ZAGAM 200 mg comprimés pelliculés (arrêt de commercialisation)

ZAGAM 200 mg comprimés pelliculés (arrêt de commercialisation)
Introduction dans BIAM : 7/9/1994
Dernière mise à jour : 12/3/2001
- Identification de la spécialité
- Présentation et Conditionnement
- Composition
- Propriétés Thérapeutiques
- Indications Thérapeutiques
- Effets secondaires
- Précautions d’emploi
- Contre-Indications
- Surdosage
- Voies d’administration
- Posologie et mode d’administration
Identification de la spécialité
Forme : COMPRIMES PELLICULES SECABLES
Usage : adulte
Etat : arrêt de commercialisation
Laboratoire : SPECIAProduit(s) : ZAGAM
Evénements :
- octroi d’AMM 7/1/1994
- publication JO de l’AMM 5/6/1994
- mise sur le marché 1/9/1994
- rectificatif d’AMM 9/5/2000
- arrêt de commercialisation 8/2/2001
Présentation et Conditionnement
Conditionnement 1
Numéro AMM : 337115-1
1
plaquette(s) thermoformée(s)
6
unité(s)
PVC/PE/PVDC/alu
blancEvénements :
- inscription SS 7/8/1994
- agrément collectivités 14/8/1994
Lieu de délivrance : officine et hôpitaux
Etat actuel : arrêt de commercialisation
Conservation (dans son conditionnement) : 36
mois
CONSERVER A TEMPERATURE < 25 DEGRES
CONSERVER DANS SON EMBALLAGERégime : liste I
Réglementation des prix :
remboursé
65 %Conditionnement 2
Numéro AMM : 558347-2
3
plaquette(s) thermoformée(s)
10
unité(s)
PVC/PE/PVDC/alu
blancEvénements :
- agrément collectivités 14/8/1994
Lieu de délivrance : hôpitaux
Etat actuel : arrêt de commercialisation
Conservation (dans son conditionnement) : 36
mois
CONSERVER A TEMPERATURE < 25 DEGRES
CONSERVER DANS SON EMBALLAGEComposition
Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE- SPARFLOXACINE 200 mg
- CELLULOSE MICROCRISTALLINE excipient
- AMIDON DE MAIS excipient
- HYDROXYPROPYLCELLULOSE excipient
- STEARATE DE MAGNESIUM excipient
- SILICE COLLOIDALE excipient
- HYPROMELLOSE pelliculage
- MACROGOL 6000 pelliculage
- DIOXYDE DE TITANE pelliculage
Propriétés Thérapeutiques
- ANTIBACTERIEN VOIE GENERALE (FLUOROQUINOLONE) (principale)
Bibliographie : Classe ATC : J01M-A09.
La sparfloxacine, aminodifluoroquinolone, est un antibiotique de synthèse appartenant à la famille des quinolones. La sparfloxacine a un spectre d’activité adapté à son indication thérapeutique et focalisé sur Streptococcus pneumoniae.
Cependant, d’autres espèces bactériennes habituellement sensibles à la sparfloxacine peuvent être associées dans certaines pneumopathies aiguës communautaires. Dans un tel cas, aucune association antibiotique n’est nécessaire du fait d’un spectre d’activité qui inclut tous les agents pathogènes respiratoires.
– Espèces habituellement sensibles (CMI < ou =1 mg/l) :
Streptococcus pneumoniae, y compris les souches résistantes aux bêtalactamines et aux macrolides, streptococcus des groupes A, C, G, staphylococcus sensible à la méticilline, Haemophilus influenzae, y compris les souches productrices de bêtalactamases, Moraxella catarrhalis, Mycoplasma pneumoniae, Chlamydia psittaci et pneumoniae, legionella.
– Espèces résistantes (CMI > 2 mg/l) :
Staphylococcus aureus résistant à la méticilline.
Propriétés pharmacocinétiques :
Absorption :
L’absorption de la sparfloxacine est rapide avec un pic sérique à 3-5 heures après la première prise. L’absorption orale n’est pas modifiée par la prise concomitante d’aliments. L’état d’équilibre est atteint dès le 1er jour grâce à une dose de charge initiale qui est le double de la dose quotidienne.
Posologie : 400 mg (dose de charge)/ 200 mg (posologie quotidienne) :
Jour 1
Cmax = 1,7 microg/ml
Cmin = 0,6 microg/ml
Etat d’equilibre
Cmax = 1,4 microg/ml
Cmin = 0,5 microg/ml
Distribution :
Après absorption d’une dose de charge de 400 mg, les concentrations dans le liquide extra-vasculaire sont équivalentes aux taux plasmatiques.
Dans les tissus bronchopulmonaires, les concentrations atteintes sont supérieures aux CMI des espèces bactériennes sensibles à la sparfloxacine :10 microg/g dans le parenchyme pulmonaire, 16,7 microg/ml dans le surfactant alvéolaire et 2 à 5 microg/g dans la muqueuse bronchique.
La sparfloxacine se concentre préférentiellement dans les macrophages atteignant des concentrations de 40 à 50 microg/g.
La liaison aux protéines plasmatiques est de 45 %.
Métabolisme :
La sparfloxacine est métabolisée par le foie en un métabolite glycuroconjugué inactif.
Le métabolisme est indépendant du système d’oxydation des cytochromes, en particulier du cytochrome P450.
Elimination :
La demi-vie d’élimination est de 20 heures environ.
L’excrétion se fait par voie fécale ou urinaire : 2/3 dans les fèces sous forme inchangée, 1/3 dans les urines sous forme inchangée et sous forme glycuroconjuguée.
L’excrétion biliaire, sous forme essentiellement glycuroconjuguée, représente 10 à 20 % de la dose administrée.
Populations à risque :
– Insuffisant rénal : en cas d’insuffisance rénale (clairance de la créatinine < 30 ml/min), la demi-vie plasmatique de la sparfloxacine atteint 35-40 h, du fait d'une hydrolyse partielle de ce métabolite glycuroconjugué. On observe une accumulation du métabolite glycuroconjugué.
– Insuffisant hépatique : la demi-vie d’élimination n’est pas modifiée chez les insuffisants hépatiques sans cholestase.
– Sujet âgé : il n’y a pas de modification des paramètres pharmacocinétiques chez le sujet âgé.
* Données de sécurité précliniques :
La sparfloxacine montre le profil de toxicité suivant :
– hépatotoxicité caractérisée par une augmentation des enzymes hépatiques (par exemple, l’aspartaminotransférase) et une modification cytologique des hépatocytes, principalement une vacuolisation ou une nécrose hépatocytaire mono ou pluricellulaire ;
– néphrotoxicité, principalement glomérulonéphrite ou néphrite interstitielle ;
– cardiotoxicité avec un allongement marqué de l’intervalle QT, survenant à des doses proches des doses thérapeutiques ;
– arthrotoxicité ;
– phototoxicité.
Sous exposition aux rayonnements UV, la sparfloxacine peut présenter des propriétés mutagènes et des effets carcinogènes.
Au cours des études de reproduction, des anomalies à type de communication interventriculaire ont été observées chez les jeunes rats, mais n’ont pas été retrouvées chez les jeunes singes.
Indications Thérapeutiques
- ***
En raison du risque d’effets indésirables sévères, l’usage de la sparfloxacine n’est indiqué qu’en cas d’échec d’un traitement classique d’une pneumopathie aiguë communautaire documentée radiologiquement :
– soit due à une souche de pneumocoque à haut niveau de résistance à la pénicilline (CMI supérieure à 1 mg/l) et résistante aux autres antibiotiques usuels
– soit survenant dans un environnement épidémiologique tel que le risque d’observer une telle souche multi-résistante de pneumocoque est élevé. - PNEUMONIE BACTERIENNE
Effets secondaires
- PHOTOSENSIBILISATION
Phototoxicité : manifestations à type de coup de soleil, érythème et lésions sévères bulleuses. Une récurrence des symptômes après une nouvelle exposition au soleil, plusieurs semaines après l’arrêt du traitement, a été parfois observée. - ERUPTION CUTANEE
- PRURIT
- OEDEME
Réactions cutanées : oedème, phlyctènes. - PHLYCTENE
- REACTION CUTANEE BULLEUSE (RARE)
Syndrome de Stevens Johnson, érythème polymorphe. - SYNDROME DE STEVENS-JOHNSON (RARE)
- ERYTHEME POLYMORPHE (RARE)
- DOULEUR MUSCULAIRE
- DOULEUR ARTICULAIRE
- TENDINITE
- RUPTURE DE TENDON
- TROUBLE DU RYTHME CARDIAQUE (RARE)
Système cardiovasculaire : rares troubles du rythme cardiaque incluant torsades de pointes, arythmie, bradycardie, tachycardie et tachycardie ventriculaire. - TORSADE DE POINTES (RARE)
- ARYTHMIE (RARE)
- BRADYCARDIE (RARE)
- TACHYCARDIE (RARE)
- TACHYCARDIE VENTRICULAIRE (RARE)
- NAUSEE
- VOMISSEMENT
- DIARRHEE
- DOULEUR ABDOMINALE
et gastralgie. - DOULEUR EPIGASTRIQUE
- COLITE PSEUDOMEMBRANEUSE (TRES RARE)
- TRANSAMINASES(AUGMENTATION)
- HEPATITE (RARE)
- TREMBLEMENT
- SENSATION DE VERTIGE
Sensation d’ébriété. - PARESTHESIE
- TROUBLE NEUROSENSORIEL
- CEPHALEE
- VERTIGE
- HALLUCINATION
- TROUBLE DU SOMMEIL
Condition(s) Favorisante(s) :
DEBUT DE TRAITEMENT - HYPERSENSIBILITE (RARE)
rares cas d’hypersensibilité, incluant urticaire, oedème angioneurotique, choc anaphylactique et oedème de Quincke. - URTICAIRE (RARE)
- OEDEME ANGIONEUROTIQUE (RARE)
- CHOC ANAPHYLACTIQUE (RARE)
- THROMBOPENIE
Cas isolés. - PURPURA THROMBOPENIQUE (RARE)
- CONJONCTIVITE
- UVEITE
Précautions d’emploi
- EXPOSITION AU SOLEIL
Phototoxicité :
Les réactions de phototoxicité sont communes et caractérisées par un érythème, un oedème, et des phlyctènes. Ces réactions sont parfois sévères ; certains patients peuvent avoir des brûlures du second degré, et peuvent nécessiter une hospitalisation. La fréquence de ces réactions est plus élevée qu’avec d’autres fluoroquinolones.
La phototoxicité peut survenir par temps couvert, ou même en l’absence d’exposition directe au soleil.
En conséquence, les patients devront être prévenus d’éviter toute exposition au soleil, à la lumière vive et aux rayonnements UV pendant toute la durée du traitement et au cours des cinq jours suivant son arrêt.
Les patients doivent être avertis que le traitement par sparfloxacine doit être arrêté au premier signe ou symptome de phototoxicité et que toute exposition au soleil, à la lumière vive ou aux rayonnements UV doit être évitée au cours des cinq jours suivants.
La guérison peut être lente et une récurrence peut survenir même plusieurs semaines après l’arrêt de la sparfloxacine. - ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
Allongement de l’intervalle QT :
Des allongements de l’intervalle QTc ont été observés chez des volontaires sains recevant de la sparfloxacine ; l’augmentation maximale a atteint en moyenne 19 msec à la dose recommandée de 400/200 mg. Dans des études cliniques portant sur 813 patients, l’allongement moyen était de 3% et 1.2 % d’entre eux ont présenté des intervalles QTc supérieurs à 500 msec (allongement de 100 msec dans 0.3 % des cas) mais sans arythmie.
En conséquence, l’usage de la sparfloxacine est déconseillé chez les sujets traités par des médicaments connus pour allonger l’intervalle QTc et/ou provoquer des torsades de pointes : par exemple, quinine, chloroquine, érythromycine, terfénadine, astémizole, probucol, halofantrine, pentamidine, vincamine, des antiarythmiques de classe Ia (par exemple, quinidine, procainamide, disopyramide), des antiarythmiques de classe III (par exemple brétylium), quelques antidépresseurs tricycliques, quelques neuroleptiques (par exemple, sultopride, phénothiazines), cisapride.
La sparfloxacine est contre-indiquée chez les patients sous amiodarone, sotalol ou bépridil, et chez les sujets ayant un allongement de l’intervalle QTc connu, congénital ou acquis (par exemple, phase aiguë de l’infarctus du myocarde). - HYPOKALIEMIE
Conditions qui prédisposent à la survenue de torsades de pointes :
– Hypokaliémie : en présence d’antécédents d’hypokaliémie y compris celle induite par des médicaments pris de façon concomitante, il convient de corriger la kaliémie avant d’instaurer le traitement par la sparfloxacine. - BRADYCARDIE
Conditions qui prédisposent à la survenue de torsades de pointes :
– Bradycardie de toute origine. - TROUBLES DE LA CONDUCTION
Conditions qui prédisposent à la survenue de torsades de pointes :
– troubles de la conduction auriculo-ventriculaire. - ARYTHMIE
Conditions qui prédisposent à la survenue de torsades de pointes :
– Arythmies cardiaques, en particulier bradyarythmies : utilisation avec précaution et sous surveillance étroite. - TENDINITES
Des tendinites et/ou des ruptures de tendon (particulièrement du tendon d’Achille) apparaissent sous traitement par quinolones. De telles réactions ont particulièrement été rapportées chez des patients âgés et chez des patients traités par corticostéroïdes. Au premier symptome de douleur ou d’inflammation, les patients doivent arrêter le traitement par la sparfloxacine et mettre au repos le membre affecté. En cas de tendinite du tendon d’Achille, des mesures doivent être prises pour évitrer la rupture des deux tendons (par exemple, contention appropriée ou talonnettes). - TUBERCULOSE
Chez un sujet suspect de tuberculose, l’activité potentielle de la sparfloxacine sur les mycobactéries doit être prise en compte. La sparfloxacine pourrait négativer les résultats de culture des mycobactéries. - DOULEUR ABDOMINALE
De très rares cas de colite pseudomembraneuse ont été signalés avec la sparfloxacine. Il convient d’arrêter immédiatement le traitement par sparfloxacine si des douleurs abdominales ou une diarrhée fréquente surviennent. - DIARRHEE
De très rares cas de colite pseudomembraneuse ont été signalés avec la sparfloxacine. Il convient d’arrêter immédiatement le traitement par sparfloxacine si des douleurs abdominales ou une diarrhée fréquente surviennent. - CONDUCTEURS DE VEHICULES
Les patients doivent être avertis du risque potentiel d’effets sur le système nerveux central ; il doit être recommandé de ne pas conduire ou d’utiliser de machines pendant un traitement par sparfloxacine.
Contre-Indications
- EXPOSITION AU SOLEIL
Exposition au soleil, à la lumière naturelle vive et aux rayonnements UV : il est essentiel de ne pas s’exposer au soleil, à la lumière vive et aux rayonnements UV pendant toute la durée du traitement et au cours des cinq jours suivant son arrêt. - HYPERSENSIBILITE A CE PRODUIT
A la sparfloxacine ou à un produit de la famille des quinolones. - ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE (absolue)
– Association à l’amiodarone, au sotalol et au bépridil : risque de torsades de pointes par allongement de l’intervalle QT (addition des effets électrophysiologiques). - ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE (relative)
Associations déconseillées :
– médicaments connus pour allonger l’intervalle QT et/ou donner des torsades de pointes :
-anti-arythmiques : brétylium, disopyramide, procainamide, quinidine.
-autres médicaments : astémizole, érythromycine, quinine, chloroquine, halofantrine, pentamidine, probucol, terfénadine, vincamine, quelques antidépresseurs tricycliques, certains neuroleptiques (par exemple, sultopride, phénothiazines), cisapride : risque de torsades de pointes par allongement de l’intervalle QTc (addition des effets electrophysiologiques). Une surveillance étroite, clinique et electroradiographique, est exigée si l’utilisation de tels produits est jugée indispensable. - GROSSESSE
Aucune étude n’a été réalisée sur l’utilisation de la sparfloxacine en période de grossesse et d’allaitement. Cependant, les études de reproduction chez le rat, le lapin et le singe, traités par voie orale, n’ont révélé aucune perturbation de la fertilité ou du développement péri/post-natal. Administrée à des rattes pendant la phase d’organogenèse, la sparfloxacine a donné lieu à une élévation dose dépendante de l’incidence des communications interventriculaires (cet effet n’a pas été retrouvé chez les primates). Comme les autres quinolones, la sparfloxacine a montré un effet arthrotoxique chez les animaux en cours de croissance. Il convient d’indiquer aux femmes en âge de procréer qu’un début de grossesse doit être évité au cours d’un traitement par sparfloxacine ; la sparfloxacine ne doit pas être prescrite chez les femmes enceintes. - ALLAITEMENT
La sparfloxacine est excrétée dans le lait maternel. En raison du risque d’effets indésirables graves chez les enfants allaités, il est recommandé de suspendre l’allaitement au cours d’un traitement par la sparfloxacine. - ENFANT
jusqu’à la fin de la croissance. - TENDINOPATHIE
Antécédents de tendinopathie avec une fluoroquinolone. - DEFICIT EN G6PD
- TROUBLES DE CONDUCTION
Allongement connu de l’intervalle QT (congénital ou acquis).
Surdosage
Traitement
En cas de surdosage, le patient doit être surveillé dans un service correctement équipé et toute exposition au soleil doit être interdite pendant cinq jours. Une surveillance ECG est recommandée en raison de l’allongement possible de l’intervalle QTc. Il
n’existe pas d’antidote connu utilisable en cas de surdosage par la sparfloxacine.
Voies d’administration
– 1 – ORALE
Posologie & mode d’administration
Posologie :
Sujet aux fonctions rénales normales : 400 mg le premier jour en une dose unique, puis 200 mg/jour en une prise quotidienne.
La durée du traitement d’entretien est de 10 jours en moyenne, jusqu’à un maximum de 14 jours.
Aucun bénéfice ne peut
être attendu de l’augmentation de la dose quotidienne.
Sujet insuffisant rénal :
– Aucune étude n’a été menée chez les sujets ayant une insuffisance rénale modérée (clairance de la créatinine > 30 ml/min). En raison de la faible élimination urinaire
(environ 10 %), aucune adaptation posologique n’est nécessaire. Néanmoins, la prudence s’impose chez ces patients.
– Chez l’insuffisant rénal sévère (clairance de la créatinine < 30 ml/min), le schéma posologique suivant doit être respecté : 400 mg en dose de charge le 1er jour, puis 200 mg le 3e jour, puis toutes les 48 heures, pour un maximum de 14 jours.
– Les données sont insuffisantes pour une administration chez les hémodialysés ou en cas de dialyse péritonéale. En conséquence, la prescription
chez ces patients n’est pas recommandée.
Patients avec une insuffisance hépatique :
– Insuffisance hépatique sans cholestase : aucune modification de la posologie n’est nécessaire (cf Pharmacocinétique).
– Aucune donnée n’est disponible chez les
patients en insuffisance hépatique sévère.
Mode d’administration :
Ce médicament peut être pris avec ou sans repas, de préférence le soir.