VAXICOQ suspension injectable, vaccin coquelucheux adsorbé sur hydroxyde d’aluminium

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VAXICOQ suspension injectable, vaccin coquelucheux adsorbé sur hydroxyde d’aluminium

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 17/5/2000

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : SUSPENSION INJECTABLE

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : MERIEUX MSD

    Produit(s)

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 6/12/1957
    2. mise sur le marché 1/1/1961
    3. rectificatif d’AMM 6/10/1997

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 311167-4

    1
    ampoule(s) seringue(s)
    0.50
    ml
    verre

    Evénements :

    1. agrément collectivités 28/2/1961
    2. inscription SS 28/2/1961


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    NE PAS CONGELER
    CONSERVER ENTRE +2 ET +8 DEGRES C

    Régime : aucune liste

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 11.08 F

    Prix public TTC : 18.80 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. VACCIN ANTICOQUELUCHEUX (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : J07A-J01.
      Vaccin préparé à partir de bacilles coquelucheux, inactivés par la chaleur.
      L’immunité apparaît dès la 2 e injection, est renforcée après la 3 e injection et persiste au moins 5 ans après le premier rappel.

    1. ***
      Prévention de la coqueluche.
    2. COQUELUCHE(PREVENTION)

    1. ERYTHEME AU POINT D’INJECTION
    2. NODULE AU POINT D’INJECTION
    3. FIEVRE
      Réaction fébrile (entre 38 et 39 degrés C) durant 24 heures.
      Exceptionnellement, réaction fébrile 40 degrés C, syndrome des cris persistants, convulsions, encéphalopathie ou état de choc (1 cas pour 100 000 vaccinations environ).
      Ces symptômes, bien que spontanément réversibles, conduisent cependant à renoncer à la poursuite de la vaccination contre la coqueluche.
    4. CRISE CONVULSIVE (EXCEPTIONNEL)
      Ce symptôme, bien que spontanément réversible, conduit cependant à renoncer à la poursuite de la vaccination contre la coqueluche.
      Il est rappelé que les convulsions et autres troubles neurologiques sont beaucoup plus fréquents au cours de la coqueluche qu’au cours de la vaccination.
    5. ENCEPHALOPATHIE (EXCEPTIONNEL)
      Ce symptôme, bien que spontanément réversible, conduit cependant à renoncer à la poursuite de la vaccination contre la coqueluche.
    6. CHOC (EXCEPTIONNEL)
      Ce symptôme, bien que spontanément réversible, conduit cependant à renoncer à la poursuite de la vaccination contre la coqueluche.

    1. MISE EN GARDE
      – Voie intravascualire :
      Ne pas injecter par voie intravasculaire en s’assurant que l’aiguille ne pénètre pas dans un vaisseau sanguin.
      – Fièvre, maladie infectieuse :
      En cas de fièvre, de maladie aiguë, notamment infectieuse, ou de maladie chronique en période évolutive, il est préférable de différer la vaccination.
      – Antécédents convulsifs :
      Les antécédents de convulsions fébriles non liées à une injection vaccinale antérieure ne constituent pas en eux-mêmes une contre-indication à la vaccination.
      Il est particulièrement important sur ce terrain de surveiller la température dans les 48 heures suivant la vaccination et de donner régulièrement un traitement antipyrétique pendant 48 heures.
      Les antécédents de convulsions non fébriles non liées à une injection vaccinale antérieure doivent faire l’objet d’un avis de spécialiste avant toute décision de vaccination.
      – Immunodéprimés :
      La vaccination peut être réalisée chez les enfants présentant un état d’immunodépression congénital ou acquis, en sachant qu’en fonction de l’état du système immunitaire la réponse vaccinale sera plus faible. Chez les enfants traités par des immunodépresseurs (corticothérapie, chimiothérapie antimitotique, etc.), il est recommandé d’attendre la fin du traitement pour vacciner.
      – Réaction anaphylactique :
      Comme pour tous les vaccins injectables susceptibles d’induire une éventuelle réaction anaphylactique immédiate, il est recommandé de disposer d’un traitement médical approprié.

    1. ENCEPHALOPATHIE EVOLUTIVE
      Convulsivante ou non.
    2. HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS
      – Forte réaction survenue dans les 48 heures suivant une injection vaccinale antérieure : fièvre supérieure ou égale à 40 degrés C, syndrome du cri persistant, convulsion fébrile ou non fébrile, syndrome d’hypotonie-hyporéactivité.
      – Réactions d’hypersensibilité immédiates consécutives à une injection précédente (urticaire généralisé, oedème de Quincke, choc anaphylactique).
      – Hypersensibilité à l’un des composants du vaccin.

    Voies d’administration

    – 1 – SOUS-CUTANEE

    – 2 – INTRAMUSCULAIRE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    Voie SC ou IM.
    Agiter avant l’emploi pour obtenir une suspension homogène.
    – Primovaccination : 3 injections d’une dose unitaire de vaccin (0,5 ml) à 1 mois d’intervalle.
    – Rappel :1 injection un an après la primovaccination.


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