BIOLID ADULTES 500 mg poudre pr susp orale (arrêt de commercialisation)

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BIOLID ADULTES 500 mg poudre pr susp orale (arrêt de commercialisation)

Introduction dans BIAM : 25/5/1992
Dernière mise à jour : 8/7/1999

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : POUDRE POUR SUSPENSION BUVABLE

    unidose

    Usage : adulte

    Etat : arrêt de commercialisation

    Laboratoire : BELMAC EUROPE

    Produit(s) : BIOLID

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 29/4/1988
    2. publication JO de l’AMM 17/7/1988
    3. mise sur le marché 15/3/1992
    4. arrêt de commercialisation 1/12/1993

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 330820-1

    8
    sachet(s)
    papier

    Evénements :

    1. agrément collectivités 1/1/1988
    2. inscription SS 1/1/1988
    3. arrêt de commercialisation 1/12/1993


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    Matériel de dosage : unidose

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Conservation (préparée, reconstituée ou déconditionnée) : 7
    jour(s)

    CONSERVER AU REFRIGERATEUR

    Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 25.34 F

    Prix public TTC : 37.60 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIBIOTIQUE VOIE GENERALE (MACROLIDE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : J01F-A01.
      L’erythromycine est un antibiotique de la famille des macrolides.
      – La formulation Biolid de l’ethylsuccinate d’érythromycine a une biodisponibilité double de celle des formulation classiques, ce qui permet de réduire de moitié la posologie quotidienne pour un même effet thérapeutique.
      Spectre antibactérien :
      – Espèces habituellement sensibles :
      – Streptocoque A,
      – Streptocoque mitis, sanguis,
      – Pneumocoque,
      – Méningocoque,
      – Gonocoque,
      – Bordetella pertussis,
      – Corynebacterium diphteriae,
      – Listeria monocytogenes,
      – Clostridium,
      – Mycoplasma pneumoniae,
      – Chlamydia trachomatis,
      – Legionella pneumophila,
      – Tréponèmes,
      – Leptospires,
      – Campylobacter.
      – Espèces inconstamment sensibles :
      – Haemophilus influenzae,
      – Bacteroides fragilis,
      – Vibrio cholerae,
      – Staphylococcus aureus.
      – Espèces resistantes :
      – Enterobacteriaceae,
      – Pseudomonas.
      – Lorsque pour une espece donnée, la notion d’une sensibilité constante des souches n’est pas établie, seule une étude in vitro de la souche en cause permet de confirmer si elle est sensible, intermédiaire ou résistante.


    1. Elles procèdent de l’activité antibactérienne et des caractéristiques pharmacocinétiques (biodisponibilité double) de l’érythromycine.
      – Elles tiennent compte à la fois des études cliniques auxquelles a donne lieu ce médicament et de sa place dans l’éventail des produits antibactériens actuellement disponibles. Elles sont limitées :
      – Aux infections dues aux germes définis ci-dessus comme sensibles, notamment dans les manifestations :
      – ORL,
      – Bronchopulmonaires,
      – Stomatologiques,
      – Cutanées,
      – Génitales,
      – A la prophylaxie de la méningite à méningocoques chez les sujets contacts.
      – A la chimioprophylaxie des rechutes de R.A.A.

    1. TROUBLE DIGESTIF
    2. NAUSEE
    3. VOMISSEMENT
    4. DOULEUR EPIGASTRIQUE
    5. DIARRHEE
    6. REACTION ALLERGIQUE CUTANEE
    7. TRANSAMINASES(AUGMENTATION)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      POSOLOGIE ELEVEE

      Augmentation transitoire possible des transaminases ASAT-ALAT pouvant aboutir exceptionnellement à une hépatite cholestatique.

    1. INSUFFISANCE HEPATIQUE
      L’administration d’érythromycine n’est pas recommandée. Si elle est nécessaire, elle justifie alors une surveillance régulière des tests hépatiques et éventuellement une réduction de posologie.
    2. ALLAITEMENT
      Le passage dans le lait de l’érythromycine est faible.

    1. ALLERGIE A L’ERYTHROMYCINE
    2. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
      – Aux alcaloïdes de l’ ergot de seigle,notamment Ergotamine et Dihydroergotamine : des observations d’ischémie (ergotisme avec possibilité de nécroses des extrêmités) ont été rapportées après emploi simultané d’érythromycine et d’alcaloïdes vasoconstricteurs de l’ergot de seigle (ergotamine, dihydroergotamine) par interférence au niveau du métabolisme hépatique.
      – Avec l’Astémizole ou la Terfénadine : risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes (diminution du métabolisme hépatique de l’astémizole ou de la terfénadine par l’érythromycine).

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    un gramme à un gramme et demi par jour, soit deux à trois sachets par jour.
    .
    Mode d’emploi :
    Dissoudre le contenu d’un sachet dans un demi verre d’eau . Agiter jusqu’à dissolution.


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