DENSICAL 600 mg comprimés à sucer

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DENSICAL 600 mg comprimés à sucer

Introduction dans BIAM : 9/6/1997
Dernière mise à jour : 6/9/2000

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : COMPRIMES A SUCER

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : LAPHAL

    Produit(s) : DENSICAL

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 22/4/1996
    2. publication JO de l’AMM 25/10/1996
    3. mise sur le marché 3/6/1997

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 340958-6

    1
    flacon(s)
    60
    unité(s)
    PE

    Evénements :

    1. agrément collectivités 18/4/1997
    2. inscription SS 18/4/1997


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 24
    mois

    Régime : aucune liste

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 37.42 F

    Prix public TTC : 52.30 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. SUPPLEMENT MINERAL (CALCIUM) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : A12A-A04.
      * Propriétés pharmacocinétiques :
      En milieu gastrique, le carbonate de calcium libère l’ion calcium en fonction du pH. Le taux d’absorption est de l’ordre de 30% de la dose ingérée.
      Le calcium est éliminé par la salive, la bile et les sécrétions pancréatiques, intestinales et sudorales.
      Le calcium urinaire dépend de la filtration glomérulaire et du taux de réabsorption tubulaire du calcium.

    1. ***
      – Carences calciques en période de croissance chez les enfants, de grossesse, d’allaitement.
      – Traitement d’appoint des ostéoporoses (séniles, post-ménopausiques, sous corticothérapie, d’immobilisation lors de la reprise de la mobilité).
    2. CARENCE EN CALCIUM
    3. OSTEOPOROSE

    1. SECHERESSE DE LA BOUCHE
      Sensation de bouche sèche au moment de la prise du comprimé.
    2. CONSTIPATION
    3. FLATULENCE
    4. ERUCTATION
    5. NAUSEE
    6. CALCEMIE(AUGMENTATION)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      DOSES ELEVEES
    7. CALCIURIE(AUGMENTATION)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      DOSES ELEVEES

    1. INSUFFISANCE RENALE
      En cas d’insuffisance rénale, contrôler régulièrement la calcémie et la calciurie et éviter l’administration de fortes doses.
    2. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
      – L’administration conjointe de calcium et de vitamine D doit être faite sous stricte surveillance de la calcémie et de la calciurie.

      – En cas de traitement associé à base de digitaliques, tétracyclines, vitamine D, fluorure de sodium, certaines précautions sont à prendre.
    3. TRAITEMENT PROLONGE
      En cas de traitement de longue durée : il est nécessaire de contrôler la calciurie et de réduire ou d’interrompre momentanément le traitement si celle-ci dépasse 7,5 mmol/24h (300 mg/jour) chez l’adulte, 0,12 à 0,15 mmol/kg/jour (5 à 6 mg/kg/jour) chez l’enfant.

    1. HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS
    2. HYPERCALCEMIE
    3. HYPERCALCIURIE
    4. LITHIASE CALCIQUE
    5. NEPHROCALCINOSE
      et autres calcifications tissulaires.
    6. IMMOBILISATION PROLONGEE
      S’accompagnant d’hypercalcurie et / ou d’hypercalcémie. Le traitement calcique ne doit être utilisé qu’à la reprise de la mobilisation.
    7. PHENYLCETONURIE
      En raison de la présence d’aspartam.

    Signes de l’intoxication :

    1. POLYURIE
    2. POLYDIPSIE
    3. NAUSEE
    4. VOMISSEMENT
    5. DESHYDRATATION
    6. HYPERTENSION ARTERIELLE
    7. TROUBLE VASOMOTEUR
    8. CONSTIPATION

    Traitement

    – Symptômes : polyurie, polydipsie, nausées, vomissements, déshydratation, hypertension artérielle, troubles vasomoteurs, constipation. Chez le nourrisson et l’enfant, l’arrêt de la croissance staturopondérale peut précéder tous les signes.
    – Traitement
    : arrêt de tout apport calcique et vitaminique D, réhydratation et en fonction de la gravité de l’intoxication, utilisation isolée ou en association, de diurétiques, corticoïdes, calcitonine, dialyse péritonéale.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie usuelle :
    Le traitement sera initié avec une gélule à quatre vingt dix mg matin et soir.
    S’il y a lieu, la posologie peut être augmentée à une gélule à cent vingt mg matin et soir.
    Dans certains cas exceptionnels, la posologie peut être portée
    à deux gélules à quatre vingt dix milligrammes matin et soir.
    Le diltiazem peut être utilisé sans danger chez les patients souffrant de troubles respiratoires chroniques.
    .
    .
    Posologies particulières :
    – Chez les sujets âgés, à fortiori présentant une
    bradycardie et/ou polymédiqués, chez les insuffisants rénaux et les insuffisants hépatiques, la posologie quotidienne n’excédera pas une gélule à quatre vingt dix milligrammes matin et soir sauf dans des cas très particuliers où elle pourra être
    augmentée.
    .
    .
    Mode d’emploi :
    La gélule doit être avalée avec un peu d’eau, sans être croquée.


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