SPECILLINE G 1 M UI Pdre pr sol inj (arrêt de commercialisation)
SPECILLINE G 1 M UI Pdre pr sol inj (arrêt de commercialisation)
Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 14/1/2000
- Identification de la spécialité
- Présentation et Conditionnement
- Composition
- Propriétés Thérapeutiques
- Indications Thérapeutiques
- Effets secondaires
- Précautions d’emploi
- Contre-Indications
- Voies d’administration
- Posologie et mode d’administration
Identification de la spécialité
Autres dénominations :
code expérimentation – 2871 RP
Forme : POUDRE POUR SOLUTION INJECTABLE
Etat : arrêt de commercialisation
Laboratoire : SPECIAProduit(s) : SPECILLINE G
Evénements :
- octroi d’AMM 5/6/1956
- mise sur le marché 15/1/1957
- arrêt de commercialisation 10/10/1992
Présentation et Conditionnement
Conditionnement 1
Numéro AMM : 309901-6
1
flacon(s)
verreEvénements :
- agrément collectivités 16/12/1960
- inscription SS 19/3/1973
- inscription liste sub. vénéneuses 29/5/1973
- arrêt de commercialisation 10/10/1992
Lieu de délivrance : officine
Etat actuel : arrêt de commercialisation
Conservation (dans son conditionnement) : 60
mois
Régime : liste IRéglementation des prix :
remboursé
65 %
Prix Pharmacien HT : 3.20 F
Prix public TTC : 5.90 F
TVA : 2.10 %Conditionnement 2
Numéro AMM : 550456-7
50
flacon(s)
verreEvénements :
- agrément collectivités 16/12/1960
Lieu de délivrance : hôpitaux
Etat actuel : arrêt de commercialisation
Conservation (dans son conditionnement) : 60
mois
Régime : liste I
Composition
Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE
- BENZYLPENICILLINE SODIQUE 1 million(s) U.I.
- ANTIBIOTIQUE VOIE GENERALE (PENICILLINE SENS. B-LACTAMASE) (principale)
Bibliographie : Classe ATC : J01C-E01.
Pénicilline du groupe G
– Espèces habituellement sensibles (CMI < ou = 0.25 mg / l)
Plus de 90 % des souches de l’espèce sont sensibles (ªSº)
Streptocoques, C. diphteriae, L. monocytogenes, B. anthracis,
Streptobacillus moniliformis, E. rhusiopathiae,
N. meningitidis, P. multocida, Moraxella,
Peptostreptococcus, Clostridium sp., P. acnes, A. israeli,
Fusobacterium sp.
Treponema, Borrelia, leptospira– Espèces modérément sensibles
L’antibiotique est modérément actif in vitro. des résultats cliniques satisfaisants peuvent être observés lorsque les concentrations de l’antibiotique au site de l’infection sont supérieures à la CMI
E. faecalis– Espèces résitantes (CMI > 16 mg /l)
Au moins 50 % des souches de l’espèce sont résistantes (ªRº)
Staphylocoques, bacilles à Gram négatif : entérobactéries,
aérobies stricts non fermentaires, M. catarrhalis
Bacteroïdes sp.,
Mycobactéries, Mycoplasma, Chlamydiae, Legionella, Rickettsies,– Espèces inconstamment sensibles
Le pourcentage de résistance acquise est variable. La sensibilité est donc imprévisible en l’absence d’antibiogramme.
S. pneumoniae, N. gonorrhoeae, H. lnfluenzae, E. faecium
PrevotellaNB : les souches productrices de bêtalactamases doivent être considérées comme résistantes quelle que soit la CMI.
Certaines espèces bactériennes ne figurent pas dans le spectre en l’absence d’indication cliniques.Le tréponème de la syphilis est extrêmement sensible.
– après injection intramusculaire, le pic sérique est atteint en 15 à 30 minutes.
– diffusion tissulaire modérée, passage de la barrière hémato-encéphalique faible lorsque celle-ci n’est pas enflammée.
– demi-vie plasmatique environ une demi-heure chez le sujet normal, plusieurs heures chez l’insuffisant rénal.
– excrétion rapide, essentiellement urinaire.
-
Toutes les infections à germes penicillino-sensibles, qu’elles soient localisées (bronchopulmonaires, O.R.L., cutanées, méningées…) ou généralisées (septicémies, endocardites).
- REACTION ALLERGIQUE
- ERUPTION CUTANEE
- URTICAIRE
- EOSINOPHILIE
- OEDEME ANGIONEUROTIQUE
- CHOC ANAPHYLACTIQUE
- CRISE CONVULSIVE
Condition(s) Exclusive(s) :
FORTES DOSESDoses supérieures à 50 millions d’unités ou lorsque les injections intraveineuses de plus de 5 millions d’unités sont effectuées rapidement.
- MISE EN GARDE
Des réactions d’hypersensibilité (anaphylaxie) sévères et parfois fatales ont été observées chez des malades traités par les pénicillines. L’administration de pénicilline nécessite donc un interrogatoire préalable. Devant des antécédents d’allergie typique à ces produits, la contre-indication est formelle.
L’allergie aux penicillines est croisée avec l’allergie aux céphalosporines dans 5 à 10% des cas. Cela conduit à proscrire les pénicillines lorsque le sujet est un allergique connu aux céphalosporines. - INSUFFISANCE RENALE
Dans ce cas, il y a lieu d’adapter la posologie.
Voies d’administration
– 1 – INTRAMUSCULAIRE
– 2 – INTRAVEINEUSE(EN PERFUSION)
Posologie & mode d’administration
Posologie Usuelle :
Voie intra-musculaire :
Adultes : un million à trois millions d’unités internationales par vingt quatre heures.
Voie intra-veineuse en perfusion continue ou discontinue :
– deux millions à cinq millions d’U.I., la dose peut être
majorée mais sans dépasser 50 millions d’U.I. par jour habituellement.
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Posologie Particulière :
– Enfants : cinq cent mille à un million unités internationales par intra-musculaire par vingt quatre heures, selon l’âge.
Insuffisance rénale sévère :
(clairance de la créatinine inférieure à 10 ml/mn)
– réduire de moitié la dose par injection en conservant le même intervalle entre les injections, soit espacer les injections de 8 à 12 heures sans modifier la dose par injection.
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Mode d’Emploi
:
Préparer aseptiquement la solution en introduisant dans le flacon trois à cinq millilitres d’eau pour préparations injectables ou de soluté physiologique stérilisé.
La dose journalière est habituellement administrée en trois injections espacées de
huit heures.
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Incompatibilité Physico-Chimique :
Acides, alcools, alcalins, aminés, oxydants, cétones, adrénaline, chloramphénicol, complexe vitaminique b, héparine, oxytétracycline, pénthiobarbital, péntobarbital, phénothiazines, glucoses à 15%,
terramycine, tétracycline, sulfaméthoxypyridazine.