TIEMOZYL solution injectable (arrêt de commercialisation)
TIEMOZYL solution injectable (arrêt de commercialisation)
Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 26/8/1998
- Identification de la spécialité
- Présentation et Conditionnement
- Composition
- Propriétés Thérapeutiques
- Indications Thérapeutiques
- Effets secondaires
- Précautions d’emploi
- Contre-Indications
- Surdosage
- Voies d’administration
- Posologie et mode d’administration
Identification de la spécialité
Forme : SOLUTION INJECTABLE
Etat : arrêt de commercialisation
Laboratoire : S.C.A.T. DIVISION OZOTHINEProduit(s) : TIEMOZYL
Evénements :
- octroi d’AMM 29/4/1968
- mise sur le marché 15/3/1969
- arrêt de commercialisation 30/8/1991
Présentation et Conditionnement
Numéro AMM : 310644-3
8
ampoule(s)
5
ml
verreEvénements :
- agrément collectivités 5/1/1969
- inscription SS 5/1/1969
- radiation collectivités 18/8/1991
- arrêt de commercialisation 30/8/1991
- radiation SS 21/8/1992
Lieu de délivrance : officine et hôpitaux
Etat actuel : arrêt de commercialisation
Conservation (dans son conditionnement) : 36
mois
Régime : liste II
Composition
Expression de la composition : par unité de prise, soit pour :
Volume : 5
ml- TIEMONIUM IODURE 0.01 g
- DIPROPHYLLINE 0.25 g
- CHLORURE DE SODIUM excipient
- EAU POUR PREPARATIONS INJECTABLES excipient
- ANTIASTHMATIQUE V. GENER. (XANTHINE) (principale)
Bibliographie : Classe ATC : R03D-A54.
– iodure de tiemonium : anticholinergique et relaxant de la fibre musculaire lisse bronchique.
– diprophylline : moins active que la théophylline, bronchodilatateur par relaxation des muscles lisses, s’oppose aux effets de nombreux médiateurs bronchoconstricteurs. Action de stimulation cardiaque, de vasodilatation coronarienne, d’augmentation des besoins en oxygène du coeur.
Théophylline et ses dérivés sont consideres comme des coronarodilatateurs `malins`.
- ***
Proposé dans :
– crise d’asthme paroxystique aiguë prolongée.
– état de mal asthmatique. - ASTHME A DYSPNEE PAROXYSTIQUE
- ETAT DE MAL ASTHMATIQUE
- NAUSEE (RARE)
- VOMISSEMENT (RARE)
- DOULEUR EPIGASTRIQUE (RARE)
- CONSTIPATION (RARE)
- TACHYCARDIE (RARE)
- CEPHALEE (RARE)
- EXCITATION PSYCHOMOTRICE (RARE)
- INSOMNIE (RARE)
- INSUFFISANCE CARDIAQUE
Précautions communes à la théophylline et à ses dérivés. - INSUFFISANCE CORONARIENNE
Précautions communes à la théophylline et à ses dérivés. - INSUFFISANCE HEPATIQUE
Précautions communes à la théophylline et à ses dérivés. - ANTECEDENTS COMITIAUX
Précautions communes à la théophylline et à ses dérivés. - OBESITE
Précautions communes à la théophylline et à ses dérivés. - ULCERE GASTRODUODENAL EVOLUTIF
Précautions communes à la théophylline et à ses dérivés. - GROSSESSE
En cas d’administration en fin de grossesse, possibilité de tachycardie, hyperexitabilité chez le nouveau né.
- ENFANT
Réservé à l’adulte. - INTOLERANCE A L’IODE
- ADENOME PROSTATIQUE
- GLAUCOME A ANGLE FERME
Signes de l’intoxication :
- EXCITATION PSYCHOMOTRICE
- LOGORRHEE
- CONFUSION MENTALE
- VOMISSEMENT
- FIEVRE
- TACHYCARDIE
- FIBRILLATION VENTRICULAIRE
- CRISE CONVULSIVE
- HYPOTENSION ARTERIELLE
- HYPERVENTILATION
- DEPRESSION RESPIRATOIRE
- ULCERE GASTRIQUE
- HEMORRAGIE DIGESTIVE
- ARRET CARDIAQUE
Traitement
– signes chez l’enfant : agitation, logorrhée, confusion mentale, vomissements répétés, hyperthermie, tachycardie, parfois fibrillation ventriculaire, convulsions, hypotension, troubles respiratoires, hyperventilation puis dépression respiratoire,
rarement ulcérations digestives avec hémorragies.
– chez l’adulte : convulsions, hyperthermie et arrêt cardiaque.
– traitement : lavage gastrique, réanimation en milieu spécialisé.
Voies d’administration
– 1 – INTRAMUSCULAIRE
– 2 – INTRAVEINEUSE
Posologie & mode d’administration
Posologie Usuelle :
– Adultes : une à deux ampoules par jour.
.
Posologie Particulière :
– apprécier la susceptibilité individuelle en fonction de l’efficacité et des effets indésirables.
– en cas d’obésité, adapter la posologie au poids idéal.
.
Mode
d’Emploi :
– L’injection I.V. doit être très lente (3 a 4 minutes) et le sujet couché.
– Dans les cas sévères, la deuxième injection peut être faite une à deux heures après la première.