SENOKOT comprimés

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SENOKOT comprimés

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 13/1/2000

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : COMPRIMES PELLICULES

    Usage : adulte

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : ASTA MEDICA

    Produit(s) : SENOKOT

    Evénements :

    1. mise sur le marché 29/1/1969
    2. octroi d’AMM 3/4/1974
    3. validation de l’AMM 22/6/1992
    4. rectificatif d’AMM 12/5/1998

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 335184-6

    1
    plaquette(s) thermoformée(s)
    30
    unité(s)
    PVC/alu
    marron

    Evénements :

    1. mise sur le marché 4/2/1993


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 24
    mois

    Régime : aucune liste

    Réglementation des prix :
    non remboursé

    Prix Pharmacien HT : 11.83 F

    Prix public TTC : 19.60 F

    TVA : 5.50 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    • SENE 152 mg
      Feuille. Quantité correspondant en Sennoside B à 7.3 mg.

    Principes non-actifs

    1. LAXATIF STIMULANT (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : A06A-B06.
      Il modifie les échanges hydroélectrolytiques intestinaux et stimule la motricité colique. Délai d’action : huit à douze heures.

      * Propriétés pharmacocinétiques :
      Les sennosides agissent sur l’intestin grêle et le colon, probablement après hydrolyse bactérienne.

    2. PHYTOTHERAPIE (accessoire)
      Bibliographie : Classe BIAM/ATC : V03A-X10.

    1. ***
      Traitement de courte durée de la constipation occasionnelle.
    2. CONSTIPATION

    1. DIARRHEE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      COLON IRRITABLE
    2. DOULEUR ABDOMINALE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      COLON IRRITABLE
    3. KALIEMIE(DIMINUTION)
    4. COLORATION DE L’URINE
      Parfois, coloration anormale des urines sans signification clinique.

    1. RECOMMANDATION
      Le traitement médicamenteux de la constipation n’est qu’un adjuvant au traitement hygiénodiététique :

      – enrichissement de l’alimentation en fibres végétales et en boissons;

      – conseils d’activité physique et de rééducation de l’exonération.

    2. ENFANT DE 10 à 15 ANS
      La prescription de laxatifs stimulants doit être exceptionnelle : elle doit prendre en compte le risque d’entraver le fonctionnement normal du reflexe d’exonération.
    3. UTILISATION PROLONGEE
      Une utilisation prolongée d’un laxatif est déconseillée. Ne pas dépasser 8 à 10 jours de traitement.
    4. MALADIE DES LAXATIFS
      La prise prolongée de principes anthracéniques peut entrainer la maladie des laxatifs avec colopathie fonctionnelle sévére, mélanose rectocolique, anomalies hydroélectrolytiques avec hypokaliémie ; elle est très rare.
    5. DEPENDANCE
      La prise prolongée de principes anthracéniques peut entrainer une situation de dépendance avec besoin régulier de laxatifs, la nécessité d’augmenter la posologie et constipation sévère en cas de sevrage ; cette dépendance, de survenue variable selon les patients peut se céer à l’insu du médecin.
    6. GROSSESSE
      Les études chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effet tératogène. En l’absence d’effet tératogène chez l’animal, un effet malformatif dans l’espèce humaine n’est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l’espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l’animal au cours d’études bien conduites sur deux espèces.
      En clinique, l’utilisation du séné au cours d’un nombre limité de grossesses n’a apparemment révélé aucun effet malformatif ou foetotoxique particulier à ce jour. Toutefois, des études complémentaires sont nécessaires pour évaluer les conséquences d’une exposition en cours de grossesse.
      En conséquence, l’utilisation de ce médicament ne doit envisagée au cours de la grossesse que si nécessaire.
    7. ALLAITEMENT
      L’utilisation de ce médicament est déconseillée.

    1. COLOPATHIES ORGANIQUES INFLAMMATOIRES
      Rectocolite ulcéreuse, maladie de Crohn…
    2. SYNDROME OCCLUSIF
    3. SYNDROME SUBOCCLUSIF
    4. SYNDROME DOULOUREUX ABDOMINAL D’ETIOLOGIE INCONNUE
    5. DESHYDRATATION SEVERE
      Etats de déshydration avec déplétion électrolytique.
    6. ENFANTS DE MOINS DE 10 ANS (absolue)
    7. ENFANT DE 10 à 15 ANS (relative)
      Ce médicament est généralement déconseillé.
    8. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE (relative)
      Association généralement déconseillée avec les médicaments donnant des torsades de pointe : amiodarone, astémizole, bépridil, brétylium, disopyramide, érythromycine IV, halofantrine, pentamidine, quinidiniques, sparfloxacine, sotalol, sultopride, terfénadine, vincamine.

    Signes de l’intoxication :

    1. DIARRHEE

    Traitement

    Conduite à tenir : correction d’éventuels troubles hydro-electrolytiques en cas de perte liquidienne trés importante.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Réservé à l’adulte.

    Adulte :
    Posologie usuelle : 2 comprimés par jour, à avaler sans les croquer, de préférence au coucher.
    La posologie peut être portée à 3 comprimés répartis en deux prises par 24 heures, si nécessaire.

    Durée de traitement :
    Le
    traitement ne doit pas excéder 8 à 10 jours.


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