MYCOSTATINE 500000 UI comprimés enrobés

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MYCOSTATINE 500000 UI comprimés enrobés

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 23/8/1999

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : COMPRIMES ENROBES

    Usage : adulte et enfant

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : BRISTOL-MYERS SQUIBB

    Produit(s) : MYCOSTATINE

    Evénements :

    1. mise sur le marché 15/7/1956
    2. octroi d’AMM 24/7/1956
    3. validation de l’AMM 30/5/1997

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 306944-6

    1
    plaquette(s) thermoformée(s)
    16
    unité(s)
    PVC/alu
    marron

    Evénements :

    1. agrément collectivités 28/11/1960
    2. inscription SS 28/12/1961


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 24
    mois

    Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 13.09 F

    Prix public TTC : 21.50 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIFONGIQUE VOIE GENERALE (ANTIBIOTIQUE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : J02A-A10.
      Le principe actif de Mycostatine est la nystatine, antibiotique antifongique de contact de la famille des polyènes, extrait de culture de Streptomyces noursei.
      Spectre d’action antifongique : active in vitro sur une large variété de champignons levuriformes et filamenteux, son action in vivo s’exerce essentiellement sur le genre Candida et Geotrichum.
      Son activité est essentiellement locale (de contact).
      *** Propriétés Pharmcocinétiques :
      Son action anticandidique est essentiellement locale.
      Administrée per os, la nystatine n’est pratiquement pas absorbée par la muqueuse digestive ; la nystatine est retrouvée sous forme inchangée dans les selles.

    1. ***
      – Traitement des candidoses digestives à l’exclusion de la candidose oesophagienne de l’immunodéprimé.
      – Traitement complémentaire des candidoses vaginales et cutanées, dans le but d’obtenir la stérilisation d’une candidose intestinale associée.
      – Prévention des candidoses chez les sujets à très haut risque : prématurés, immunodéprimés, malades soumis à une chimiothérapie antinéoplasique.
    2. CANDIDOSE DIGESTIVE
    3. CANDIDOSE VULVOVAGINALE
    4. CANDIDOSE CUTANEE
    5. CANDIDOSE SYSTEMIQUE(PREVENTION)

    1. REACTION ALLERGIQUE
    2. TROUBLE DIGESTIF (EXCEPTIONNEL)

    1. MISE EN GARDE
      – Recommandation :

      En l’absence d’une symptomatologie clinique évocatrice, la seule constatation d’un candida sur la peau ou les muqueuses ne peut constituer en soi une indication.

      La candidose confirmée, il faut rechercher avec soin les facteurs écologiques permettant et favorisant le développement du champignon. Pour éviter les rechutes, l’éradication ou la compensation des facteurs favorisants est indispensable.

      Il est souhaitable de traiter simultanément tout foyer associé à candida, reconnu pathogène.
    2. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
      Lors de l’administration per os de Mycostatine, les modificateurs du transit intestinal, les pansements digestifs et, d’une manière générale, tous les agents pouvant isoler la muqueuse de l’action du principe actif doivent être évités pendant la durée du traitement car ils peuvent diminuer l’action thérapeutique de la nystatine.
    3. GROSSESSE
      Il n’y a pas de données fiables de tératogenèse chez l’animal.

      En clinique, aucun effet malformatif ou foetotoxique particulier n’est apparu à ce jour.

      Toutefois, le suivi de grossesses exposées à la nystatine est insuffisant pour exclure tout risque.

      conséquence, l’utilisation de la nystatine per os ne doit être envisagée au cours de la grossesse que si nécessaire.
    4. ALLAITEMENT
      Il n’existe pas de données concernant le passage de ce médicament dans le lait maternel.

      Toutefois, en raison d’une absorption digestive très faible, l’allaitement est possible, tout en surveillant l’apparition d’éventuelles manifestations d’intolérance chez le nouveau-né (diarrhée, rejet du lait maternel, etc.).

    1. HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    – Enfant : deux à huit comprimés (soit un à quatre millions UI) par jour.
    – Adulte : huit à douze comprimés (soit quatre à six millions UI) par jour.
    En cas de candidose buccopharyngée, il est utile d’écraser les comprimés au
    préalable pour permettre une action directe du produit sur les lésions.
    Le traitement sera prolongé au moins trois semaines.
    En cas de besoin, en particulier chez l’enfant de moins de six ans, ces comprimés enrobés peuvent être écrasés finement au
    moment de l’emploi et incorporés soit à du lait, soit aux aliments.


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