STALLERGENES M.R.V. 2 000 millions/ml susp inj (arrêt de commercialisation)

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STALLERGENES M.R.V. 2 000 millions/ml susp inj (arrêt de commercialisation)

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 10/3/1998

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : SUSPENSION INJECTABLE

    Etat : arrêt de commercialisation

    Laboratoire : STALLERGENES

    Produit(s) : STALLERGENES M.R.V.

    Evénements :

    1. mise sur le marché 1/1/1969
    2. octroi d’AMM 16/5/1973
    3. arrêt de commercialisation 1/11/1997
    4. retrait d’AMM 30/11/1997

    Présentation et Conditionnement

    Conditionnement 1

    Numéro AMM : 311711-6

    1
    flacon(s)
    5
    ml
    verre

    Evénements :

    1. agrément collectivités 29/8/1970
    2. inscription SS 29/8/1970


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    CONSERVER AU REFRIGERATEUR
    A L’ABRI DU GEL

    Régime : aucune liste

    Réglementation des prix :
    remboursé
    35 %

    Conditionnement 2

    Numéro AMM : 311712-2

    4
    flacon(s)
    5
    ml
    coffret

    Evénements :

    1. agrément collectivités 8/1/1971
    2. inscription SS 8/1/1971


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Régime : aucune liste

    Réglementation des prix :
    remboursé
    35 %

    Composition

    Expression de la composition : EXPRIME POUR :

    Volume : 1
    ml

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ALLERGENE DESENSIBILISANT (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : V01A-A20.
      – Hyposensibilisation bactérienne ;
      – Vaccination par stimulation des défenses spécifiques et aspécifiques du système immunitaire ;
      – Cette stimulation est cliniquement objectivée par :
      * la disparition ou la réduction en nombre et en intensité des épisodes infectieux ;
      * la réduction de l’antibiothérapie ;
      * le sevrage en cortisone chez les surinfectés cortico-dépendants.


    1. Immunothérapie à doses progressives :
      – Des manifestations allergiques consécutives à une infection focalisée,
      – Des infections bactériennes chroniques et récidivantes des voies respiratoires chez les sujets présentant une allergie ou une intolérance microbienne :
      * en ORLl : rhinopharyngites, rhinites, sinusites, trachéites, angines, otites, polyposes nasales.
      * en pneumologie : bronchites, bronchites chroniques, asthmes surinfectés.

    1. REACTION LOCALE
      Erythème, prurit, gonflement du bras. Cèdent dans les 48 heures.
    2. ERYTHEME
      Cède dans les 48 heures.
    3. PRURIT
      Cède dans les 48 heures.
    4. REACTION GENERALE
      Les réactions syndromiques ou générales avec hyperthermie, asthénie sont peu fréquentes et généralement sans gravité :
      – Si elles se manifestent, reprendre le traitement à la dose antérieure bien tolérée, augmenter ensuite progressivement les doses ;
      – En cas de réactions répétitives, ne pas dépasser la dose bien tolérée.

    1. MISE EN GARDE
      Hypersensibilité bactérienne. Dans ce cas, utiliser les solutions diluées du MRV coffret traitement.

    1. CACHEXIE
    2. AFFECTIONS MALIGNES
    3. NEPHROPATHIE

    Traitement

    Pour neutraliser la réaction immédiate que peut exceptionnellement déterminer un surdosage accidentel, il faut administrer rapidement au sujet successivement, selon le cas :
    – une injection SC de 0.10 à 1 ml d’adrénaline à 1/1 000ème, surtout si la
    tension artérielle a baissé ;
    – un injection IV ou IM d’une ampoule de corticoïde soluble injectable ;
    – une injection IM d’une ampoule d’un antihistaminique injectable.

    Voies d’administration

    – 1 – SOUS-CUTANEE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    La posologie doit être déterminée par le médecin traitant suivant la sensibilité du sujet ; le schéma ci-après a une valeur indicative.
    – Traitement d’attaque :
    * il comporte 13 injections à commencer à l’automne.
    * faire une ou deux
    injections par semaine.
    * en cas de forte réaction, revenir à la dose antérieure bien tolérée et poursuivre le traitement avec cette dose.
    – Traitement d’entretien :
    A entreprendre après la 13ème injection du traitement d’attaque.
    Généralement la dose
    maximale atteinte sera injectée tous les 15 à 30 jours jusqu’au mois d’avril.
    Utiliser le flacon D (capsule rouge) dose à 2 000 millions/org/ml vendu séparement.
    .
    .
    Mode d’Emploi :
    – Eradication préalable des foyers infectieux.
    – Adaptation de la
    posologie à la sensibilité du malade.
    – Ne jamais injecter par voie intraveineuse (aspirer par rétraction du piston avant chaque injection pour vérifier l’absence de sang).
    – Vérifier soigneusement la concordance de la prescription avec l’étiquette du
    produit au niveau dose et dilution à injecter.
    – Respecter la progression prescrite par le spécialiste.
    La réduire si une réaction locale importante est constatée.
    Revenir au besoin à la dilution précédente.
    – Demander l’avis du spécialiste chaque fois
    que la poursuite du traitement pose un problème.
    – Conserver le malade sous surveillance directe une demi-heure après chaque injection.
    – Nettoyer la peau et le bouchon perforable du flacon à l’alcool à 70 degrés utiliser une seringue de 1 ml graduée au
    1/100ème avec une aiguille de 15-5/10ème (seringue de type tuberculinique).
    – Vérifier la concentration du flacon MRV avant usage.
    – Agiter le flacon pour homogénéiser la suspension.
    – Ponctionner et mesurer avec précision la dose à injecter.
    – Injecter
    par voie sous-cutanée à la face externe du bras ou dans la région deltoïdinne.


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