ABBOTICINE 200 mg comprimés (arrêt de commercialisation)

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ABBOTICINE 200 mg comprimés (arrêt de commercialisation)

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 7/5/1998

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : COMPRIMES A CROQUER

    sécable

    Etat : arrêt de commercialisation

    Laboratoire : ABBOTT FRANCE

    Produit(s) : ABBOTICINE

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 2/1/1969
    2. mise sur le marché 10/10/1969
    3. arrêt de commercialisation 15/1/1985
    4. retrait d’AMM 1/12/1996

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 300018-2

    1
    boîte(s)
    25
    unité(s)
    caramel

    Evénements :

    1. arrêt de commercialisation 15/1/1985
    2. radiation SS 2/8/1991


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    Conservation (dans son conditionnement) : 24
    mois

    Régime : liste I

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIBIOTIQUE VOIE GENERALE (MACROLIDE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : J01F-A01.
      Antibiotique de la famille des macrolides.
      Le spectre antibactérien de l’Erythromycine est le suivant :
      1 / Espèces habituellement sensibles :
      Streptocoques, Staphylocoques méticilline-sensibles, R. equi, B. catarrhalis, B. pertussis, H. pylori, C. jejuni, C. diphteriae, Moraxella, M. pneumoniae, Coxiella, Chlamydiae, Legionella, T. pallidum, B. burgdorferi, Leptospires, P. acnes, Actinomyces, Eubacterium, Porphyromonas, Mobiluncus.
      2 / Espèces modérément sensibles :
      H. influenzae et parainfluenzae, N. gonorrhoeae, Vibrio, U. urealyticum.
      3 / Espèces résistantes :
      Staphylocoques méticilline-résistants, Entérobactéries, Pseudomonas, Acinetobacter, M. hominis, Nocardia, Fusobacterium, B. fragilis.
      4 / Espèces inconstamment sensibles :
      S. pneumoniae, Entérocoques, C. coli, Peptosptreptococcus, C. perfringens.
      L’Erythromycine possède une activité in vitro et in vivo sur T. gondii.
      Lorsque pour une espèce donnée, la notion d’une sensibilité constante des souches n’a pas été établie, seule une étude in vitro de la souche en cause permet de confirmer si elle est sensible, résistante ou intermédiaire.


    1. Elles procèdent de l’activité antibactérienne et des caractéristiques pharmacocinétiques de l’érythromycine. Elles tiennent compte à la fois des études cliniques auxquelles a donné lieu ce médicament et de sa place dans l’éventail des produits antibactériens actuellement disponibles.
      Elles sont limitées :
      – aux infections dues aux germes définis ci-dessus comme sensibles, notamment dans les manifestations :
      . orl . bronchopulmonaires (l’érythromycine est notamment l’antibiotique de référence dans le traitement de la maladie des légionnaires) . stomatologiques . cutanées . génitales, en particulier prostatiques . osseuses
      – à la prophylaxie de la méningite à méningocoques chez les sujets contacts
      – à la chimioprophylaxie des rechutes des r.a.a. .

    1. TROUBLE DIGESTIF
    2. NAUSEE
    3. VOMISSEMENT
    4. DOULEUR EPIGASTRIQUE
    5. DIARRHEE
    6. REACTION ALLERGIQUE CUTANEE (RARE)
    7. TRANSAMINASES(AUGMENTATION)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      DOSES ELEVEES

      Augmentation transitoire possible des asat-alat pouvant aboutir à une hépatite cholestatique.

    1. INSUFFISANCE HEPATIQUE
      En cas d’insuffisance hépatique, l’administration d’érythromycine n’est pas recommandée. Si elle est nécessaire, elle justifie alors une surveillance régulière des tests hépatiques et éventuellement une réduction de posologie.
    2. INSUFFISANCE RENALE
      L’élimination rénale de la molécule active est faible, ce qui permet de ne pas modifier les posologies en cas d’insuffisance rénale.
    3. ALLAITEMENT
      Le passage dans le lait de l’érythromycine est faible.
    4. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
      Association avec théophylline, digoxine et ciclosporine.
    5. GROSSESSE
      L’érythromycine est utilisée par voie orale en France depuis 1952, sans qu’aucun effet particulier sur la descendance ait été rapporté.

      En cas de nécéssité d’emploi, il convient de mettre en balance les avantages et les inconvénients du traitement, compte tenu de sévérité de l’infection.

    1. ALLERGIE A L’ERYTHROMYCINE
    2. ASSOCIATION AUX ALCALOIDES DE L’ERGOT DE SEIGLE
      Notamment ergotamine et dihydroergotamine.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    – Enfants : un comprimé par vingt quatre heures par cinq kilogrammes de poids en trois ou quatre prises.
    – Adultes : deux comprimés trois ou quatre fois par jour.
    .
    Mode d’Emploi :
    Teneur en sodium par comprimé : vingt cinq
    milligrammes huit.


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