AMODEX 250 mg gélules (arrêt de commercialisation)

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AMODEX 250 mg gélules (arrêt de commercialisation)

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 15/12/1999

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : GELULES

    Etat : arrêt de commercialisation

    Laboratoire : BOUCHARA

    Produit(s) : AMODEX

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 23/6/1980
    2. publication JO de l’AMM 7/11/1980
    3. mise sur le marché 5/4/1982
    4. arrêt de commercialisation 1/12/1992

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 323451-4

    1
    plaquette(s) thermoformée(s)
    12
    unité(s)

    Evénements :

    1. inscription SS 22/4/1982
    2. agrément collectivités 11/5/1982
    3. arrêt de commercialisation 1/12/1992


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 13.13 F

    Prix public TTC : 21.60 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    • AMOXICILLINE 250 mg
      amoxicilline (sous forme de trihydrate)

    Principes non-actifs

    1. ANTIBIOTIQUE VOIE GENERALE (PENICILLINE SPECTRE ELARGI) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : J01C-A04.
      De la famille des bêta-lactamines du groupe des pénicillines de type A (Aminopénicilline),son mode d’action est bactéricide.
      Spectre antibactérien :
      – Espèces habituellement sensibles (CMI inférieure ou égale à 4 mg/l)
      Plus de 90 % des souches de l’espèce sont sensibles (‘S’).
      Sreptocoques A, B, C, F, G ; S. bovis ; Sreptocoques non groupables
      S. pneumoniae pénicilline-sensibles
      E. faecalis, L. monocytogenes
      C. diphteriae, E. rhusopathiae, Eikenella
      N. meningitidis, B. pertussis
      Clostridium sp., P. acnes
      Peptostreptococcus, Actinomyces
      Leptospires, Borrelia, Treponema
      S. typhi, Eubacterium, A. actinomycetemcomitans.
      – Espèces résistantes (CMI supérieure à 16 mg/l)
      Au moins 50 % des souches de l’espèce sont résistantes (‘R’).
      Staphylocoques, B. catarrhalis
      Klebsiella pneumoniae et oxytoca
      Enterobacter, Serratia, C. diversus, C. freundii
      P. rettgeri, M. morganii, P. vulgaris, Providencia, Y. enterocolitica
      Pseudomonas sp., Acinetobacter sp., Xanthomonas sp.,
      Flavobacterium sp., Alcaligenes sp.
      Nocardia sp., Campylobacter sp.
      Mycoplasmes, Chlamydiae
      Rickettsies, Legionella, Mycobactéries
      B. fragilis.
      – Espèces inconstamment sensibles.
      Le pourcentage de résistance acquise est variable. La sensibilité est donc imprévisible en l’absence d’antibiogramme.
      E. faecium, S. pneumoniae peni I ou R
      E. coli, P. mirabilis, Shigella, V. cholerae
      H. influenzae, N. gonorrhoeae
      Fusobacterium, Prevotella
      Veillonella
      Capnocytophaga
      Porphyromonas.
      Certaines espèces bactériennes ne figurent pas dans le spectre en l’absence d’indication clinique.


    1. Elles procèdent de l’activité antibactérienne et des caractéristiques pharmacocinétiques de l’amoxicilline. elles tiennent compte à la fois des études cliniques auxquelles a donne lieu le médicament et de sa place dans l’éventail des produits antibactériens actuellement disponibles.
      Elles sont limitées aux infections dues aux germes definis ci-dessus comme sensibles, dans leurs manifestations:
      -respiratoires,
      -ORL et stomatologiques
      -rénales et urogénitales
      -gynécologiques
      -digestives et biliaires.
      Amodex peut être utilisé comme forme de relais dans les infections méningées (bon passage de la barrière méningée), septicémiques et endocarditiques.

    1. URTICAIRE
      Manifestations d’allergies à l’amoxicilline (qui nécessitent l’arrêt du traitement).
    2. EOSINOPHILIE
      Manifestations d’allergies à l’amoxicilline (qui nécessitent l’arrêt du traitement).
    3. OEDEME ANGIONEUROTIQUE
      Manifestations d’allergies à l’amoxicilline (qui nécessitent l’arrêt du traitement).
    4. GENE RESPIRATOIRE
      Manifestations d’allergies à l’amoxicilline (qui nécessitent l’arrêt du traitement).
    5. CHOC ANAPHYLACTIQUE
      Manifestations d’allergies à l’amoxicilline (qui nécessitent l’arrêt du traitement).
    6. ERUPTION CUTANEE
      Maculopapuleuse d’origine allergique ou non.
    7. TROUBLE DIGESTIF
      Avec modification de la flore.
    8. DIARRHEE
    9. VOMISSEMENT
    10. NAUSEE
    11. CANDIDOSE
    12. TRANSAMINASES(AUGMENTATION)
      Augmentation modérée et transitoire des transaminases sériques.
    13. NEPHROPATHIE INTERSTITIELLE AIGUE
    14. ANEMIE
      Réversible.
    15. LEUCOPENIE
      Réversible.
    16. THROMBOPENIE
      Réversible.
    17. ENTEROCOLITE PSEUDOMEMBRANEUSE
      Quelques cas ont été rapportés.

    1. INSUFFISANCE RENALE
      Adapter la posologie en fonction de la créatininémie ou de la clairance de la créatinine.
    2. GROSSESSE
      Tenir compte du passage placentaire.
    3. ALLAITEMENT
      Tenir compte du passage dans le lait maternel.
    4. HYPERSENSIBILITE
      La survenue de toute manifestation allergique impose l’arrêt du traitement.

      Des réactions d’hypersensibilité (anaphylaxie) sévères et parfois fatales ont été observées chez des malades traités par les pénicillines.

      Bien que ces accidents soient plus fréquents après injection parentérale, ils peuvent aussi, exceptionnellement, survenir après ingestion orale des produits.

      L’administration de pénicilline nécessite donc un interrogatoire préalable.

      Devant des antécédents d’allergie typique à ces produits la contre-indication est formelle.

      L’allergie aux pénicillines est croisée avec l’allergie aux céphalosporines dans 5 à 10% des cas. Ceci conduit à proscrire les pénicillines lorsque le sujet est un allergique connu aux céphalosporines.

    1. HYPERSENSIBILITE AUX PENICILLINES
    2. INFECTION VIRALE
      Infections par les virus du groupe herpès-virus, notamment la mononucléose infectieuse (risque accru d’accidents cutanés) .
    3. ASSOCIATION A L’ALLOPURINOL

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    Chez l’adulte et l’enfant de plus de douze ans :
    quinze à vingt milligrammes par kilogramme par jour (un gramme par vingt quatre heures) , soit une gélule dosée à cinq cents milligrammes matin et soir.
    Chez l’enfant de plus de trente
    mois et le nourrisson : vingt cinq milligrammes par kilogramme par jour, soit en moyenne une gélule dosee à deux cent cinquante milligrammes (matin et soir chez l’enfant) .
    – Les doses et le nombre de prises doivent être habituellement augmentés jusqu’à
    cent cinquante milligrammes par kilogramme par jour chez le nourrisson et l’enfant, et six grammes par jour chez l’adulte dans le traitement de relais des septicémies, endocardites et méningites.
    .
    Posologie Particulière:
    Insuffisants rénaux :
    En cas
    d’insuffisance rénale sévère :
    Chez les malades dont la clairance de la créatinine est égale ou inférieure à dix millilitres par minute, il convient de réduire la posologie à environ huit à quinze milligrammes par kilogramme toutes les douze à vingt
    quatre heures.
    Le même resultat pourrait être obtenu en administrant une posologie normale et en espacant les prises.
    .
    .
    Mode d’Emploi :
    Interactions avec les examens paracliniques :
    Incidences sur les paramètres biologiques : à de très fortes
    concentrations, l’amoxicilline tend à :
    – diminuer les résultats des dosages de la glycémie.
    – interférer dans les déterminations du taux de protides totaux de sérum par réaction colorée.
    – donner une réaction colorée faussement positive dans les
    dosages de la glycosurie par la méthode semi-quantitative colorimétrique.


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