ARMOPHYLLINE 300 mg gélules (arrêt de commercialisation)

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ARMOPHYLLINE 300 mg gélules (arrêt de commercialisation)

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 15/12/1999

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : GELULES (MICROGRANULES)

    Etat : arrêt de commercialisation

    Laboratoire : BELLON

    Produit(s) : ARMOPHYLLINE

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 4/10/1985
    2. publication JO de l’AMM 22/12/1985
    3. mise sur le marché 15/1/1987
    4. arrêt de commercialisation 2/5/1995

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 328377-7

    1
    plaquette(s) thermoformée(s)
    30
    unité(s)
    bleu foncé/bleu clair

    Evénements :

    1. agrément collectivités 5/9/1989
    2. inscription SS 5/9/1989
    3. arrêt de commercialisation 2/5/1995
    4. radiation SS 21/10/1995
    5. radiation collectivités 21/10/1995


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    Conservation (dans son conditionnement) : 24
    mois

    A L’ABRI DE LA CHALEUR

    Régime : aucune liste

    Prix Pharmacien HT : 11.50 F

    Prix public TTC : 19.30 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIASTHMATIQUE V. GENER. (XANTHINE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : R03D-A04.
      – Action bronchodilatatrice par relaxation des muscles lisses
      – Action protectrice du mastocyte :
      réduit la quantité des médiateurs bronchoconstricteurs libérés à partir des mastocytes.
      – Stimulant central :
      analeptique respiratoire, psychostimulant, agent convulsivant à hautes doses.
      – Stimulant cardiaque :
      vasodilatation coronarienne avec augmentation des besoins en oxygène du coeur (coronaro-dilatateur `malin`).
      – Effet relaxant sur les muscles lisses.
      – Action diurétique.
      – Augmente la force de contractilité diaphragmatique et diminue la fatigabilité du diaphragme.


    1. – Asthme à dyspnée paroxystique.
      – Asthme à dyspnée continue.
      – Formes spastiques des bronchopneumopathies obstructives chroniques.

    1. TROUBLE DIGESTIF (PEU FREQUENT)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      POSOLOGIE ELEVEE

      Cet effet indésirable peut être l’un des premiers signes d’un surdosage.

    2. NAUSEE (PEU FREQUENT)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      POSOLOGIE ELEVEE

      Cet effet indésirable peut être l’un des premiers signes d’un surdosage.

    3. VOMISSEMENT (PEU FREQUENT)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      POSOLOGIE ELEVEE

      Cet effet indésirable peut être l’un des premiers signes d’un surdosage.

    4. DOULEUR EPIGASTRIQUE (PEU FREQUENT)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      POSOLOGIE ELEVEE

      Cet effet indésirable peut être l’un des premiers signes d’un surdosage.

    5. TROUBLE NEUROLOGIQUE (PEU FREQUENT)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      POSOLOGIE ELEVEE

      Cet effet indésirable peut être l’un des premiers signes d’un surdosage.

    6. CEPHALEE (PEU FREQUENT)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      POSOLOGIE ELEVEE

      Cet effet indésirable peut être l’un des premiers signes d’un surdosage.

    7. INSOMNIE (PEU FREQUENT)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      POSOLOGIE ELEVEE

      Cet effet indésirable peut être l’un des premiers signes d’un surdosage.

    8. EXCITATION PSYCHOMOTRICE (PEU FREQUENT)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      POSOLOGIE ELEVEE

      Cet effet indésirable peut être l’un des premiers signes d’un surdosage.

    9. TACHYCARDIE
      Cet effet indésirable peut être l’un des premiers signes d’un surdosage.
    10. CRISE CONVULSIVE
      L’apparition de convulsions est le signe d’intoxication confirmée mais peut en être le premier signe chez l’enfant.

    1. INSUFFISANCE CARDIAQUE
      Au besoin, réduire les doses.
    2. INSUFFISANCE HEPATIQUE
      Au besoin, réduire les doses.
    3. OBESITE
      Adapter la posologie par rapport au poids idéal.
    4. INSUFFISANCE CORONARIENNE
    5. HYPERTHYROIDIE
    6. ANTECEDENTS COMITIAUX
    7. ULCERE GASTRODUODENAL
      Chez l’animal, des données expérimentales ont montré que la théophylline à un effet stimulant sur la sécrétion gastrique. Son administration doit être prudente chez les sujets ayant un ulcère gastro-duodénal en évolution.
    8. GROSSESSE
      La théophylline peut être utilisée pendant la grossesse, mais en cas d’administration en fin de grossesse, possibilité de tachycardie, hyperexitabilité chez le nouveau né.

    1. INTOLERANCE A LA THEOPHYLLINE
    2. ENFANT DE MOINS DE 3 ANS
      Sensibles à l’action des xanthines.

    Traitement

    – Vomissements, agitation, logorrhée, confusion mentale, troubles respiratoires, hyperventilation puis dépression respiratoire, hyperthermie, convulsions, tachycardie, fibrillation ventriculaire, hypotension, arrêt cardiaque.
    – Traitement du surdosage
    :
    Réanimation en milieu hospitalier. Lavage gastrique. Traitement symptomatique cardiorespiratoire. Traitement des convulsions.
    éventuellement, épuration sur colonne de charbon.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    La posologie sera adaptée à la susceptibilité individuelle, en fonction de l’efficacité et des effets indésirables.
    * Adultes :
    – Doses usuelles jusqu’à treize milligrammes par kilo par jour, en deux prises à obtenir progressivement
    sur huit jours.
    – Chez certains malades, l’armophylline pourra etre administree en une prise quotidienne unique, en règle : six cents milligrammes.
    Toutefois, en raison de variations individuelles, notamment pondérales, des doses plus élevées pourront
    être prescrites sous réserve d’une augmentation progressive de la posologie et du contrôle de la théophyllinémie.
    – En cas d’obésité, adapter la posologie par rapport au poids idéal.
    * Enfants au-dessus de trois ans :
    – Doses usuelles : dix milligrammes
    par kilo par jour, à obtenir progressivement sur huit jours et réparties en deux prises matin et soir.
    – Des doses plus élevées sont souvent nécessaires chez l’enfant pour obtenir un taux éfficace (dix à quinze microgrammes par millilitre; ne pas
    dépasser vingt microgrammes par millilitre).
    L’augmentation de la posologie doit être faite sous contrôle de la théophyllinémie et de la tolérance.
    .
    .
    Mode d’Emploi :
    Utiliser avec prudence chez le jeune enfant, extrêmement sensible à l’action des
    xanthines. En raison des grandes variations interindividuelles du métabolisme de la théophylline, il est nécessaire d’adapter les doses en fonction des réactions indésirables et/ou des taux sanguins (voir posologie).
    Un surdosage peut résulter de doses
    inappropriées, de prises répétées à intervalles trop courts, ou d’une potentialisation par des médicaments associés (voir intéractions médicamenteuses).


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