COMBANTRIN 125 mg/2.5 ml suspension buvable

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COMBANTRIN 125 mg/2.5 ml suspension buvable

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 3/2/2000

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : SUSPENSION BUVABLE

    Usage : adulte, enfant + de 30 mois

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : TEOFARMA

    Produit(s) : COMBANTRIN

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 27/3/1973
    2. mise sur le marché 7/12/1973
    3. publication JO de l’AMM 5/1/1974
    4. validation de l’AMM 2/7/1996

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 314071-8

    1
    flacon(s)
    15
    ml
    verre brun

    Evénements :

    1. agrément collectivités 19/8/1973
    2. inscription SS 19/8/1973


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Matériel de dosage : cuillère-mesure
    2.5
    ml
    6

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Régime : aucune liste

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 12.20 F

    Prix public TTC : 20.30 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : EXPRIME POUR :

    Volume : 100
    ml

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTHELMINTHIQUE/NEMATODE (TETRAHYDROPYRIMIDINE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : P02C-C01.
      Le pyrantel est un antihelminthique agissant par blocage neuro-musculaire et est actif sur :
      – les oxyures (Enterobius vermicularis),
      – les ascaris (Ascaris lumbricoïdes),
      – et les ankylostomes (Ankylostoma duodénale et Necator americanus).

    1. ***
      Traitement de l’ascaridiose, de l’oxyurose et de l’ ankylostomiase.
    2. ASCARIDIASE
    3. OXYUROSE
    4. ANKYLOSTOMIASE

    1. TROUBLE DIGESTIF (RARE)
    2. NAUSEE (RARE)
    3. VOMISSEMENT (RARE)
    4. ANOREXIE (RARE)
    5. DIARRHEE (RARE)
    6. DOULEUR ABDOMINALE (RARE)
    7. TRANSAMINASES(AUGMENTATION) (RARE)
      Faible et transitoire.
    8. CEPHALEE (EXCEPTIONNEL)
    9. VERTIGE (EXCEPTIONNEL)
    10. ASTHENIE (EXCEPTIONNEL)
    11. TROUBLE DU SOMMEIL (EXCEPTIONNEL)
    12. RASH (EXCEPTIONNEL)

    1. INSUFFISANCE HEPATIQUE
      Réduire les doses en cas d’insuffisance hépatique.
    2. PRECAUTIONS PARTICULIERES
      Oxyurose :

      Pour empêcher la réinfestation, il faut pratiquer une hygiène rigoureuse : toilette quotidienne de la région anopérinéale, brossage des ongles plusieurs fois par jour. Chez l’enfant, couper les ongles très court. Changer régulièrement de sous-vêtements et de vêtements de nuit. Empêcher le sujet de se gratter. Traiter tous les membres de la famille en même temps car il est fréquent que l’infestation soit asymptomatique.
    3. GROSSESSE
      En l’absence d’effet tératogène chez l’animal, un effet malformatif dans l’espèce humaine n’est pas attendu. En effet à ce jour, les substance responsables de malformations dans l’espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l’animal au cours d’études bien conduites sur deux espèces.

      En clinique, aucun effet malformatf ou foetotoxique n’est apparu à ce jour. Toutefois, le suivi de grossesses exposées au pyrantel est insuffisant pour exclure tout risque.

      En conséquence, l’utilisation de ce médicament durant la grossesse ne doit être envisagée que si nécessaire.
    4. ALLAITEMENT
      En l’absence d’étude, à éviter pendant l’allaitement sauf en cas de stricte nécessité.

    1. HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS

    Traitement

    Du fait de son faible taux d’absorption, les concentrations plasmatiques sont peu élevées. Un surdosage même important n’entraîne en général que quelques troubles digestifs et quelques troubles légers et transitoires du système nerveux central (fatigue,
    vertiges, céphalées parfois augmentation des ASAT). On ne connaît aucun antidote spécifique. Le lavage gastrique précoce est recommandé, de même la surveillance des fonctions respiratoire et cardio-vasculaire.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie usuelle :
    * Réservé à l’adulte et à l’enfant de plus de douze kilos :
    * Oxyurose, ascaridiose :
    – la posologie est de dix milligrammes par kilo à douze milligrammes par kilo en prise unique chez l’adulte et chez l’enfant soit :
    – Enfants :
    environ une cuillère-mesure par dix kilos de poids.
    – Adultes de moins de soixante quinze kilos : environ six cuillères-mesure.
    – Adultes de plus de soixante quinze kilos : environ huit cuillères-mesure.
    Dans l’oxyurose, en vue d’une éradication
    parasitaire définitive, imposer des mesures d’hygiène rigoureuse et traiter également l’entourage. Pour éviter une autoinfestation , prescrire une deuxième prise deux à trois semaines après la prise initiale.
    * Ankylostomiase :
    A – Dans les zones
    d’endémie, en cas d’infestation par Necator americanus ou en cas d’infestation sévère par Ankylostoma duodenale, la posologie est de vingt milligrammes par kilo (en une à deux prises), à renouveler pendant deux à trois jours.
    – Enfants : deux
    cuillères-mesure par dix kilos de poids.
    – Adultes de moins de soixante quinze kilos : douze cuillères-mesure par jour.
    – Adultes de plus de soixante quinze kilos : seize cuillères-mesure par jour.
    B – En cas d’infestation légère par Ankylostoma
    duodenale (ce qui est généralement le cas en dehors des zones d’endémie), une dose de dix milligrammes par kilo en une seule prises peut suffire chez l’adulte et l’enfant.


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