voie orale (gavage) et intraveineuse, ainsi que chez le chien après administration rapide par voie intraveineuse.
    Conduite à tenir : l’hospitalisation est recommandée. Il est nécessaire de prendre les
    mesures générales visant à préserver les fonctions vitales. Compte tenu des propriétés physicochimiques du produit, il est peu probable que l’hémodialyse soit bénéfique.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie usuelle :
    – La posologie initiale est de cent mg trois fois par jour. Lors des essais cliniques, il a été nécessaire de réduire la dose quotidienne de lévodopa chez la plupart des patients recevant plus de six cents mg par jour de lévodopa ou
    chez des patients présentant des dyskinésies modérées à sévères. Ces facteurs, ainsi que la sensibilité du patient aux changements de dose de lévodopa associée, doivent être pris en compte pour décider de diminuer la dose quotidienne de lévodopa à
    l’initiation du traitement par Tasmar. Lors des essais cliniques, chez les patients pour lesquels un ajustement s’est révélé nécessaire, la réduction moyenne de la dose quotidienne de lévodopa a été d’environ 30%.
    – Au cours du traitement par Tasmar, la
    dose de lévodopa doit être ajustée de façon appropriée afin d’optimiser le bénéfice clinique de l’association.
    – Après ajustement de la dose de lévodopa, une augmentation de la dose de Tasmar à deux cents mg trois fois par jour peut être essayée chez
    les patients qui, selon l’avis du médecin, pourraient en retirer un bénéfice, sans être exposés au risque de développer des effets indésirables dopaminergiques limitants.
    – Après avoir augmenté la dose de Tasmar à deux cents mg trois fois par jour, un
    réajustement ultérieur de la dose de lévodopa peut être nécessaire.
    – La dose thérapeutique maximale de deux cents mg trois fois par jour ne doit pas être dépassée car aucune majoration de l’efficacité n’a été mise en évidence à des doses plus
    élevées.
    – Dyskinésies, nausées et autres effets indésirables associés à la lévodopa : certains patients peuvent présenter une majoration des effets indésirables associés à la lévodopa. Ces effets indésirables peuvent souvent être atténués par une
    réduction de la dose de lévodopa
    .
    Posologies particulières :
    Insuffisant hépatique ou rénal :
    – Chez les patients présentant une insuffisance hépatique modérée, il ne faut pas augmenter la dose de Tasmar à deux cents mg trois fois par jour.
    – Aucun
    ajustement de la dose de Tasmar n’est recommandé en cas d’insuffisance rénale légère ou modérée (clairance de la créatinine supérieure ou égale à 30 ml/min).
    .
    Mode d’emploi :
    – Tasmar est administré par voie orale en 3 prises quotidiennes. La première
    prise de la journée de Tasmar est associée à la première prise quotidienne de lévodopa ; les prises suivantes sont administrées environ 6 et 12 heures après.
    – Tasmar peut être pris pendant ou en dehors des repas.
    – Les comprimés de Tasmar sont
    pelliculés et doivent être avalés entiers à cause du goût amer du tolcapone.
    – Tasmar peut être associé à toutes les formes pharmaceutiques de lévodopa/bensérazide et de lévodopa/carbidopa.


    Retour à la page d’accueil

Similar Posts