THEOLAIR 125 mg comprimés
THEOLAIR 125 mg comprimés
Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 15/12/1999
- Identification de la spécialité
- Présentation et Conditionnement
- Composition
- Propriétés Thérapeutiques
- Indications Thérapeutiques
- Effets secondaires
- Précautions d’emploi
- Contre-Indications
- Surdosage
- Voies d’administration
- Posologie et mode d’administration
Identification de la spécialité
Autres dénominations :
code expérimentation – 3235
Forme : COMPRIMES SECABLES
Etat : commercialisé
Laboratoire : 3M SANTEProduit(s) : THEOLAIR
Evénements :
- octroi d’AMM 16/6/1981
- publication JO de l’AMM 10/10/1981
- mise sur le marché 1/1/1982
Présentation et Conditionnement
Conditionnement 1
Numéro AMM : 325462-3
1
plaquette(s) thermoformée(s)
30
unité(s)
blancEvénements :
Lieu de délivrance : officine
Etat actuel : commercialisé
Conservation (dans son conditionnement) : 36
mois
Régime : aucune listeRéglementation des prix :
remboursé
65 %
Prix Pharmacien HT : 7.31 F
Prix public TTC : 13 F
TVA : 2.10 %Conditionnement 2
Numéro AMM : 324662-9
1
boîte(s)
100
unité(s)
blancEvénements :
- agrément collectivités 28/1/1983
Lieu de délivrance : hôpitaux
Etat actuel : commercialisé
Conservation (dans son conditionnement) : 36
mois
Régime : aucune liste
Composition
Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE
- THEOPHYLLINE 125 mg
theophylline anhydre
- LACTOSE excipient
- CARMELLOSE SODIQUE excipient
- STEARATE DE MAGNESIUM excipient
- ANTIASTHMATIQUE V. GENER. (XANTHINE) (principale)
Bibliographie : Classe ATC : R03D-A04.
Par relaxation des muscles lisses, la théophylline s’oppose aux effets de nombreux médiateurs bronchoconstricteurs et provoque accessoirement une relaxation des muscles lisses des voies urinaires et biliaires.
Analeptique respiratoire, psychostimulant, agent convulsivant à hautes doses.
Stimulant cardiaque, vasodilatateur coronarien, la théophylline augmente les besoins en oxygène du coeur : pour cette raison elle est considérée comme un coronarodilatateur `malin`.
Antiréaginique bronchique par inhibition de la dégranulation des mastocytes.
-
Asthme à dyspnée paroxystique, asthme à dyspnée continue, formes spastiques des bronchopneumopathies obstructives chroniques.
- NERVOSITE
Associée à un légère agitation. Ces troubles cèdent le plus souvent spontanément. - INSOMNIE
Ces troubles cèdent le plus souvent spontanément. - TACHYCARDIE
Ephémère, ces troubles cèdent le plus souvent spontanément. - PESANTEUR EPIGASTRIQUE
Ces troubles cèdent le plus souvent spontanément. - NAUSEE
Ces troubles cèdent le plus souvent spontanément.
En début de traitement, ces effets signalent une intolérance digestive d’emblée à la théophylline, qui doit être interrompue au profit d’une autre thérapeutique. - VOMISSEMENT
En début de traitement, ces effets signalent une intolérance digestive d’emblée à la théophylline, qui doit être interrompue au profit d’une autre thérapeutique. - DOULEUR EPIGASTRIQUE
Ces signes traduisent une théophyllinémie supérieure à 20 mcg/ml donc un début d’intoxication. Ils doivent faire suspendre le traitement, nécessitent une surveillance médicale et, en cas de traitement préventif continu un réajustement de la posologie. - DIARRHEE
Ces signes traduisent une théophyllinémie supérieure à 20 mcg/ml donc un début d’intoxication. Ils doivent faire suspendre le traitement, nécessitent une surveillance médicale et, en cas de traitement préventif continu un réajustement de la posologie. - CEPHALEE
Ces signes traduisent une théophyllinémie supérieure à 20 mcg/ml donc un début d’intoxication. Ils doivent faire suspendre le traitement, nécessitent une surveillance médicale et, en cas de traitement préventif continu un réajustement de la posologie. - TREMBLEMENT
Ces signes traduisent une théophyllinémie supérieure à 20 mcg/ml donc un début d’intoxication. Ils doivent faire suspendre le traitement, nécessitent une surveillance médicale et, en cas de traitement préventif continu un réajustement de la posologie. - EXCITATION PSYCHOMOTRICE
Ces signes traduisent une théophyllinémie supérieure à 20 mcg/ml donc un début d’intoxication. Ils doivent faire suspendre le traitement, nécessitent une surveillance médicale et, en cas de traitement préventif continu un réajustement de la posologie. - TACHYCARDIE PERMANENTE
Ces signes traduisent une théophyllinémie supérieure à 20 mcg/ml donc un début d’intoxication. Ils doivent faire suspendre le traitement, nécessitent une surveillance médicale et, en cas de traitement préventif continu un réajustement de la posologie.
- JEUNE ENFANT
Utiliser avec grande prudence chez le jeune enfant qui est extrêmement sensible à l’action des xanthines : la prescription de théophylline ou de ses dérivés peut être dangereuse (séquelles neurologiques irréversibles et décès signalés pour des doses de 20 mg/kg en suppositoires) . - ENFANT
posologie prudente - INSUFFISANCE CARDIAQUE
- INSUFFISANCE CORONARIENNE
- HYPERTHYROIDIE
- INSUFFISANCE HEPATIQUE
(au besoin réduire les doses) - ANTECEDENTS COMITIAUX
- ETAT FEBRILE
- OBESITE
- GROSSESSE
En cas d’administration en fin de grossesse, possibilité de tachycardie, hyperexitabilité chez le nouveau né. - ULCERE GASTRODUODENAL EVOLUTIF
– Chez l’animal : des données expérimentales ont montré que la théophylline a un effet stimulant sur la sécrétion gastrique.
Traitement
– Signes chez l’enfant : agitation, logorrhée, confusion mentale, vomissements répétés, hyperthermie, tachycardie, parfois troubles du rythme cardiaque, convulsions, hypotension, troubles respiratoires, hyperventilation puis dépression respiratoire,
rarement ulcérations digestives avec hémorragie.
– Signes chez l’adulte : convulsions, hyperthermie et arrêt cardiaque.
– Traitement : lavage gastrique, réanimation en milieu spécialisé.
Voies d’administration
Posologie & mode d’administration
Posologie Usuelle :
– Tester la susceptibilité individuelle en fonction de l’efficacité et des effets indésirables, en commençant par des doses de l’ordre de sept à huit milligrammes par kilogramme jusqu’à douze milligrammes par kilogramme par vingt
quatre heures.
Des doses plus élevées peuvent être nécessaires, notamment chez l’enfant, pour obtenir un taux efficace, mais sous contrôle de la théophyllinémie (dix à quinze microgrammes par millilitre, ne pas dépasser vingt microgrammes par
millilitre) .
– En cas d’obésité : adapter la posologie au poids idéal.
– Adultes : la posologie moyenne de la théophylline est de sept cents milligrammes par jour. En cas de crise, administrer d’emblée la moitié de la dose journalière. Prendre en
moyenne deux comprimés trois fois par jour, toutes les huit heures environ.
– Enfants de plus de trente mois : dans les cas ou les conditions de traitement le nécessitent en particulier chez l’enfant, la posologie sera ajustée en se basant sur les
théophyllinémies.
La posologie moyenne journalière en théophylline est comprise entre dix à quinze milligrammes par kilogramme. En cas de crise, administrer d’emblée la moitié de la dose journalière.
– Enfants de trente mois à six ans : quinze
milligrammes par kilogramme par jour en trois prises.
– Enfants de six à douze ans : un demi à un comprimé trois fois par jour à intervalle de huit heures environ.
– Enfants de douze à quinze ans : un à deux comprimés trois fois par jour.
.
Mode
d’Emploi :
Utiliser avec grande prudence chez le jeune enfant :
La prescription de théophylline ou de ses dérivés peut être dangereuse (séquelles neurologiques irréversibles et décès signalés pour des doses de vingt quinze milligrammes par kilogramme en
suppositoires) . Un surdosage peut résulter de doses inappropriées (au besoin fractionner les présentations) , de prises répétées à intervalles trop courts, par potentialisation par des médicaments associés ( cf. interactions médicamenteuses) en raison
des grandes variations inter-individuelles du métabolisme de la théophylline , il est nécessaire d’adapter les doses en fonction, des réactions indésirables et/ou des taux sanguins (cf.posologie et mode d’emploi) .
.
Incompatibilité Physico-Chimique
:
Celles de la théophylline.