BACILOR 1500 mg poudre pour suspension buvable

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BACILOR 1500 mg poudre pour suspension buvable

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 16/9/1999

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Autres dénominations :
    nom ancien – ANTIBIOPHILUS


    Forme : POUDRE POUR SUSPENSION BUVABLE

    unidose

    Usage : enfant + de 2 ans

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : LYOCENTRE

    Produit(s) : BACILOR

    Evénements :

    1. mise sur le marché 2/1/1960
    2. octroi d’AMM 10/4/1969
    3. publication JO de l’AMM 15/8/1969
    4. validation de l’AMM 30/4/1990

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 346551-5

    10
    sachet(s)

    Evénements :

    1. agrément collectivités 29/7/1999
    2. inscription SS 29/7/1999
    3. mise sur le marché 2/9/1999


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Matériel de dosage : unidose

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Régime : aucune liste

    Réglementation des prix :
    remboursé
    35 %

    Prix Pharmacien HT : 15.51 F

    Prix public TTC : 23.10 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    • BACILLES LACTIQUES 1.50 g
      Culture lyophilisée de LACTOBACILLUS CASEI VARIETE RHAMNOSUS titrant au mininum 800 millions de germes par gramme.

    Principes non-actifs

    1. ANTIDIARRHEIQUE (MICROORGANISME) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : A07F-A01.
      Flore de substitution.
      L’efficacité clinique de ce médicament dans le traitement des diarhées n’a pas été documentée.

    1. ***
      En complément de la réhydratation, traitement symptomatique d’appoint de la diarrhée.
      L’importance de la réhydratation par soluté de réhydratation orale ou par voie intraveineuse doit être adaptée à l’intensité de la diarrhée, l’âge et des particularités du patient (maladies associées…).
    2. DIARRHEE

    1. MISE EN GARDE
      Chez l’enfant de 2 à 6 ans :

      La réhydratation peut être l’élément essentiiel du traitement des diarrhées aiguës. Elle devra être systématiquement envisagée.

      La prévention ou le traitement de la déshydratation se fera par soluté de réhydratation orale.

      Il est recommandé d’utiliser les solutés prévus à cet effet et de respecter les modalités de reconstitution et d’utilisation.

      . La concentration en Na devra être comprise entre 30 et 60 mmol/l. Les solutés à moindre teneur en sodium (30mmol/l) étant réservés aux désydratations peu sévères.

      . Un apport en chlore et en potassium est nécessaire afin de corriger les pertes digestives.

      . L’adjonction de protéines hydrolysées ou d’acides aminés ne sembles pas améliorer la réhydratation ni l’état nutritionnel.

      Il est indispensable de proposer à l’enfant de boire très souvent, tous les 1/4 d’heure par exemple.

      A titre indicatif, le volume proposé de soluté de réhydratation orale doit être équivalent au poids perdu soit 50 à 100 ml/kg pour une déshydratation de 5 à 10% du poids du corps.

      En cas de diarrhée sévère ou prolongée, de vomissement important ou de refus d’alimentation, une réhydratation par voie intraveuineuse devra être envisagée.

      Chez l’enfant de plus de 6 ans :

      Si au bout de 2 jours de traitement la diarhée persiste, la conduite à tenir devra être réévaluée et la nécessité d’une réhydratation par soluté de réhydratation orale ou par voie intraveineuse devra être envisagée.
    2. HYDRATATION CORRECTE
      Chez l’enfant de moins de 6 ans, en cas de prescription d’une réhydratation par soluté de réhydratation, les modalités d’utilisation ainsi que le mode de reconstitution devront être clairement et précisément expliquée.

      La suppression du lait et des laitages devra être envisagée.

      En l’absence de nécessité de prescrire une telle hydratation, il est néanmoins nécessaire de clairement expliquer aux patients la nécessité de :

      – se réhydrater par des boissons abondantes, salées ou sucrées, afin de compenser les pertes de liquide dues à la diarrhée (la ration quotidienne moyenne en eau de l’adulte est de 2 litres);

      – s’alimenter le temps de la diarrhée,

      . en excluant certains apports et particulièrement les crudités, les fruits, les légumes verts les plats épicés, ainsi que les aliments ou boissons glacés.

      . en privilégiant les viandes grillées, le riz.
    3. GROSSESSE
      Il n’y a pas de données fiables de tératogénèse chez l’animal.

      En clinique, aucun effet malformatif ou foetotoxique particulier n’est apparu à ce jour.

      Toutefois, le suivi de grossesses exposées à ce médicament est insuffisant pour exclure tout risque.

      En conséquence, par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser le nifuroxazide pendant la grossesse.

    1. HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie usuelle :
    – Réservé à l’adulte de plus de deux ans :
    – Un à quatre sachet-doses par jour.
    .
    Mode d’emploi:
    – Avaler le contenu du sachet-dose dans de l’eau sucrée ou du lait en dehors des repas


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