SULFATE D’ATROPINE BIOSEDRA 0.25 mg/1 ml sol inj (Hôp)
SULFATE D’ATROPINE BIOSEDRA 0.25 mg/1 ml sol inj (Hôp)
Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 13/4/2001
- Identification de la spécialité
- Présentation et Conditionnement
- Composition
- Propriétés Thérapeutiques
- Indications Thérapeutiques
- Effets secondaires
- Précautions d’emploi
- Contre-Indications
- Surdosage
- Voies d’administration
- Posologie et mode d’administration
Identification de la spécialité
Autres dénominations :
No de Dossier d’AMM – VNL5520
Forme : SOLUTION INJECTABLE
Etat : commercialisé
Laboratoire : FRESENIUS FranceProduit(s) : ATROPINE SULFATE BIOSEDRA
Evénements :
- octroi d’AMM 1/8/1973
- validation de l’AMM 25/3/1991
- rectificatif d’AMM 5/2/2001
Présentation et Conditionnement
Numéro AMM : 315130-8
100
ampoule(s)
1
ml
verreEvénements :
- agrément collectivités 11/1/1984
Lieu de délivrance : hôpitaux
Etat actuel : commercialisé
Conservation (dans son conditionnement) : 36
mois
Régime : liste I
Composition
Expression de la composition : par unité de prise, soit pour :
Volume : 1
ml- ATROPINE SULFATE 0.25 mg
- CHLORURE DE SODIUM excipient
- SULFURIQUE ACIDE excipient
- EAU POUR PREPARATIONS INJECTABLES excipient
- ANTISPASMODIQUE ALCALOIDE DE LA BELLADONE (principale)
Bibliographie : Classe ATC : A03B-A01.
L’atropine s’oppose, de façon compétitive aux effets muscariniques de l’acétylcholine.
C’est un spasmolytique et un antidote des anticholinestérasiques.
-
– Bloc auriculo – ventriculaire ou atrio – ventriculaire.
– Pré – anesthésie : protection des manifestations vagales ( bradycardie à l’induction ).
– Dans l’infarctus : prévention et traitement des blocs auriculo – ventriculaires et des bradycardies sinusales.
– Traitement symptomatique des manifestations douloureuses aiguës liées aux troubles fonctionnels du tube digestif et des voies biliaires.
- SECHERESSE DE LA BOUCHE
Il est possible de diminuer ou de faire disparaître ces incidents par ajustement de la posologie. - TROUBLE DE L’ACCOMMODATION
Il est possible de diminuer ou de faire disparaître ces incidents par ajustement de la posologie. - SECHERESSE DE L’OEIL
Il est possible de diminuer ou de faire disparaître ces incidents par ajustement de la posologie. - CONSTIPATION
Il est possible de diminuer ou de faire disparaître ces incidents par ajustement de la posologie. - RETENTION D’URINE
Il est possible de diminuer ou de faire disparaître ces incidents par ajustement de la posologie. - HYPERVISCOSITE DES SECRETIONS BRONCHIQUES
Il est possible de diminuer ou de faire disparaître ces incidents par ajustement de la posologie. - TACHYCARDIE
Il est possible de diminuer ou de faire disparaître ces incidents par ajustement de la posologie. - PALPITATION
Il est possible de diminuer ou de faire disparaître ces incidents par ajustement de la posologie. - EXCITATION PSYCHOMOTRICE
Il est possible de diminuer ou de faire disparaître ces incidents par ajustement de la posologie. - IRRITABILITE
Condition(s) Exclusive(s) :
SUJET AGEIl est possible de diminuer ou de faire disparaître ces incidents par ajustement de la posologie.
- CONFUSION MENTALE
Condition(s) Exclusive(s) :
SUJET AGEIl est possible de diminuer ou de faire disparaître ces incidents par ajustement de la posologie.
- HYPERTROPHIE DE LA PROSTATE
A utiliser avec prudence. - INSUFFISANCE RENALE
A utiliser avec prudence. - INSUFFISANCE HEPATIQUE
A utiliser avec prudence. - INSUFFISANCE CORONARIENNE
A utiliser avec prudence. - TROUBLES DU RYTHME
A utiliser avec prudence. - HYPERTHYROIDIE
A utiliser avec prudence. - BRONCHITE CHRONIQUE
A utiliser avec prudence, en raison de l’accroissement de la viscosité des sécrétions bronchiques. - ATONIE INTESTINALE DU VIEILLARD
A utiliser avec prudence. - MEGACOLON TOXIQUE
A utiliser avec prudence. - GROSSESSE
Des études prospectives n’ont pas mis en évidence dans l’espèce humaine d’embryotoxicité ni de foetotoxicité.
En fin de grossesse : l’administration doit être prudente en raison du risque d’effets atropiniques chez l’enfant ( ileus méconiaux ). - ALLAITEMENT
A éviter du fait du passage de l’atropine dans le lait maternel, il existe des effets atropiniques chez l’enfant, aux doses thérapeutiques. - CONDUCTEURS DE VEHICULES
Eventuels troubles de l’accommodation. - UTILISATEUR DE MACHINE
Eventuels troubles de l’accommodation.
- GLAUCOME A ANGLE FERME
- TROUBLES URETRO-PROSTATIQUES
Risque de rétention urinaire. - ILEUS PARALYTIQUE
Traitement
Signes cliniques :
Ce sont ceux des atropiniques avec sécheresse de la bouche, mydriase, tarissement des sécrétions et surtout : tachycardie, agitation, confusion et hallucinations allant jusqu’au délire, dépression respiratoire.
Traitement :
Traitement
symptomatique avec surveillance cardiaque et respiratoire, en milieu hospitalier.
Voies d’administration
– 1 – SOUS-CUTANEE
– 2 – INTRAVEINEUSE
Posologie & mode d’administration
Posologie Usuelle :
Doit être administré sous contrôle médical.
– Spasmes :
. Chez l’adulte : zéro vingt cinq ( 0.25 ) milligramme à un milligramme toutes les six heures en SC. Posologie maximale : deux milligrammes par vingt quatre heures.
. Chez
l’enfant entre deux et six ans : zéro vingt cinq ( 0.25 ) milligramme en dose unique, au dessus de six ans : zéro cinquante ( 0.50 ) milligramme en dose unique.
– Médication pré – anesthésique :
. Chez l’enfant d’un mois à trente mois : zéro un ( 0.1 )
milligramme à zéro trois ( 0.3 ) milligramme en SC, de trente mois à quinze ans : zéro un ( 0.1 ) milligramme à zéro cinq ( 0.5 ) milligramme en SC.
. Chez l’adulte : un milligramme en SC.
– Bloc atrio – ventriculaire :
Chez l’adulte : zéro cinq ( 0.5 )
milligramme à un milligramme en IV lente.
.
.
Incompatibilités :
Ne pas mélanger avec d’autres médicaments au moment de l’emploi.