ANALGYL 200 mg comprimés (arrêt de commercialisation)
ANALGYL 200 mg comprimés (arrêt de commercialisation)
Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 4/1/2000
- Identification de la spécialité
- Présentation et Conditionnement
- Composition
- Propriétés Thérapeutiques
- Indications Thérapeutiques
- Effets secondaires
- Précautions d’emploi
- Contre-Indications
- Surdosage
- Voies d’administration
- Posologie et mode d’administration
Identification de la spécialité
Autres dénominations :
nom ancien – FENALGIC 200MG COMPRIMES
Forme : COMPRIMES ENROBES
Etat : arrêt de commercialisation
Laboratoire : SPECIAProduit(s) : ANALGYL
Evénements :
- octroi d’AMM 22/4/1987
- publication JO de l’AMM 9/7/1987
- mise sur le marché 15/4/1988
- arrêt de commercialisation 9/10/1993
Présentation et Conditionnement
Numéro AMM : 329302-0
1
plaquette(s) thermoformée(s)
20
unité(s)
PVC/alu
roseEvénements :
- agrément collectivités 13/2/1988
- inscription SS 13/2/1988
- radiation SS 9/9/1993
- radiation collectivités 29/9/1993
- arrêt de commercialisation 9/10/1993
Lieu de délivrance : officine
Etat actuel : arrêt de commercialisation
Conservation (dans son conditionnement) : 24
mois
Régime : aucune liste
Composition
Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE
- IBUPROFENE 200 mg
- AMIDON DE MAIS excipient
- CARBOXYMETHYLAMIDON SODIQUE excipient
- SILICE COLLOIDALE excipient
- STEARIQUE ACIDE excipient
- GLUCOSE enrobage
- SACCHAROSE enrobage
- GELATINE enrobage
- GOMME ARABIQUE enrobage
- TALC enrobage
- ERYTHROSINE LAQUE colorant (enrobage)
- CIRE BLANCHE enrobage
- CIRE DE CARNAUBA enrobage
- ANALGESIQUE (AUTRE) (principale)
Bibliographie : Classe ATC : N02B-G10.
Du groupe des propioniques de l’ensemble des dérivés de l’acide aryl carboxylique.
-
Elles sont limitées à :
– Traitement symptomatique des affections douloureuses et/ou fébriles (telles que céphalées et douleurs dentaires).
– Douleurs de l’appareil locomoteur.
– Dysménorrhées.
- NAUSEE
- VOMISSEMENT
- DOULEUR EPIGASTRIQUE
- DYSPEPSIE
- HEMORRAGIE
Occultes ou non. - TROUBLE DU TRANSIT
- ERUPTION CUTANEE
Dus à une réaction d’hypersensibilité. - RASH
Dus à une réaction d’hypersensibilité. - PRURIT
Dus à une réaction d’hypersensibilité. - OEDEME
Dus à une réaction d’hypersensibilité. - CRISE D’ASTHME
En particulier chez les sujets allergiques à l’aspirine et aux autres antiinflammatoires non stéroïdiens. - VERTIGE
- CEPHALEE
- TROUBLE DE LA VISION
- TRANSAMINASES(AUGMENTATION)
Transitoire. - OLIGURIE
- INSUFFISANCE RENALE
- AGRANULOCYTOSE
- ANEMIE HEMOLYTIQUE
- ENFANT DE MOINS DE 15 ANS
Ne pas utiliser. - RECOMMANDATION
Sujet âgé :
l’âge ne modifiant pas la cinétique de l’ibuprofène, la posologie ne devrait pas avoir à être modifiée en fonction de ce paramètre. - ULCERE GASTRODUODENAL
Surveillance attentive en cours de traitement. - HERNIE HIATALE
Surveillance attentive en cours de traitement. - HEMORRAGIE DIGESTIVE
Surveillance attentive en cours de traitement. - INSUFFISANCE CARDIAQUE
Surveillance attentive du volume de la diurèse et de la fonction rénale et particulièrement chez les sujets âgés. - CIRRHOSE
Surveillance attentive du volume de la diurèse et de la fonction rénale et particulièrement chez les sujets âgés. - SYNDROME NEPHROTIQUE
Surveillance attentive du volume de la diurèse et de la fonction rénale et particulièrement chez les sujets âgés. - TRAITEMENT DIURETIQUE
Surveillance attentive du volume de la diurèse et de la fonction rénale et particulièrement chez les sujets âgés. - INSUFFISANCE RENALE
Surveillance attentive du volume de la diurèse et de la fonction rénale et particulièrement chez les sujets âgés. - PORT DU STERILET
Il a été décrit pour les anti-inflammatoires non stéroïdiens une possibilité de diminution d’efficacité. - TROUBLES VISUELS
en cas de troubles de la vue quels qu’ils soient, un examen ophtalmologique complet doit etre effectue. - REACTIONS MENINGEES
Certaines réactions méningées rares, bénignes liées à l’ibuprofène chez des patients atteints de lupus érythémateux dissémine en font limiter l’emploi dans cette indication. - ALLAITEMENT
Les AINS passant dans le lait maternel, par mesure de précaution, il convient d’éviter de les administrer chez la femme qui allaite. - CONDUCTEURS DE VEHICULES
Apparition possible d’étourdissements.
- HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS
Allergie avérée à l’ibuprofène et aux substances d’activité proche :
la survenue de crise d’asthme a été observée chez certains sujets, notamment allergiques à l’aspirine.
Contre-indication absolue. - ULCERE GASTRODUODENAL EVOLUTIF (absolue)
- INSUFFISANCE HEPATOCELLULAIRE SEVERE
Contre-indication absolue. - INSUFFISANCE RENALE SEVERE
Contre-indication absolue. - GROSSESSE
Dans l’espèce humaine, aucun effet malformatif particulier n’a été signalé. Cependant, des études épidémiologiques complémentaires sont nécessaires afin de confirmer l’absence de risque.
Au cours du troisième trimestre, tous les inhibiteurs de synthèse des prostaglandines peuvent exposer :
– le foetus à :
. une toxicité cardio-pulmonaire (hypertension pulmonaire avec fermeture prématurée du canal artériel);
. un dysfonctionnement rénal pouvant aller jusqu’à l’insuffisance rénale avec oligohydramnios.
– la mère et l’enfant, en fin de grossesse, à un allongement éventuel du temps de saignement.
En conséquence, la prescription d’AINS ne doit être envisagée que si nécessaire pendant les 5 premiers mois de la grossesse.
En dehors d’utilisations obstétricales extrêmement limitées et qui justifient une surveillance spécialisée, la prescription d’AINS est contre-indiquée à partir du 6ème mois. - ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
Ce médicament ne doit généralement pas être utilisé en cas d’association avec :
– les anticoagulants oraux,
– d’autres AINS, y compris les salicylés à partir de 3 g/jour chez l’adulte,
– l’héparine,
– le lithium,
– le méthotrexate à partir de 15 mg/semaine,
– la ticlopidine.
Traitement
Traitement symptomatique.
Voies d’administration
Posologie & mode d’administration
Posologie Usuelle :
Adultes (à partir de quinze ans) :
– Dose initiale de deux cent à quatre cents milligrammes, puis si nécessaire, la prise est renouvelée toutes les quatre à six heures, sans dépasser mille deux cent milligrammes par jour.
–
Dysménorrhées : deux cents à quatre cents milligrammes trois fois par jour.