DIERGO-SPRAY 4 mg/1 ml solution nasale (arrêt de commercialisation)

Donnez-nous votre avis

DIERGO-SPRAY 4 mg/1 ml solution nasale (arrêt de commercialisation)

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 4/5/2000

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : SOLUTION ENDONASALE

    Etat : arrêt de commercialisation

    Laboratoire : NOVARTIS PHARMA

    Produit(s) : DIERGO-SPRAY

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 17/2/1987
    2. publication JO de l’AMM 10/5/1987
    3. mise sur le marché 14/9/1987
    4. arrêt de commercialisation 13/4/2000

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 329261-2

    1
    ampoule(s)
    1
    ml
    verre brun

    Evénements :

    1. inscription SS 26/3/1994
    2. agrément collectivités 22/4/1994


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    Matériel de dosage : dispositif pulvérisateur

    Conservation (dans son conditionnement) : 48
    mois

    Conservation (préparée, reconstituée ou déconditionnée) : 24
    heure(s)

    Régime : liste II

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Composition

    Expression de la composition : EXPRIME POUR :

    Volume : 1
    ml

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIMIGRAINEUX (DERIVE DE L’ERGOT) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : N02C-A01.
      La dihydroergotamine est essentiellement caractérisée par les propriétés suivantes :
      – au niveau du système carotidien extracranien, par son action agoniste partielle (stimulation), notamment sur les récepteurs sérotoninergiques;
      – par une action agoniste partielle au niveau des récepteurs alpha-adrénergiques vasculaires, action plus marquée sur la circulation veineuse; il a été montré que l’effet veinoconstricteur peut être en partie attribué à la synthèse d’une substance `prostaglandine like`.
      A doses élevées enfin, la dihydroergotamine se comporte comme un bloqueur des récepteurs alpha-adrénergiques et sérotoninergiques.
      La cafine est un agent de solubilisation du mésilate de dihydroergotamine. Sa présence garantit par ailleurs le respect de la fonction ciliaire et favorise le passage du principe actif à travers la muqueuse nasale.


    1. Traitement de la crise de migraine.

    1. COMMENTAIRE GENERAL
      De façon générale, la tolérance immédiate et au long cours est bonne.
    2. OBSTRUCTION NASALE
      Réaction locale transitoire.
    3. RHINORRHEE
      Réaction locale transitoire.
    4. PARESTHESIE
      Sensations d’engourdissement.
    5. PARESTHESIE DES EXTREMITES
    6. NAUSEE

    1. INSUFFISANCE HEPATIQUE SEVERE
    2. INSUFFISANCE RENALE SEVERE
      Non compensée par hémodialyse.
    3. ALLAITEMENT
      En l’absence d’éléments concernant l’éventuel passage du produit dans le lait, l’administration de Diergo-spray est déconseillée en cas d’allaitement.
    4. ***
      Le contenu de l’ampoule réservé à l’administration par voie nasale ne doit pas être injecté.

    1. HYPERSENSIBILITE
      Aux dérivés de l’ergot.
    2. GROSSESSE
    3. INSUFFISANCE CORONARIENNE
    4. HYPERTENSION ARTERIELLE
      Mal contrôlée.
    5. AFFECTIONS VASCULAIRES OBLITERANTES
    6. ETAT INFECTIEUX
      Sévère.
    7. CHOC
    8. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
      – Avec les macrolides (tous sauf spriramycine) :
      Ergotisme avec possibilité de nécrose des extrêmités (diminution de l’élimination hépatique des alcaloïdes de l’ergot de seigle).
      – Avec le sumatriptan :
      Risque d’hypertension artérielle, de vasoconstriction artérielle coronarienne par addition d’effets vasoconstricteurs en cas d’association au cours d’une même crise de migraine.
      – Avec la bromocriptine : contre-indication relative.
      Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.

    Voies d’administration

    – 1 – NASALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    Une pulvérisation dans chaque narine dès les premières manifestations de la crise. Si après quinze à trente minutes, la céphalée migraineuse n’a pas complètement disparu, renouveler l’administration.
    .
    .
    Posologie Particulière :
    La
    dose maximale hebdomadaire ne doit pas dépasser six dispositifs.
    .
    .
    Mode d’Emploi :
    Pulvériser après mise en place de l’ampoule sur le dispositif pulvérisateur et après amorçage.
    Le dispositif permet une utilisation optimale de quatre pulvérisations
    qui correspondent à la dose quotidienne maximale.
    Il ne faut en aucun cas utiliser un autre dispositif pulvérisateur dans la même journée.


    Retour à la page d’accueil

Similar Posts