BRONCORINOL RHINITES gélules

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BRONCORINOL RHINITES gélules

Introduction dans BIAM : 9/5/1994
Dernière mise à jour : 8/7/1999

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Examens Perturbés
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : GELULES

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : ROCHE NICHOLAS S.A.

    Produit(s) : BRONCORINOL

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 6/3/1992
    2. publication JO de l’AMM 30/9/1992
    3. mise sur le marché 15/4/1994

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 334791-6

    1
    plaquette(s) thermoformée(s)
    16
    unité(s)
    orange/blanc

    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Régime : aucune liste

    Réglementation des prix :
    non remboursé

    Prix Pharmacien HT : 19.20 F

    Prix public TTC : 31.90 F

    TVA : 5.50 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. DECONGESTIONNANT NASAL V. GENER. (SYMPATHOMIMETIQUE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : R01B-A52.
      – Alpha-sympathomimétique possédant des propriétés bêta adrénergiques, entrainant une vasoconstriction au niveau des muqueuses et de la peau, associée à une bronchodilatation.

    1. ***
      Traitement symptomatique de la congestion nasale (avec sensation de nez bouché) au cours des rhinites, avec maux de tête et/ou fièvre.
    2. RHINITE
    3. RHINORRHEE
    4. CONGESTION NASALE

    1. REACTION ALLERGIQUE (RARE)
      Nécessitent l’arrêt du traitement.
    2. RASH (RARE)
      Accidents allergiques nécessitant l’arrêt du traitement.
    3. ERYTHEME (RARE)
      Accidents allergiques nécessitant l’arrêt du traitement.
    4. URTICAIRE (RARE)
      Accidents allergiques nécessitant l’arrêt du traitement.
    5. THROMBOPENIE (EXCEPTIONNEL)
    6. SECHERESSE DE LA BOUCHE
    7. INSOMNIE
    8. MIGRAINE
    9. ANXIETE

    1. MISE EN GARDE
      Interrompre le traitement en cas de tachycardie, palpitations, nausées.

      La rhinite allergique et/ou vasomotrice n’est pas une indication.
    2. SPORTIFS
      L’attention des sportifs sera attirée sur le fait que la pseudoéphédrine peut induire une réaction positive des tests pratiques lors des contrôles antidopage.
    3. ANGOR
      Comme tous les sympathomimétiques la pseudoéphédrine doit être utilisée avec prudence en cas d’angor.
    4. HYPERTENSION ARTERIELLE
      Comme tous les sympathomimétiques la pseudoéphédrine doit être utilisée avec prudence en cas d’hypertension artérielle.
    5. HYPERTHYROIDIE
      Comme tous les sympathomimétiques la pseudoéphédrine doit être utilisée avec prudence en cas d’hyperthyroïdie.
    6. DIABETE
      Comme tous les sympathomimétiques la pseudoéphédrine doit être utilisée avec prudence en cas de diabète.
    7. GLAUCOME
      Comme tous les sympathomimétiques la pseudoéphédrine doit être utilisée avec prudence en cas de glaucome.
    8. TROUBLES MICTIONNELS
      surveillance de personnes souffrant de troubles mictionnels, surtout des sujets agés avec troubles prostatiques (du fait de l’action des alpha sympathomimétiques sur le sphincter vésical).
    9. INTERVENTION CHIRURGICALE
      en cas d’intervention: il est préférable d’interrompre le traitement quelques jours avant, en raison du risque de poussée hypertensive en cas d’utilisation d’anesthésiques volatils halogènés.
    10. GROSSESSE
      Les résultats des études réalisées chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effet tératogène et ne permettent pas de préjuger l’absence d’un effet malformatif dans l’espèce humaine. Toutefois, par mesure de prudence, ne pas prescrire cette association chez la femme enceinte ou susceptible de l’être.
    11. ALLAITEMENT
      Ne pas utiliser chez la mère qui allaite.

    1. ENFANT DE MOINS DE 15 ANS
      Contre-indication absolue.
    2. HYPERSENSIBILITE
      Contre-indications absolues:
      – allergie connue à la pseudoéphédrine,
      – hypersensibilité au paracétamol.
    3. INSUFFISANCE HEPATOCELLULAIRE
      Contre-indication absolue.
    4. ASSOCIATION AUX IMAO NON SELECTIFS
      contre-indication absolue:
      association aux IMAO non selectifs: risque de poussée hypertensive, d’hyperthermie pouvant être fatale.
    5. ASSOCIATION AVEC LA GUANETHIDINE ET APPARENTES
      contre-indication relative.
    6. HYPERTENSION SEVERE
      Contre-indication absolue.
    7. CORONAROPATHIE
      Contre-indication absolue.

    1. INTERACTION AVEC LES EXAMENS PARACLINIQUES
      La prise de paracétamol peut fausser le dosage de l’acide urique sanguin par la méthode à l’acide phosphotungstique, et le dosage de la glycémie par la méthode à la glucose oxydase-peroxydase.

    Traitement

    Symptômes: nausées, vomissements, anorexie, pâleur, douleurs abdominales apparaissant généralement dans les 24 premières heures.
    Un surdosage à partir de 10g de paracétamol (150 mg/kg de poids corporel chez l’enfant) peut provoquer une cytolyse hépatique
    et susceptible d’aboutir à une nécrose complète et irreversible, se traduisant par une insuffisance hépatocellulaire, une acidose métabolique, une encéphalopathie pouvant aller jusqu’au coma et mort.
    Simultanément, on observe une augmentation des
    transaminases hépatiques, de la lactico-déshydrogenase, de la bilirubine et une augmentation du taux de prothrombine pouvant apparaitre 12 a 48 heures apres l’ingestion.
    Conduite d’urgence:
    – Transfert immédiat en milieu hospitalier.
    – Evacuation rapide
    du produit ingéré par lavage gastrique.
    – Avant de commencer le traitement prélever un tube de sang, pour le dosage plasmatique du paracétamol.
    – Le traitement du surdosage comprend l’administration aussi précoce que possible de l’antidote
    n-acétylcystèine par voie I.V. ou voie orale, si possible avant la dixième heure.
    – Il comprend également l’administration de charbon active et l’acidification des urines en donnant du chlorure d’ammonium (pour augmenter l’élimination de la
    pseudoéphédrine).

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    – Réservé à l’adulte : une à deux gélules, trois fois par jour.
    – La durée maximale de traitement est de cinq jours.


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