DILATRANE 300 mg gélules à libération prolongée

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DILATRANE 300 mg gélules à libération prolongée

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 4/1/2000

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : GELULES (MICROGRANULES A LIBERATION PROLONGEE)

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : LABOMED

    Produit(s) : DILATRANE

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 4/2/1985
    2. publication JO de l’AMM 7/4/1985
    3. mise sur le marché 15/2/1986

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 327879-9

    2
    plaquette(s) thermoformée(s)
    15
    unité(s)
    PVC/alu
    bleuté

    Evénements :

    1. agrément collectivités 18/12/1985
    2. inscription SS 18/12/1985


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Régime : aucune liste

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 12.52 F

    Prix public TTC : 20.70 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIASTHMATIQUE V. GENER. (XANTHINE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : R03D-A04.
      Par relaxation des muscles lisses s’oppose aux effets de nombreux médiateurs bronchoconstricteurs.
      Relaxation des muscles lisses des voies urinaires et biliaires.
      Inhibition de la dégranulation des mastocytes in vitro.
      Action stimulante centrale : psychostimulant, agent convulsivant à hautes doses.
      Action analeptique cardiaque : vasodilatation coronarienne augmentation des besoins en oxygène du coeur, la théophylline est considérée comme un coronarodilatateur ` malin `.


    1. Asthme à dyspnée paroxystique asthme à dyspnée continue formes spastiques des bronchopneumopathies obstructives chroniques.

    1. NAUSEE
      Cet effet peut être l’un des premiers signes d’un surdosage.
    2. VOMISSEMENT
      Cet effet peut être l’un des premiers signes d’un surdosage.
    3. DOULEUR EPIGASTRIQUE
      Cet effet peut être l’un des premiers signes d’un surdosage.
    4. CEPHALEE
      Cet effet peut être l’un des premiers signes d’un surdosage.
    5. EXCITATION PSYCHOMOTRICE
      Cet effet peut être l’un des premiers signes d’un surdosage.
    6. INSOMNIE
      Cet effet peut être l’un des premiers signes d’un surdosage.
    7. TACHYCARDIE
      Cet effet peut être l’un des premiers signes d’un surdosage.
    8. CRISE CONVULSIVE
      L’apparition de convulsions est le signe d’intoxication confirmée mais elles peuvent être le premier signe, notamment chez l’enfant.

    1. MISE EN GARDE
      Un surdosage peut résulter de doses inappropriées, de prises répétées à intervalle trop court ou d’une potentialisation par des médicaments associés ( cf. intéractions médicamenteuses).

      En raison des grandes variations inter-individuelles du métabolisme de la théophylline, il est nécessaire d’adapter les doses en fonction des réactions indésirables et/ou des taux sanguins ( cf. posologie et mode d’emploi).
    2. ENFANT
      L’administration chez l’enfant qui est extrêmement sensible à l’action des xanthines se fera préférentiellement en 2 prises matin et soir (demi-vie d’élimination courte). Voir aussi contre-indications.
    3. INSUFFISANCE CARDIAQUE
      Au besoin, réduire les doses.
    4. INSUFFISANCE HEPATIQUE
      Au besoin, réduire les doses.
    5. HYPERTHYROIDIE
    6. OBESITE
    7. INSUFFISANCE CORONARIENNE
    8. ANTECEDENTS COMITIAUX
    9. ULCERE GASTRODUODENAL
      Chez l’animal, les données expérimentales ont montré que la théophylline à un effet stimulant sur la sécrétion gastrique ; son administration doit être prudente chez les sujets ayant un ulcère gastro-duodénal en évolution.
    10. GROSSESSE
      Ne pas utiliser en fin de grossesse, possibilité de tachycardie, hyperexitabilité chez le nouveau né.

    1. ENFANT DE MOINS DE 3 ANS
      Environ 15 kg.
    2. INTOLERANCE A LA THEOPHYLLINE
    3. ASSOCIATION AVEC LA TROLEANDOMYCINE
    4. ASSOCIATION AVEC L’ERYTHROMYCINE

    Traitement

    * Signes :
    – Chez l’enfant : agitation, confusion mentale, vomissements répétés, hyperthermie, tachycardie, parfois fibrillation ventriculaire, convulsions, hypotension, troubles respiratoires, hyperventilation puis dépression respiratoire, rarement
    ulcération digestive avec hémorragies.
    – Chez l’adulte : convulsions, hyperthermie et arrêt cardiaque.
    * traitement : lavage gastrique, réanimation en milieu spécialisé.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    Les doses usuelles de théophylline sont généralement comprises entre 7 et 12 mg/kg/24 h (en cas d’obésite, la posologie est calculée par rapport au poids idéal). Si des doses supérieures à 12 mg/kg/24 h s’avèrent nécessaires pour
    obtenir un taux efficace (10 mcg/ml à 15 mcg/ml sans dépasser 20 mcg/ml) il est conseillé de contrôler la théophyllinémie.
    La posologie doit être adaptée à la susceptibilité individuelle, en fonction de l’efficacite et des effets indésirables.
    La dose
    journalière de Dilatrane à action prolongée sera administrée :
    . soit en deux prises par 24 heures (matin et soir) . soit en une seule prise le soir.


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