GENOTONORM 16 UI (5.3 mg)/1 ml avec conservateur, poudre et solvant pour solution injectable

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GENOTONORM 16 UI (5.3 mg)/1 ml avec conservateur, poudre et solvant pour solution injectable

Introduction dans BIAM : 27/2/1997
Dernière mise à jour : 4/12/2000

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : POUDRE ET SOLVANT POUR SOLUTION INJECTABLE

    Usage : adulte et enfant

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : PHARMACIA-UPJOHN

    Produit(s) : GENOTONORM

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 11/3/1991
    2. publication JO de l’AMM 29/10/1991
    3. mise sur le marché 15/3/1992
    4. rectificatif d’AMM 29/3/2000

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 349755-0

    1
    cartouche(s) bi-compartimentée(s)
    verre

    Evénements :

    1. agrément collectivités 26/9/1999
    2. inscription SS 26/9/1999
    3. mise sur le marché 12/11/1999


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 24
    mois

    CONSERVER ENTRE +2 ET +8 DEGRES C
    A L’ABRI DE LA LUMIERE
    NE PAS CONGELER

    Conservation (préparée, reconstituée ou déconditionnée) : 21
    jour(s)

    CONSERVER ENTRE +2 ET +8 DEGRES C
    A L’ABRI DE LA LUMIERE

    Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    remboursé
    100 %

    Prix Pharmacien HT : 1160.39 F

    Prix public TTC : 1326.10 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : par unité de prise, soit pour :

    Volume : 1
    ml

    Principes actifs

    • SOMATROPINE 16 U.I.
      Hormone de croissance humaine recombinante 16 UI soit 5,3 mg

    Principes non-actifs

    1. HORMONE ANTEHYPOPHYSAIRE (SOMATROPINE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : H01A-C01.
      La somatropine est une hormone métabolique puissante jouant un rôle important dans le métabolisme des lipides, des glucides et des protéines. La somatropine stimule la croissance linéaire et augmente la vitesse de croissance chez les enfants présentant un déficit en hormone de croissance. Chez les adultes, comme chez les enfants, la somatropine maintient la composition corporelle normale en augmentant la rétention azotée, en stimulant la croissance du muscle squelettique, et en mobilisant les graisses corporelles. Le tissu adipeux viscéral est très sensible à la somatropine. La somatropine augmente les concentrations sériques de IGF-I (Insulin-like Growth Factor I) , et IGFBP3 (Insulin-like Growth Factor Binding Protein 3).
      Par ailleurs, les propriétés suivantes ont été mises en évidence :
      – Métabolisme lipidique : la somatropine est un inducteur des récepteurs hépatiques du LDL cholestérol, et modifie le profil des lipides et des lipoprotéines sériques. En général l’administration de somatropine chez les patients ayant un déficit en hormone de croissance entraîne une diminution des LDL et des apolipoprotéines B sériques.
      Une diminution du cholestérol total sérique peut aussi être observée.
      – Métabolisme glucidique : la somatropine augmente le taux d’insuline mais la glycémie à jeun est généralement inchangée. Les enfants ayant un hypopituitarisme ont parfois des épisodes d’hypoglycémie lorsqu’ils sont à jeun qui peuvent être corrigés par l’administration de somatropine.
      – Métabolisme de l’eau et des sels minéraux : le déficit en hormone de croissance s’accompagne d’une diminution des volumes plasmatiques et extracellulaires qui augmentent rapidement avec un traitement par la somatropine. La somatropine entraîne une rétention sodée potassique et du phosphore.
      – Métabolisme osseux : la somatropine stimule le renouvellement des os du squelette. Le contenu minéral osseux et la densité osseuse au niveau des sites de charge corporelle augmentent après une administration à long terme de somatropine à des patients ayant un déficit en hormone de croissance et ayant une ostéopénie.
      – Capacité physique : la force musculaire et la capacité à l’exercice physique sont améliorées après un traitement à long terme avec la somatropine. La somatropine augmente aussi le débit cardiaque, mais le mécanisme n’a pas encore été élucidé. Une diminution de la résistance périphérique vasculaire peut contribuer à cet effet.
      – Genotonorm améliore le tonus, la vitalié, la mémoire et la sensation de bien être.
      *** Propriétés Pharmacocinétiques :
      – Absorption :
      La biodisponibilité de Genotonorm administré par voie sous cutanée est environ de 80% à la fois chez les sujets sains et les patients ayant un déficit en hormone de croissance. Le taux plasmatique des valeurs de Cmax et tmax est de 13 à 35 ng/ml et 3 à 6 heures respectivement après une dose sous cutanée de 0,1 UI/kg de Genotonorm.
      – Elimination :
      La 1/2 vie terminale moyenne de Genotonorm après une administration intraveineuse chez des patients adultes ayant un déficit en hormone de croissance est d’environ 0,4 heures. Cependant, après une administration sous cutanée, la 1/2 vie est de 2-3 heures. La différence observée est probablement liée à une absorption lente à partir du site d’injection après administration sous cutanée.
      – Sous populations :
      La biodisponibilité absolue de Genotonorm semble similaire chez l’homme et la femme après administration sous cutanée.
      Les informations concernant la pharmacocinétique de Genotonorm chez des populations âgées et chez des enfants, dans différentes races et chez des patients atteints d’insuffisance rénale, hépatique ou cardiaque sont soit inexistantes soit incomplètes.
      * Données de sécurité précliniques :
      Dans les études de toxicité générale, de tolérance locale et de toxicité sur la fonction de reproduction, aucun effet pertinent cliniquement n’a pu être observé.
      Les résultats des études de génotoxicité in vivo et in vitro portant sur des mutations génétiques et l’induction d’aberrations chromosomiques ont été négatives.
      Une augmentation de la fragilité des chromosomes a été observée dans une étude in vitro sur des lymphocytes prélevés chez des patients après un traitement de longue durée par la somatropine et après addition d’un médicament radiomimétique, la bléomycine. La signification clinique de cette observation n’est pas connue.
      Dans une autre étude, aucune augmentation d’anomalies chromosomiques n’a été retrouvée dans les lymphocytes des patients traités au long cours par la somatropine.

    1. ***
      * Chez l’enfant :
      – Retard de croissance lié à un déficit somatotrope ou retard de croissance associé à un syndrome de Turner.
      – Retard de croissance lié à une insuffisance rénale chronique.
      * Chez l’adulte :
      – Traitement substitutif par l’hormone de croissance chez les patients présentant un déficit somatotrope confirmé par deux tests dynamiques.
      Les patients doivent aussi répondre aux critères suivants :
      . déficit acquis pendant l’enfance : les patients dont le déficit somatotrope a été diagnostiqué pendant l’enfance doivent être réévalués et leur déficit en hormone de croissance doit être confirmé avant que le traitement substitutif par l’hormone de croissance ne soit instauré ;
      . déficit acquis à l’âge adulte : les patients doivent avoir un déficit somatotrope secondaire à une pathologie hypothalamique ou hypophysaire et au moins un autre déficit hormonal diagnostiqué (excepté la prolactine) et substitué, avant que le traitement substitutif par l’hormone de croissance ne soit instauré.
    2. RETARD DE CROISSANCE
    3. SYNDROME DE TURNER
    4. NANISME HYPOPHYSAIRE
    5. HYPOPITUITARISME

    1. RETENTION HYDROSODEE (FREQUENT)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      ADULTE
      DEBUT DE TRAITEMENT

      Les effets indésirables liés à la rétention hydrique , tels que oedème périphérique, rigidité des extrêmités, arthralgies, myalgies, paresthésies sont fréquents (> 1/100 et < 4/10) chez les patients adultes. En général, ces effets indésirables sont peu sévères à modérés, ils surviennent dans les premiers mois du traitement spontanément ou après une diminution de posologie.

    2. OEDEME PERIPHERIQUE (FREQUENT)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      ADULTE
      DEBUT DE TRAITEMENT
    3. DOULEUR ARTICULAIRE (FREQUENT)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      ADULTE
      DEBUT DE TRAITEMENT
    4. DOULEUR MUSCULAIRE (FREQUENT)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      ADULTE
      DEBUT DE TRAITEMENT
    5. PARESTHESIE (FREQUENT)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      ADULTE
      DEBUT DE TRAITEMENT
    6. REACTION CUTANEE (FREQUENT)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      AU POINT D’INJECTION
      ENFANT

      Transitoire.

    7. HYPERTENSION INTRACRANIENNE (RARE)
      Bénigne.
    8. ANTICORPS ANTIHORMONE DE CROISSANCE (RARE)
      Chez environ 1% des patients la somatropine a entraîné la formation d’anticorps. La capacité de liaison de ces anticorps est faible et aucune modification clinique n’a été associée à leur formation.
    9. CORTISOL PLASMATIQUE(DIMINUTION)
      Cette diminution peut être liée à la modification des protéines de transport ou à une augmentation de la clairance hépatique. Il est possible que la signification clinique de ces observations soit limitée. Toutefois, la corticothérapie de substitution devra être optimisée avant d’instaurer le traitement par Genotonorm.
    10. LEUCEMIE (TRES RARE)
      De très rares cas (< 1/10000) de leucémies ont été rapportés chez les enfants atteints d'un déficit en hormone de croissance et traités par la somatropine cependant la fréquence semble similaire à celle retrouvée chez les enfants ne présentant pas de déficit en hormone de croissance.

    1. CONDITIONS D’UTILISATION DU PRODUIT
      Le diagnostic et le traitement par Genotorm doivent être réalisés et suivis par un médecin spécialisé et expérimenté dans le diagnostic et le traitement de patients atteints d’un déficit en hormone de croissance.
    2. MYALGIE
      L’apparition d’une myosite constitue un effet secondaire rare qui peut être lié à la présence du conservateur métacrésol. En cas de myalgie ou de douleur exagérée au niveau du site d’injection une myosite doit être suspectée et si elle est confirmée, une spécialité Genotonorm ne contenant pas de métacrésol doit être utilisée.
    3. DIABETE
      La somatropine peut induire une insulino-résistance ainsi qu’une hyperglycémie chez certains patients. En conséquence, une intolérance au glucose devra être recherchée. En cas de diabète insulinodépendant, on pourra être amené à modifier la posologie au début d’un traitement par la somatropine.
    4. HYPOTHYROIDIE
      Au cours d’un traitement par la somatropine une augmentation de la conversion de T4 en T3 a été observée ce qui entraîne une diminution de la concentration sérique en T4 et une augmentation de la concentration sérique en T3. En général, les taux périphériques d’hormones thyroïdiennes restent dans les fourchettes de référence des sujets sains. Les effets de la somatropine sur le taux d’hormones thyroïdiennes peuvent avoir une conséquence clinique chez les patients atteints d’une hypothyroïdie infraclinique centrale chez qui une hypothyroïdie peut en théorie se développer.
      Inversement, chez les patients recevant un traitement substitutif par la thyroxine, une hyperthyroïdie modérée peut apparaître. Il est donc particulièrement conseillé de contrôler régulièrement la fonction thyroïdienne après la mise en place d’un traitement par la somatropine et après ajustement de la posologie.
    5. TRAITEMENT ANTITUMORAL
      En cas de déficit somatotrope secondaire à un traitement antitumoral, il est recommandé de surveiller les signes éventuels de récidive du processus tumoral.
    6. CLAUDICATION
      Condition(s) Exclusive(s) :
      ENFANT

      Chez les patients présentant des troubles endocriniens y compris ceux relatifs à un déficit en hormone de croissance, la survenue d’une épiphysiolyse de la hanche peut être plus fréquente que dans la population générale. Tout enfant présentant une claudication au cours du traitement par la somatropine devra être examiné.

    7. CEPHALEES
      En cas de céphalées sévères ou répétées, de troubles visuels, de nausées et/ou de vomissements, il est recommandé d’effectuer un fond d’oeil afin de dépister un éventuel oedème papillaire. Si celui-ci est confirmé, un diagnostic d’hypertension intracrânienne bénigne devra être considéré et, s’il y a lieu, le traitement par Genotonorm devra être interrompu.
      L’état actuel des connaissances ne permet pas aujourd’hui de définir la conduite à tenir chez des patients ayant une hypertension intracrânienne résolue.
      Si le traitement par l’hormone de croissance est réinstauré, une surveillance attentive de la survenue de symptômes d’hypertension intracrânienne est nécessaire.
    8. SUJET AGE
      Chez les patients âgés de plus de 60 ans, l’expérience clinique est limitée.
    9. TRAITEMENT PROLONGE
      L’expérience d’un traitement au long cours par l’hormone de croissance chez l’adulte est limitée.
    10. INSUFFISANCE RENALE CHRONIQUE
      Dans le cas d’une insuffisance rénale chronique, la fonction rénale devra être diminuée de 50% par rapport à la normale. Afin de confirmer le retard de croissance, la croissance aura dû être suivie au préalable pendant un an avant de mettre en route le traitement. Au cours de cette période, un traitement de l’insuffisance rénale chronique (incluant le contrôle de l’acidose, de l’hyperparathyroïdie et de l’état nutritionnel) devra avoir été instauré au préalable et devra être maintenu pendant la durée du traitement. Le traitement devra être interrompu en cas de transplantation rénale. Il n’existe pas à ce jour, de données disponibles sur la taille définitive des patients atteints d’insuffisance rénale chronique traités par Genotonorm.
    11. SUITES D’INTERVENTION CHIRURGICALE
      Les effets de Genotonorm sur l’évolution d’un état critique ont été étudiés dans 2 études contrôlées versus placebo chez 522 patients adultes présentant des complications secondaires à une intervention chirurgicale à coeur ouvert, une intervention chirurgicale abdominale, un polytraumatisme accidentel ou une insuffisance respiratoire aiguë.
      La mortalité était plus élevée chez les patients traités par 16 ou 24 UI (5,3 ou 8 mg) de Genotonorm par jour par rapport aux patients recevant le placebo, soit 42% contre 19%. Compte tenu de ces résultats, ces patients ne devront pas être traités par Genotonorm.
    12. MALADIES ORGANIQUES GRAVES
      Etant donné l’absence d’information disponible sur la sécurité d’un traitement substituitf par l’hormone de croissance chez les patients présentant un état critique aigu, les bénéfices de la poursuite du traitement dans cette situation doivent être mis en balance avec les risques potentiels.
      Chez tous les patients qui développent un état critique aigu autre ou similaire, les bénéfices d’un traitement par Genotonorm doivent être mis en balance avec les risques potentiels.
    13. GROSSESSE
      Il n’y a pas d’expérience clinique du traitement chez la femme enceinte. Les données expérimentales sont incomplètes chez l’animal. Le traitement par Genotonorm devra être interrompu en cas de grossesse.
      Lors d’une grossesse normale les taux de croissance hypophysaire diminuent de façon importante après 20 semaines de gestation, ceux ci étant remplacés presque entièrement par l’hormone de croissance placentaire à environ 30 semaines.
      En conséquence, une substitution par la somatropine ne devrait pas être nécessaire en cas de carence en hormone de croissance chez la femme dans le troisième trimestre de la grossesse.
    14. ALLAITEMENT
      On ne sait si la somatropine passe dans le lait maternel; cependant, l’absorption gastro-intestinale de la protéine chez l’enfant est très improbable.
    15. SPORTIFS

    1. TUMEUR
      Genotonorm ne doit pas être utilisé en cas de tumeur en activité et tout traitement antitumoral devra être terminé avant de commencer le traitement par l’hormone de croissance.
    2. CALCIFICATION DES CARTILAGES DE CONJUGAISON
      Genotonorm ne doit pas être utilisé pour améliorer la croissance de patients dont les épiphyses sont soudées.

    Signes de l’intoxication :

    1. GLYCEMIE(DIMINUTION)
    2. GLYCEMIE(AUGMENTATION)

    Traitement

    Aucun surdosage ni intoxication ne sont connus à ce jour. Le surdosage aigu peut conduire initialement une hypoglycémie, puis secondairement une hyperglycémie.
    Un surdosage peut, à long terme, conduire à des signes et symptômes similaires aux effets
    connus de l’excès d’hormone de croissance chez l’homme.

    Voies d’administration

    – 1 – SOUS-CUTANEE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie usuelle :
    La posologie et le schéma d’administration doivent être adaptés à chaque patient.
    L’injection doit être sous cutanée et le point d’injection devra varier pour éviter l’apparition de lipoatrophies.
    – Retard de croissance lié à un
    déficit somatotrope chez l’enfant :
    En général, la posologie recommandée est de 0.07 à 0.10 UI/kg (0,025 à 0,035 mg/kg) de poids corporel par jour ou de 2.1 à 3 UI/m2 (0,7 à 1 mg/m2) de surface corporelle par jour. Des doses plus élevées peuvent être
    utilisées.
    – Retard de croissance dans le syndrome de Turner :
    La posologie recommandée est de 0.14 UI/kg (0,045 à 0,050 mg/kg) de poids corporel par jour, soit 4,3 UI/m2 (1,4 mg/m2) de surface corporelle par jour.
    – Retard de croissance lié à une
    insuffisance rénale chronique :
    La posologie recommandée est de 4,3 UI/m2 (1,4 mg/m2) de surface corporelle par jour (environ 0,14 UI/kg ou 0,045 à 0,050 mg/kg de poids corporel par jour). Des doses plus élevées peuvent être utilisées si la vitesse de
    croissance est trop faible. Il est possible qu’un ajustement de la posologie soit nécessaire après 6 mois de traitement.
    – Déficit en hormone de croissance chez l’adulte :
    La posologie recommandée pour débuter le traitement est de 0.018 UI/kg (0,006
    mg/kg) par jour. La dose peut être augmentée progressivement en fonction des besoins du patient jusqu’à un maximum de 0.036 UI/kg (0,012 mg/kg) par jour.
    Les effets secondaires, de même que la détermination du taux d’IGF-I sérique, devront guider
    l’adaptation de la posologie. La dose minimale efficace devra être utilisée ; les besoins peuvent diminuer avec l’âge.
    .
    .
    Mode d’emploi
    La cartouche de Genotonorm 16 UI (5,3 mg)/1 ml avec conservatuer doit être utilisée soit avec le dispositif de
    reconstitution Kabidevice, soit avec le dispositif de reconstitution et d’injection GenotonormPen 16.
    GENOTONORM se présente en cartouche à deux compartiments contenant l’un l’hormone de croissance, l’autre le solvant nécessaire à la reconstitution.

    Lorsque l’on visse à fond le dispositif, GENOTONORM est automatiquement reconstitué. Ne pas agiter vigoureusement car ceci peut dénaturer le principe actif. L’aiguille doit être changée à chaque injection.
    .
    .
    Incompatibilités Physicochimiques
    :
    Genotonorm ne doit être reconstitué qu’avec le solvant fourni par le laboratoire.


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