LODINE LP 400 mg comprimés pelliculés à libération prolongée

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LODINE LP 400 mg comprimés pelliculés à libération prolongée

Introduction dans BIAM : 29/1/1993
Dernière mise à jour : 6/11/1998

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : COMPRIMES PELLICULES A LIBERATION PROLONGEE

    Usage : adulte

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : WYETH-LEDERLE

    Produit(s) : LODINE

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 5/3/1992
    2. publication JO de l’AMM 30/9/1992
    3. mise sur le marché 15/1/1993

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 334805-7

    1
    plaquette(s) thermoformée(s)
    14
    unité(s)
    PVC/alu
    gris

    Evénements :

    1. agrément collectivités 23/8/1992
    2. inscription SS 23/8/1992


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 37.60 F

    Prix public TTC : 52.50 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIINFLAMMATOIRE NON STEROIDIEN (DERIVE ARYLACETIQUE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : M01A-B08.
      L’étodolac est un anti-inflammatoire non stéroïdien du groupe des acide pyranoindole-1-acétique, ensemble des dérivé de l’acide arylcarboxylique.


    1. Elles procèdent de l’activité anti-inflammatoire de l’étodolac, de l’importance des manifestations d’intolérance auxquelles le médicament donne lieu, et de sa place dans l’éventail des produits anti-inflammatoires actuellement disponibles.
      – Elles sont limitées chez l’adulte au traitement symptomatique au long court
      – des rhumatismes inflammatoires chroniques notamment polyarthrite rhumatoïde, spondylarthrite ankylosante ou syndromes apparentés tels que:
      Syndrome de Fiessenger-Leroy-Reiter et rhumatisme psoriasique,
      – traitement symptomatique des arthoses sévères chez les sujets pour lesquel la posologie de 400 mg pare jour est requise.

    1. TROUBLE DIGESTIF
      Discrets et transitoires.
    2. NAUSEE
    3. DIARRHEE
    4. DOULEUR EPIGASTRIQUE
    5. FLATULENCE
    6. CONSTIPATION
    7. HEMORRAGIE DIGESTIVE
      Lors d’études spécifiques, l’importance des pertes de sang digestives occultes induites par l’étodolac s’est rélévée moindre qu’avec d’autres AINS; elle a été comparable à celle observée au cours de périodes sans traitement initial.
    8. RASH
    9. PRURIT
    10. ERUPTION CUTANEE
    11. CRISE D’ASTHME
      Condition(s) Favorisante(s) :
      ALLERGIE AUX SALICYLES
      ALLERGIE AUX AINS

      Possibilité de survenue de crise d’asthme.

    12. TRANSAMINASES(AUGMENTATION)
      Transitoire et minine.
    13. CEPHALEE
    14. VERTIGE
    15. ASTHENIE

    1. MISE EN GARDE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      TRAITEMENT ANTICOAGULANT ASSOCIE

      En raison de la gravité possible des manifestations gastro- intestinales, notamment chez les malades soumis à un traitement anticoagulant, il convient de surveiller particulièrement l’apparition d’une symptomatologie digestive. En cas d’hémorragie gastro-intestinale, interrompre le traitement.

    2. ULCERE GASTRODUODENAL(ANTECEDENT)
    3. SURVEILLANCE RENALE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      DEBUT DE TRAITEMENT
      INSUFFISANCE CARDIAQUE
      CIRRHOSE
      INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE
      HYPOVOLEMIE

      Une surveillance attentive du volume de la diurèse et de la fonction rénale est nécessaire.

    4. SUJET AGE
      Il n’y a pas lieu de réduire la posologie chez le sujet agé.
    5. TRAITEMENT PROLONGE
      Au cours de traitements prolongés, il est recommandé de contrôler la formule sanguine, les fonctions hépatiques et rénales.
    6. PORT DU STERILET
      Possibilité de diminution d’efficacité des dispositifs intra-utérins.
    7. ALLAITEMENT
      Les AINS passant dans le lait maternel, par mesure de précaution, il convient d’éviter de les administrer chez la femme qui allaite.

    1. HYPERSENSIBILITE A CE PRODUIT
      Allergie avérée à l’étodolac et aux substances d’activité proche :
      – La survenue de crise d’asthme a été observée chez certains sujets, notamment allergiques à l’aspirine.
    2. ULCERE GASTRODUODENAL EVOLUTIF
    3. INSUFFISANCE HEPATOCELLULAIRE SEVERE
    4. INSUFFISANCE RENALE SEVERE
    5. ENFANT DE MOINS DE 15 ANS
    6. GROSSESSE
      Dans l’espèce humaine, aucun effet malformatif particulier n’a été signalé. Cependant, des études épidémiologiques complémentaires sont nécessaires afin de confirmer l’absence de risque.
      Au cours du troisième trimestre, tous les inhibiteurs de synthèse des prostaglandines peuvent exposer :
      – le foetus à :
      . une toxicité cardio-pulmonaire (hypertension pulmonaire avec fermeture prématurée du canal artériel);
      . un dysfonctionnement rénal pouvant aller jusqu’à l’insuffisance rénale avec oligohydramnios.
      – la mère et l’enfant, en fin de grossesse, à un allongement éventuel du temps de saignement.
      En conséquence, la prescription d’AINS ne doit être envisagée que si nécessaire pendant les 5 premiers mois de la grossesse.
      En dehors d’utilisations obstétricales extrêmement limitées et qui justifient une surveillance spécialisée, la prescription d’AINS est contre-indiquée à partir du 6ème mois.
    7. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
      Ce médicament ne doit généralement pas être utilisé en cas d’association avec :
      – les anticoagulants oraux,
      – d’autres AINS, y compris les salicylés à partir de 3 g/jour chez l’adulte,
      – l’héparine,
      – le lithium,
      – le méthotrexate à partir de 15 mg/semaine,
      – la ticlopidine.

    Traitement

    En cas de surdosage, un traitement symptomatique sera institué.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    – Réservé à l’adulte et à l’enfant de plus de 15 ans.
    – Un comprimé à quatre cents mg par jour.
    .
    Mode d’emploi :
    – Les comprimés sont à avaler entiers, sans les croquer, avec un verre d’eau, de préférence au milieu des repas.


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