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LOXAPAC 50 mg/2 ml solution injectable IM (Hôp)

Introduction dans BIAM : 24/11/1994
Dernière mise à jour : 3/2/2000

• Identification de la spécialité
• Présentation et Conditionnement
• Composition
• Propriétés Thérapeutiques
• Indications Thérapeutiques
• Effets secondaires
• Précautions d’emploi
• Contre-Indications
• Surdosage
• Voies d’administration
• Posologie et mode d’administration
  

  Identification de la spécialité

  Forme : SOLUTION INJECTABLE
  
  Etat : commercialisé
  
  Laboratoire : WYETH-LEDERLE

  Produit(s) : LOXAPAC

  Evénements :

  1. octroi d’AMM 6/8/1979
  2. publication JO de l’AMM 27/9/1980
  3. mise sur le marché 10/10/1980

  Présentation et Conditionnement

  Numéro AMM : 321928-8
  
  10
  ampoule(s)
  2
  ml
  verre

  Evénements :

  1. agrément collectivités 20/3/1980

  
  Lieu de délivrance : hôpitaux
  
  Etat actuel : commercialisé
  
  Conservation (dans son conditionnement) : 36
  mois
  
  Régime : liste I
  
  Prix Pharmacien HT : 80 F
  

  Composition

  Expression de la composition : par unité de prise, soit pour :
  
  Volume : 2
  ml

  Principes actifs

  • LOXAPINE 50 mg

  Principes non-actifs

  • POLYSORBATE 80 excipient
  • PROPYLENE GLYCOL excipient
  • EAU POUR PREPARATIONS INJECTABLES excipient
  • AZOTE excipient

  Propriétés Thérapeutiques

  2. NEUROLEPTIQUE (DIBENZODIAZEPINE ET DIBENZOXAZEPINE) (principale)
     Bibliographie : Classe ATC : N05A-H01.
     Chef de file d’une nouvelle famille : les dibenzo-oxazépines.
     Réduit les hallucinations et le délire, améliorant la cohérence de la pensée.

  Indications Thérapeutiques

  2. 
     – Psychoses chroniques (délires systématisés chroniques et schizophrénies).
     – Psychoses délirantes aiguës et bouffées délirantes.
     – Etats maniaques et hypomaniaques.
     – Etats d’agitation, d’agressivite et anxiété associée à des troubles psychotiques ou psychopathiques, à la débilité mentale, à l’alcoolisme, à la comitialité.

  Effets secondaires

  2. SEDATION (FREQUENT)
  3. DYSKINESIE PRECOCE
     Cède à l’administration d’un antiparkinsonien anticholinergique.
  4. TORTICOLIS SPASMODIQUE
     Cède à l’administration d’un antiparkinsonien anticholinergique.
  5. CRISE OCULOGYRE
     Cède à l’administration d’un antiparkinsonien anticholinergique.
  6. TRISMUS
     Cède à l’administration d’un antiparkinsonien anticholinergique.
  7. SYNDROME EXTRAPYRAMIDAL
     Cède partiellement aux antiparkinsoniens anticholinergiques.
  8. DYSKINESIE TARDIVE
     Condition(s) Favorisante(s) :
     USAGE PROLONGE

     Les antiparkinsoniens anticholinergiques sont sans action ou peuvent provoquer une aggravation.

  9. HYPOTENSION ORTHOSTATIQUE (RARE)
  10. REACTION CUTANEE (EXCEPTIONNEL)
  11. EFFET ATROPINIQUE (RARE)
  12. ASTHENIE (PEU FREQUENT)
  13. IMPUISSANCE
  14. FRIGIDITE
  15. AMENORRHEE
  16. FIEVRE
      Peut être un des éléments du syndrome malin (pâleur, hyperthermie, troubles vegetatifs) qui a été décrit avec les neuroleptiques. Suspendre impérativement le traitement.
  17. GALACTORRHEE
  18. GYNECOMASTIE
  19. PROLACTINEMIE(AUGMENTATION)
  20. POIDS(AUGMENTATION)

  Précautions d’emploi

  2. GROSSESSE
     Bien que l’administation à l’animal n’ait causé aucune malformation foetale, il a été noté chez le rat, d’une part un effet antifertilisant sur les femelles et d’autre part une augmentation de la mortalité neo-natale.
     
     Il est donc préférable de ne pas administrer ce médicament à la femme enceinte.
  3. ALLAITEMENT
     L’innocuité durant l’allaitement n’a pas été établie.
  4. ENFANT
     Aucune étude n’a été faite sur des jeunes ayant moins de 16 ans.
  5. EPILEPSIE
     En raison de l’abaissement du seuil épileptogène.
  6. CONDUCTEURS DE VEHICULES
     Risque de somnolence (y compris pour les utilisateurs de machines).
  7. ALCOOL
     L’usage concomitant d’alcool est fortement déconseillé.
  8. INSUFFISANCE CARDIOVASCULAIRE
  9. GLAUCOME A ANGLE FERME
  10. RETENTION URINAIRE
  11. INSUFFISANCE RENALE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      SUJETS AGES

      En raison de leur importante sensibilité.

  12. TRAITEMENT PROLONGE
      Une toxicité oculaire ne peut être exclue et de ce fait, on doit, dans les traitements prolongés, rester attentif à l’apparition de rétinopathies pigmentaire et de pigmentation lenticulaire.

  Contre-Indications

  2. HYPERSENSIBILITE A CE PRODUIT
  3. COMA
     Ou états graves causés par l’alcool, certains médicaments barbituriques.

  Surdosage

  Traitement
  
  Il n’existe pas de signe spécifique du surdosage par Loxapac. Aucun antidote spécifique connu; seul un traitement symptomatique sera entrepris.
  

  Voies d’administration

  – 1 – INTRAMUSCULAIRE
  
  

  Posologie & mode d’administration

  Posologie Usuelle :
  – Réservé à l’adulte :
  – la posologie est de cinquante à trois cents milligrammes par jour répartis en deux ou trois injections.
  .
  Posologie particulière :
  – Chez le sujet âgé, les doses sont diminuées de moitié.

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