NORPROLAC 25 et 50 microgrammes comprimés

Donnez-nous votre avis

NORPROLAC 25 et 50 microgrammes comprimés

Introduction dans BIAM : 20/11/1996
Dernière mise à jour : 5/10/1999

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : COMPRIMES

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : NOVARTIS PHARMA

    Produit(s) : NORPROLAC

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 23/2/1995
    2. publication JO de l’AMM 23/5/1995
    3. mise sur le marché 14/11/1996

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 338647-7

    -1- 1
    plaquette(s) thermoformée(s)
    3
    unité(s)
    PVC/PVDC/alu
    rose

    -2- 1
    plaquette(s) thermoformée(s)
    3
    unité(s)
    PVC/PVDC/alu
    bleu

    Evénements :

    1. inscription SS 6/11/1996
    2. agrément collectivités 26/12/1996


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    CONSERVER A TEMPERATURE < 30 DEGRES Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 33.23 F

    Prix public TTC : 47.50 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Forme 1
    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs


    Forme 2
    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. INHIBITEUR DE LA PROLACTINE (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : G02C-B04
      Le quinagolide est un agoniste dopaminergique D2 sélectif. Il ne s’agit pas d’un dérivé de l’ergot de seigle.
      Le quinagolide, par son action dopaminergique, est un puissant inhibiteur de la sécrétion de prolactine, in vitro et in vivo.
      Excepté son effet inhibiteur sur la écrétion d’hormone de croissance, le quinagolide ne réduit pas la sécrétion des autres hormones anté-hypophysaires.
      Le quinagolide, en une prise par jour, est efficace, cliniquement, vis à vis des manifestations de l’hyperprolactinémie.
      En traitement prolongé, il peut réduire la taille ou limiter l’expansion des adénomes à prolactine.

    1. ***
      – Hyperprolactinémie idiopathique.
      – Hyperprolactinémie lié à la présence d’un microadénome ou d’un macroadénome hypophysaire et leurs manifestation cliniques :
      . chez la femme : galactorrhée, oligo- ou aménorrhée, infertilité.
      . chez l’homme : gynécomastie, impuissance.
    2. HYPERPROLACTINEMIE
    3. GALACTORRHEE IATROGENE
    4. AMENORRHEE SECONDAIRE
    5. GYNECOMASTIE
    6. IMPUISSANCE

    1. NAUSEE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      DEBUT DU TRAITEMENT

      Ils surveinnent habituellement les tout premiers jours de traitement, ne nécessitent pas son interruption et disparaissent généralement à sa poursuite

    2. VOMISSEMENT
      Condition(s) Favorisante(s) :
      DEBUT DU TRAITEMENT

      Ils surveinnent habituellement les tout premiers jours de traitement, ne nécessitent pas son interruption et disparaissent généralement à sa poursuite

    3. CEPHALEE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      DEBUT DU TRAITEMENT

      Ils surveinnent habituellement les tout premiers jours de traitement, ne nécessitent pas son interruption et disparaissent généralement à sa poursuite

    4. VERTIGE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      DEBUT DU TRAITEMENT

      Ils surveinnent habituellement les tout premiers jours de traitement, ne nécessitent pas son interruption et disparaissent généralement à sa poursuite

    5. ASTHENIE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      DEBUT DU TRAITEMENT

      Ils surveinnent habituellement les tout premiers jours de traitement, ne nécessitent pas son interruption et disparaissent généralement à sa poursuite

    6. HYPOTENSION ORTHOSTATIQUE
      Modérée.
    7. SYNCOPE (EXCEPTIONNEL)
    8. PSYCHOSE AIGUE
      Des cas isolés de syndrome psychotiques aigus ont été signalés. Ils cèdent à l’arrêt du traitement.

    1. PRECAUTIONS PARTICULIERES
      – Surveillance tensionnelle au cours des premiers jours de traitement.

      – Le quinagolide pouvant restaurer la fertilité, une méthode adéquate de contraception doit être adoptée chez les femmes ne souhaitant pas de grossesse.
    2. ANTECEDENTS PSYCHIATRIQUES
      La prudence est recommandée en cas d’antécédents psychotiques.
    3. CONDUCTEURS DE VEHICULES
      En début de traitement , notamment, l’attention des conducteurs de véhicules et des utilisateurs de machines doit être attirée sur le risque de baisses tensionnelles.
    4. NE PAS LAISSER A LA PORTEE DES ENFANTS

    1. HYPERSENSIBILITE A CE PRODUIT
    2. INSUFFISANCE RENALE
    3. INSUFFISANCE HEPATIQUE
    4. GROSSESSE
      Absence de potentiel embryotoxique ou tératogène, d’après les données expérimentales. L’expérience clinique est encore limitée. Chez les femmes souhaitant une grossesse, il est recommandé d’interrompre le traitement par quinagolide sauf indication précise à la poursuite du traitement.
      En cas d’adénome hypophysaire chez une femme enceinte et si le traitement a été interrompu, une surveillance attentive de lk’adénome tout au long de la grossesse est indispensable. L’interruption du traitement n’a pas entraîné d’augmentation d’incidence d’avortement.
      En cas de signes d’extension tumorale (altération du champ visuel ou céphalées), le quinagolide peut être ré-administré et un traitement chirurgical peut être envisagé.
    5. ALLAITEMENT
      En raison de son effet inhibiteur sur la sécrétion de la prolactine, le quinagolide rend l’allaitement maternel impossible.

    Signes de l’intoxication :

    1. NAUSEE
    2. VOMISSEMENT
    3. CEPHALEE
    4. VERTIGE
    5. HYPOTENSION ARTERIELLE
    6. COLLAPSUS CARDIOVASCULAIRE
    7. HALLUCINATION

    Traitement

    Aucune expérience de surdosage aigu n’a pas été rapportée. Les troubles potentiellement observables seraient : nausées et vomissements sévères, céphalées et vertiges, hypotension voire collapsus, possibilité d’hallucinations.
    Le traitement de
    l’intoxication aiguë est symptomatique. Le métoclopramide pourrait être utilisé pour traiter les troubles digestifs et les hallucinations.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie usuelle :
    – Le conditionnement d’initiation au traitement permet une prise quotidienne de vingt cinq microgrammes les trois premiers jours, puis de cinquante microgrammes les trois jours suivants. Une posologie de soixante quinze microgrammes
    est maintenue jusqu’à la fin du premier mois de traitement. En fonction de la prolactinémie, elle sera augmentée par paliers mensuels.
    – La plupart des patients sont contrôlés par une dose inférieure ou égale à cent cinquante microgrammes par jour. Une
    posologie plus élevée, jusqu’à trois cent microgrammes et plus, peut être nécessaire.
    .
    Mode d’emploi :
    Le quinagolide doit être administré en une prise par jour, au coucher, avec une légère collation.
    Un traitement initial progressif réduit le risque
    d’effets indésirables.


    Retour à la page d’accueil

Similar Posts