UROALPHA 120 mg comprimés (arrêt de commercialisation)

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UROALPHA 120 mg comprimés (arrêt de commercialisation)

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 11/1/2001

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Autres dénominations :
    nom ancien – URALPHA 120MG


    Forme : COMPRIMES

    Etat : arrêt de commercialisation

    Laboratoire : DEBAT

    Produit(s) : UROALPHA

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 22/6/1988
    2. publication JO de l’AMM 4/10/1988
    3. mise sur le marché 15/8/1989
    4. arrêt de commercialisation 28/6/1993

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 330951-9

    3
    plaquette(s) thermoformée(s)
    20
    unité(s)
    PVC/alu
    blanc

    Evénements :

    1. agrément collectivités 9/7/1989
    2. inscription SS 9/7/1989
    3. arrêt de commercialisation 26/8/1993
    4. radiation SS 20/3/1996


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Régime : aucune liste

    Prix Pharmacien HT : 89.68 F

    Prix public TTC : 111.40 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. VASODILATATEUR PERIPHERIQUE (AUTRE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : C04A-X10.
      – Alpha bloquant adrénergique dont l’antagonisme est plus marqué pour les récepteurs alpha 1 que alpha 2. Exerce une activité plus importante au niveau urétral qu’au niveau d’autres organes.
      – Après administration orale, le moxisylyte (ou thymoxamine) est déacétylé par les estérases intestinales et plasmatiques. Cette biotransformation est rapide ; la thymoxamine circulante n’est pas détectable. Le déacétylthymoxamine ainsi formé subit une déméthylation au niveau du foie pour donner la déméthyldéacétyl – thymoxamine ainsi qu’une sulfo et une glucuroconjugaison.
      Après administration orale de 480mg, le déméthyldéacétylthymoxamine n’est pas détectable et le déacétylthymoxamine est mesurable dans le plasma. Pour les dérivés sulfo et glycuroconjugués du déacétylthymoxamine et le sulfoconjugué du déméthyldéacétylthymoxamine, le tmax est d’environ une heure, la demi- vie d’élimination est de une à deux heures. Ils ne sont plus détectables après 12 heures. Leur élimination est essentiellement urinaire.

    1. ***
      Traitement de certaines manifestations fonctionnelles de l’hypertrophie bénigne de la prostate, notamment :
      – dans le cas ou la chirurgie, pour une raison ou une autre, doit être retardée,
      – au cours des poussées évolutives de l’adénome ou la symptomatologie est augmentée et ce d’autant plus que le patient est plus âgé.

    1. VERTIGE (RARE)
      Effet benin régressif à l’arrêt du traitement.
    2. SECHERESSE DE LA BOUCHE (RARE)
      Effet benin régressif à l’arrêt du traitement.
    3. NAUSEE (RARE)
      Effet benin régressif à l’arrêt du traitement.
    4. CEPHALEE (RARE)
      Effet benin régressif à l’arrêt du traitement.
    5. TROUBLE DU SOMMEIL (RARE)
      Effet benin régressif à l’arrêt du traitement.

    1. INDICATION LIMITEE
      – Uralpha n’ayant pas d’action hypotensive ne dispense pas du traitement de l’hypertension artérielle si celui-ci s’avère nécessaire

      – Les alpha-bloquants ne constituent pas un traitement de l’hypertrophie bénigne de la prostate et ne doivent être prescrits qu’après une étude clinique, biologique, radiologique, ayant permis le diagnostic de cette affection et l’appréciation de son retentissement sur le haut appareil.

    1. ***
      Pression artérielle systolique inférieure à 100 mm de hg.
      Cette spécialité ne doit pas être associée à des béta-bloquants ou à d’autres alpha-bloquants.

    Traitement

    Les données de la littérature ne rapportent aucune effet alarmant consécutif à un surdosage oral par le chlorhydrate de moxisylyte.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    La posologie moyenne est de quatrecomprimés par jour, répartis en trois prises selon le schéma thérapeutique suivant :
    – un comprimé le matin
    – un comprimé à midi
    – deux comprimés le soir.
    .
    .
    Mode d’Emploi :
    Le traitement sera
    limité à vingt huit jours.


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