SURVITINE capsules molles

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SURVITINE capsules molles

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 30/5/2000

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Autres dénominations :
    code expérimentation – C-121-C


    Forme : CAPSULES MOLLES

    Usage : adulte, enfant + de 12 ans

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : AUGOT

    Produit(s) : SURVITINE

    Evénements :

    1. mise sur le marché 10/1/1966
    2. octroi d’AMM 27/3/1973
    3. validation de l’AMM 2/6/1997

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 310241-6

    1
    flacon(s)
    30
    unité(s)
    verre jaune
    rouge

    Evénements :

    1. agrément collectivités 26/12/1984


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    CONSERVER A TEMPERATURE < 25 DEGRES Régime : aucune liste

    Réglementation des prix :
    non remboursé

    Prix Pharmacien HT : 24.20 F

    Prix public TTC : 40.10 F

    TVA : 5.50 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. MULTIVITAMINES ET OLIGOELEMENTS (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : A11A-A04.
      Association de vitamines et d’oligo-éléments.

    1. ***
      Prévention ou correction des troubles en rapport avec un régime alimentaire carencé ou déséquilibré chez l’adulte et l’enfant de plus de 12 ans.
    2. MALNUTRITION

    1. SURDOSAGE
      Pour éviter tout surdosage, tenir compte des doses totales de vitamines A et de vitamine D en cas d’association de plusieurs traitements contenant ces vitamines.
    2. ANEMIE
      Du fait de la présence de vitamine B12, prendre garde à ne pas masquer une anémie par déficit en vitamine B12 et d’en retarder le diagnostic.
    3. RECOMMANDATION
      En cas d’apport complémentaire en calcium, un contrôle régulier de la calciurie est indispensable.
    4. GROSSESSE
      La présence de vitamine A conditionne la conduite à tenir en cas d’utilisation en cours de grossesse. La vitamine A est tératogène chez l’animal sur plusieurs espèces.
      Dans l’espèce humaine, des cas de malformations ont été rapportés avec de fortes doses. Toutefois, à ce jour, l’absence d’étude épidémiologique fiable et le faible effectif des notifications isolées empêchent de conclure définitivement sur la réalité de ce risque malformatif.
      En conséquence, compte tenu de l’apport alimentaire quotidien, il est recommandé de ne pas dépasser par jour 5 000 UI de vitamine A d’origine médicamenteuse.
    5. ALLAITEMENT
      A dose élevée, il existe un risque de surdosage chez le nouveau-né.
      En conséquence, compte tenu de l’apport alimentaire quotidien, il est recommandé de ne pas dépasser par jour 5 000 UI de vitamine A d’origine médicamenteuse.

    1. HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS
    2. MALABSORPTION DES LIPIDES
    3. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
      Thérapeutique associée interférant avec l’absorption de la vitamine A.
    4. HYPERCALCEMIE
    5. HYPERCALCIURIE
    6. LITHIASE CALCIQUE
    7. ASSOCIATION A LA LEVODOPA
      Inhibition de l’activité de la lévodopa lorsqu’elle est utilisée sans inhibiteur de la dopadécarboxylase périphérique. Eviter tout apport de pyridoxine en l’absence d’inhibiteur de la dopadécarboxylase.

    Traitement

    1 / Signes résultant de l’administration de doses excessives de vitamine D ou de ses métabolites :
    – Signes cliniques : céphalées, asthénie, anorexie, amaigrissement, arrêt de croissance; nausées, vomissements; polyurie, polydypsie, déshydratation;
    hypertension artérielle; lithiase calcique, calcifications tissulaires, en particulier rénales et vasculaires; insuffisance rénale.
    – Signes biologiques : hypercalcémie, hypercalciurie, hyperphosphatémie, hyperphosphaturie.
    2 / Signes cliniques
    résultant de l’administration de doses excessives de vitamine A :
    – Aigu (doses supérieures à 150 000 UI) : troubles digestifs, céphalées, hypertension intracrânienne (se manifestant chez le nourrisson par le bombement de la fontanelle), oedème
    papillaire, troubles psychiatriques, irritabilité, voire convulsions, desquamation généralisée retardée.
    – Chronique (risque d’intoxication chronique lors d’un apport prolongé de vitamine A à des doses supraphysiologiques chez un sujet non carencé) :
    hypertension intracrânienne, hyperostose corticale des os longs et soudure précoce épiphysaire. Le diagnostic est généralement porté sur la constatation de gonflements sous-cutanés sensibles ou douloureux au niveau des extrémités des membres. Les
    radiographies objectivent un épaississement périsoté diaphysaire au niveau du cubitus, du péroné, des clavicules et des côtes.
    3 / Conduite à tenir : cesser l’administration de ce médicament, réduire les apports calciques, augmenter la diurèse, boissons
    abondantes.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    Réservé à l’adulte et à l’enfant de plus de 12 ans.
    Avaler sans croquer avec un peu d’eau, 1 à 2 capsules par jour.


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