PEVARYL 1 pour cent solution pour application locale

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PEVARYL 1 pour cent solution pour application locale

Introduction dans BIAM : 22/9/1994
Dernière mise à jour : 16/12/1999

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : SOLUTION POUR APPLICATION LOCALE

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : JANSSEN – CILAG

    Produit(s) : PEVARYL

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 16/12/1992
    2. publication JO de l’AMM 27/5/1993
    3. mise sur le marché 6/9/1994

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 335769-4

    1
    flacon(s) pulvérisateur(s)
    30
    g
    alu

    Evénements :

    1. inscription SS 6/5/1994
    2. agrément collectivités 2/6/1994


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 24
    mois

    CONSERVER A TEMPERATURE < 25 DEGRES Régime : aucune liste

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 23.02 F

    Prix public TTC : 34.70 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : EXPRIME POUR :

    Par poids : 100
    g

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIFONGIQUE DERMIQUE USAGE LOCAL (IMIDAZOL. ET TRIAZOL.) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : D01A-C03.
      Le nitrate d’éconazole est un dérivé imidazolé doué d’une activité antifongique. Cette activité a été démontrée in vitro et s’exerce sur les agents responsables de mycoses cutanéo-muqueuses :
      – dermatophytes (Trichophyton, Epidermophyton, Microsporum)
      – Candida et autres levures,
      – Malassezzia fufur (agent de Pityriasis Capitis, du pityriasis Versicolor).
      – moisissures et autres champignons.
      Le nitrate d’éconazole est un dérivé imidazolé doué d’une activité antibactérienne. Celle-ci a été démontrée in vitro vis à vis des bactéries Gram +. Son mécanisme d’action, différent de celui des antibiotiques, se situe à plusieurs niveaux : membranaire (augmentation de la perméabilité), cytoplasmique (inhibition des processus oxydatifs, au niveau des mitochondries), nucléaire (inhibition de la synthèse de l’A.R.N.).
      – Activité sur corynebacterium minutissimum (érythrasma)
      – Actinomycètes.

    1. ***
      1- Candidoses :
      Les candidoses cutanées rencontrées en clinique humaine sont habituellement dues à Candida Albicans. Cependant, la mise en évidence d’un candida sur la peau ne peut constituer en soi une indication.
      Traitement :
      – intertrigos en particulier génito-cruraux, anaux et perianaux,
      – perleche,
      – vulvite et balanite.
      Dans certains cas, il est recommandé de traiter simultanément le tube digestif.
      Traitement d’appoint des onyxis et périonyxis.
      2- Dermatophyties :
      Traitement :
      – dermatophyties de la peau glabre.
      – intertrigos génito et cruraux,
      – intertrigos des orteils,
      – Traitement des sycosis et kérions : un traitement systémique antifongique associé est à discuter.
      Traitement d’appoint :
      – teignes,
      – folliculites a trichophyton rubrum.
      un traitement systemique antifongique est necessaire.
      3- Pityriasis versicolor
      4- Erythrasma.
    2. CANDIDOSE CUTANEE
    3. DERMATOPHYTIE CUTANEE
    4. PITYRIASIS VERSICOLOR
    5. ERYTHRASMA

    1. EFFETS SYSTEMIQUES
      Du fait du faible taux de résorption de l’éconazole (0,5 à 2%) sur une peau saine, on peut pratiquement exclure le risque d’apparition d’effets systémiques.
      Cependant, sur une peau lésée, une grande surface et chez le nourrisson, (en raison du rapport surface/poids et de l’effet d’occlusion des couches) il faut être attentif à cette éventualité.
    2. REACTION CUTANEE
      Rares manifestations d’intolérance ayant entraîné l’arrêt du traitement dans 1,7 pour cent des cas. Brûlure cutanée, prurit, rougeur.

    1. CANDIDOSE
      Il est déconseillé d’utiliser un savon à pH acide (pH favorisant la multiplication des candida).
    2. EVITER LE CONTACT AVEC LES MUQUEUSES
      En raison de la présence d’un excipient alcoolique, il est conseillé de ne pas pulvériser sur les muqueuses génitales et les lésions suintantes.

    1. HYPERSENSIBILITE AUX IMIDAZOLES
      Notion d’intolérance ou de sensibilisation à ces produits.
    2. HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS

    Voies d’administration

    – 1 – APPLICATION CUTANEE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    – Durée du traitement : deux semaines soit quatre flacons.
    .
    Mode d’emploi :
    – Application biquotidienne régulière jusqu’à disparition complète des lésions.
    – Pulvériser après agitation du flacon à plus de 10 cm des lésions et faire
    suivre l’application d’un massage doux et régulier jusqu’à pénétration complète.


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