AMOXINE 250 mg poudre orale

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AMOXINE 250 mg poudre orale

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 4/7/2000

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Autres dénominations :
    code expérimentation – NG 09


    Forme : POUDRE POUR SOLUTION BUVABLE

    unidose

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : NEGMA

    Produit(s) : AMOXINE

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 21/5/1981
    2. publication JO de l’AMM 20/6/1981

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 324549-8

    12
    sachet(s)
    papier/alu/PE

    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : commercialisé

    Matériel de dosage : unidose

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 18 F

    Prix public TTC : 19 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    • AMOXICILLINE 250 mg
      trihydrate d’amoxicilline quantite corresp a amoxicilline anhydre

    Principes non-actifs

    1. ANTIBIOTIQUE VOIE GENERALE (PENICILLINE SPECTRE ELARGI) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : J01C-A04.
      De la famille des bêta-lactamines du groupe des pénicillines de type A (Aminopénicilline).
      Spectre d’activité antibactérienne :
      – Espèces habituellement sensibles (CMI inférieure ou égale à 4 mg/l)
      Plus de 90 % des souches de l’espèce sont sensibles (‘S’).
      Sreptocoques A, B, C, F, G ; S. bovis ; Sreptocoques non groupables
      S. pneumoniae pénicilline-sensibles
      E. faecalis, L. monocytogenes
      C. diphteriae, E. rhusopathiae, Eikenella
      N. meningitidis, B. pertussis
      Clostridium sp., P. acnes
      Peptostreptococcus, Actinomyces
      Leptospires, Borrelia, Treponema
      S. typhi, Eubacterium, A. actinomycetemcomitans.
      – Espèces résistantes (CMI supérieure à 16 mg/l)
      Au moins 50 % des souches de l’espèce sont résistantes (‘R’).
      Staphylocoques, B. catarrhalis
      Klebsiella pneumoniae et oxytoca
      Enterobacter, Serratia, C. diversus, C. freundii
      P. rettgeri, M. morganii, P. vulgaris, Providencia, Y. enterocolitica
      Pseudomonas sp., Acinetobacter sp., Xanthomonas sp.,
      Flavobacterium sp., Alcaligenes sp.
      Nocardia sp., Campylobacter sp.
      Mycoplasmes, Chlamydiae
      Rickettsies, Legionella, Mycobactéries
      B. fragilis.
      – Espèces inconstamment sensibles.
      Le pourcentage de résistance acquise est variable. La sensibilité est donc imprévisible en l’absence d’antibiogramme.
      E. faecium, S. pneumoniae peni I ou R
      E. coli, P. mirabilis, Shigella, V. cholerae
      H. influenzae, N. gonorrhoeae
      Fusobacterium, Prevotella
      Veillonella
      Capnocytophaga
      Porphyromonas.
      En France, en 1995, 30 à 40 % des pneumocoques sont de sensibilité diminuée à la pénicilline (CMI > 0.12 mcg/ml). Cette diminution de l’activité intéresse toutes les bêta-lactamines dans des proportions variables, et devra notamment être prise en compte pour le traitement des méningites en raison de leur gravité et des otites aiguës moyennes où l’incidence des souches de sensibilité diminuée peut dépasser 50 %.
      Certaines espèces bactériennes ne figurent pas dans le spectre en l’absence d’indication clinique.


    1. Elles procèdent de l’activité antibactérienne et des caractéristiques pharmacocinétiques de l’amoxicilline.
      Elles tiennent compte à la fois des études cliniques auxquelles a donné lieu ce médicament et de sa place dans l’éventail des produits antibactériens actuellement disponibles.
      Elles sont limitées aux infections dues aux germes sensibles dans leurs manifestations :
      respiratoires ,o.r.l., et stomatologiques, rénales et urogénitales, gynecologiques, digestives et biliaires.

    1. REACTION ALLERGIQUE
    2. URTICAIRE
    3. EOSINOPHILIE
    4. OEDEME ANGIONEUROTIQUE
    5. GENE RESPIRATOIRE
    6. CHOC
    7. ERUPTION MACULOPAPULEUSE
      (morbilliformes). Survenant après un délai de quelques jours (parfois après arrêt du traitement) de nature encore incertaine (origine allergique non démontrée).
    8. TROUBLE DIGESTIF
    9. NAUSEE
    10. VOMISSEMENT
    11. DIARRHEE
    12. CANDIDOSE
    13. ENTEROCOLITE PSEUDOMEMBRANEUSE
    14. TRANSAMINASES(AUGMENTATION)
      Augmentation modérée et transitoire des transaminases sériques.
    15. ANEMIE
      Réversible.
    16. LEUCOPENIE
      Réversible.
    17. THROMBOPENIE
      Réversible.
    18. NEPHROPATHIE INTERSTITIELLE AIGUE

    1. HYPERSENSIBILITE AUX CEPHALOSPORINES
      Tenir compte du risque d’allergie croisée avec les antibiotiques de la famille des céphalosporines des réactions d’hypersensibilité (anaphylaxie) sévères et parfois vitales ont été observées chez des malades traités par les pénicillines bien que ces accidents soient plus fréquents après injection parentérale , ils peuvent aussi exceptionnellement survenir après ingestion orale des produits l’administration de pénicilline nécessite donc un interrogatoire préalable devant des antécédents d’allergie typique à ces produits , la contre- indication est formelle l’allergie aux pénicillines est croisée avec l’allergie aux céphalosporines dans 5 à 10% des cas ceci conduit à proscrire les pénicillines lorsque le sujet est un allergique connu aux céphalosporines.
    2. INSUFFISANCE RENALE
      En cas d’insuffisance rénale , adapter la posologie en fonction de la clairance de la créatinine :

      chez les malades dont la clairance de la créatinine est égale ou inférieure à 10 ml , il convient de réduire la posologie à environ 8 à 15 mg/kg toutes les 12 à 24 heures.
    3. ALLAITEMENT
      L’amoxicilline passe dans le lait maternel.
    4. GROSSESSE
      Tenir compte du passage placentaire.

    1. HYPERSENSIBILITE AUX PENICILLINES
    2. INFECTION VIRALE
      Par herpès-virus , notamment la mononucléose infectieuse (risque accru d’accidents cutanés).

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    Chez l’enfant jusqu’à douze ans : un sachet deux fois par jour en pratique : cinquante milligrammes par kilo par jour.
    .
    Posologie Particulière :
    En cas d’insuffisance rénale sévère :
    adapter la posologie en fonction de la clairance
    de la créatinine :
    chez les malades dont la clairance de la créatinine est égale ou inférieure à dix millilitres , il convient de réduire la posologie à environ huit à quinze milligrammes par kilo toutes les douze à vingt quatre heures.
    .
    Mode d’Emploi
    :
    Diluer le contenu du sachet dans un peu de liquide.


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