EXOCINE 0.3 pour cent collyre

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EXOCINE 0.3 pour cent collyre

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 13/8/1999

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Autres dénominations :
    nom ancien – OFLOXACINE 0,3% COLLYRE


    Forme : COLLYRE EN SOLUTION

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : ALLERGAN FRANCE S.A.

    Produit(s) : EXOCINE

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 2/5/1989
    2. publication JO de l’AMM 28/10/1989
    3. mise sur le marché 15/6/1990

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 331708-0

    1
    flacon(s)
    5
    ml
    PE

    Evénements :

    1. agrément collectivités 11/5/1990
    2. inscription SS 11/5/1990


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    A L’ABRI DE LA LUMIERE

    Conservation (préparée, reconstituée ou déconditionnée) : 15
    jour(s)

    Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 15.78 F

    Prix public TTC : 25.20 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : EXPRIME POUR :

    Volume : 100
    ml

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. PRODUIT OPHTALMOLOGIQUE ANTIINFECTIEUX (AUTRE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : S01A-X11.
      L’ofloxacine est une fluoroquinolone synthétique dotée d’un large spectre antibactérien : germes anaérobies gram positif et négatif. Ce spectre d’action englobe la plupart des germes susceptibles d’être impliqués dans les infections superficielles de l’oeil et de ses annexes.
      Le spectre antibactérien naturel de l’ofloxacine est le suivant :
      – Espèces habituellement sensibles :
      escherichia coli, citrobacter, proteus mirabilis, proteus indole +, klebsiella, enterobacter, serratia, salmonella, shigella, yersinia enterolitica, campylobacter coli, aeromonas hydrophila, plesiomonas, haemophilus influenzae et parainfluenzae, neisseria gonorrhoeae, neisseria meningitidis, branhamella catarrhalis brucella, staphylococcus aureus, staphylococcus coagulase négative, clostridium perfringens, mycoplasma, chlamydia trachomatis, legionella, haemophilus ducreyi.
      – Espèces inconstamment sensibles :
      streptocoques et pneumocoques, listeria, pseudomonas, acinetobacter, bactéroïdes fragilis, cocci gram positif anaérobies, mycobactéries, chlamydia psittaci.
      – Espèces habituellement résistantes :
      clostridium difficile, nocardia.
      Chez les patients traités au long cours ou atteints d’une infection nosocomiale, une surveillance microbiologique particulière s’impose, à la recherche d’une émergence de résistance, notamment parmi les staphylocoques et les pseudomonas.
      * Propriétés pharmacocinétiques :
      Les études effectuées chez l’animal montrent qu’une heure après administration d’une goutte de ce collyre, les concentrations du produit sont basses dans les larmes, mais supérieures aux CMI des principaux germes rencontrés dans les infections oculaires dans la cornée et dans l’humeur aqueuse.
      Les études effectuées chez l’homme ont confirmé la bonne pénétration d’ofloxacine dans l’humeur aqueuse.


    1. Traitement des affections oculaires externes, d’origine bactérienne à germes sensibles tels que conjonctivites, ulcère cornéen infectieux, blépharite, tarsite, orgelets.

    1. SENSATION DE BRULURE
    2. PICOTEMENT
      Local.

    1. GROSSESSE
    2. ALLAITEMENT
    3. PORT DE LENTILLES DE CONTACT
      Déconseillé pendant le traitement.

    1. HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS
    2. HYPERSENSIBILITE AUX QUINOLONES

    Voies d’administration

    – 1 – OCULAIRE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    Deux gouttes quatre fois par jour dans l’oeil ou les yeux atteint(s).
    Un traitement de plus de quinze jours doit nécessiter un nouvel avis ophtalmique.


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