CEFAPYRINE 500 mg poudre pour solution buvable

Donnez-nous votre avis

CEFAPYRINE 500 mg poudre pour solution buvable

Introduction dans BIAM : 4/7/1997
Dernière mise à jour : 5/3/1999

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : POUDRE POUR SOLUTION BUVABLE

    Usage : adulte

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : HOMME DE FER

    Produit(s) : CEFAPYRINE

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 28/6/1976
    2. publication JO de l’AMM 22/1/1977
    3. validation de l’AMM 26/12/1995
    4. mise sur le marché 30/6/1997

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 320160-9

    20
    sachet(s)
    papier/alu/PE

    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : commercialisé

    Matériel de dosage : unidose

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Régime : aucune liste

    Réglementation des prix :
    non remboursé

    Prix Pharmacien HT : 15 F

    Prix public TTC : 24.90 F

    TVA : 5.50 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANALGESIQUE-ANTIPYRETIQUE (SALICYLE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : N02B-A13.
      * Propriétés pharmacocinétiques :
      L’acide acétylsalicylique est hydrolysé dans le plasma en métabolite acytif, l’acide salicylique. Celle-ci est en grande partie lié aux protéines du plasma. Sa concentration sanguine maximum est atteinte en 2 ou 4 heures. L’élimination urinaire augmente le pH urinaire. La demi-vie de l’acide salicylique est de 3 à 9 heures et augmente avec la dose administrée.

    1. ***
      – Traitement symptomatique des douleurs d’intensité légère à modérée et/ou d’états fébriles.
      – Affections rhumatismales.
    2. DOULEUR
    3. FIEVRE
    4. AFFECTION RHUMATISMALE

    1. BOURDONNEMENT D’OREILLE
      Ces signes sont habituellement la marque de surdosage.
    2. ACUITE AUDITIVE(DIMINUTION)
      Ces signes sont habituellement la marque de surdosage.
    3. CEPHALEE
      Ces signes sont habituellement la marque de surdosage.
    4. ULCERATION GASTRIQUE
    5. HEMORRAGIE DIGESTIVE
      patente ou occulte. Elle est d’autant plus fréquente que la posologie est élevée.
    6. ANEMIE FERRIPRIVE
    7. SYNDROME HEMORRAGIQUE
      A type d’épistaxis, de gingivorragies ou de purpura, avec augmentation du temps de saignement. Cette action persiste de 4 à 8 jours aoprès l’arrêt de l’aspirine. Elle peut créer un risque hémorragique en cas d’intervention chirurgicale.
    8. OEDEME ANGIONEUROTIQUE
    9. URTICAIRE
    10. ASTHME
    11. REACTION ANAPHYLACTIQUE
    12. DOULEUR ABDOMINALE

    1. MISE EN GARDE
      Des syndromes de Reye ayant été observés chez des enfants atteints de virose (en particulier varicelle et épisodes d’allure grippale) et recevant de l’aspirine, il est prudent d’éviter l’administration d’aspirine dans ces situations.
    2. ASSOCIATION THERAPEUTIQUE
      Ce médicament est généralement déconseillé en association avec :

      – les autres AINS,

      – les anticoagulants oraux lorsque les salicylés sont utilisés à faibles doses dans le traitement des douleurs et fièvre,

      – les héparines par voie parentérale,

      – la ticlopidine,

      – les uricosuriques.
    3. ENFANT
      Les sachets à 500 mg ne sont pas adpatés à l’enfant pour lequel il existe des dosages plus adaptés
    4. GOUTTE
      L’aspirine est déconseillée en cas de goutte.
    5. ULCERE GASTRODUODENAL(ANTECEDENT)
      Dans ce cas, l’aspirine doit être utilisé avec précaution.
    6. HEMORRAGIE DIGESTIVE(ANTECEDENT)
      Dans ce cas, l’aspirine doit être utilisé avec précaution.
    7. INSUFFISANCE RENALE
      Dans ce cas, l’aspirine doit être utilisé avec précaution.
    8. ASTHME
      La survenue de crise d’asthme, chez certains sujets, peut être liée à une allergie aux AINS ou à l’aspirine. Dans ce cas, ce médicament est contre-indiqué.
    9. MENORRAGIE
      Dans ce cas, l’aspirine doit être utilisé avec précaution. Risque d’augmentation de l’importance et de la durée de règles.
    10. PORT DU STERILET
      Dans ce cas, l’aspirine doit être utilisé avec précaution. Risque controversé de diminution de son efficacité.
    11. INTERVENTION CHIRURGICALE
      Compte-tenu de l’effet anti-agrégant plaquettaire de l’aspirine, apparaisant dès les très faibles doses et persistant plusieurs jours, il convient de prévenir le patient des risques hémorragiques pouvant survenir en cas de geste chirurgical même mineur (ex : extraction dentaire).
    12. UTILISATION PARTICULIERE
      Aux fortes doses recommandées en rhumatologie, il est nécessaire de surveillr l’apparition de bourdonnements d’oreilles, de baisse de l’acuité auditive et de vertiges. Si ces troubles apparaissent, il est impératif de diminuer les doses.

    1. HYPERSENSIBILITE AUX SALICYLES
    2. HYPERSENSIBILITE AUX AINS
    3. ULCERE GASTRODUODENAL EVOLUTIF
    4. MALADIE HEMORRAGIQUE
      constitutionnelles ou acquises.
    5. RISQUE HEMORRAGIQUE
    6. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
      – Association avec le méthotrexate à des doses supérieures ou égales à 15 milligrames par semaine.
      – Association avec les anticoagulants oraux lorsque les salicylés sont utilisés à fortes doses dans le traitement des affections rhumatismales.
    7. GROSSESSE
      – Chez l’animal : un effet tératogène a été observé.
      – Chez la femme : sur la base de plusieurs enquêtes (et en particulier d’une enquête prospective portant sur un nombre important de femmes) aucun effet tératogène de l’aspirine prise au cours du premier trimestre, en traitement ponctuel n’a été mis en évidence. Les données sont moins nombreuses pour les traitements chroniques.
      Au cours du troisième trimestre, l’aspirine comme tous les inhibiteurs de synthèse des prostaglandines, peut exposer le foetus à une toxicité rénale et cardiopulmonaire (hypertension pulmonaire avec fermeture prématurée du canal artériel) et peut exposer, et en fin de grossesse, la mère et l’enfant à un allongement du temps de saignement.
      En conséquence, un traitement bref, à base d’aspirine au cours des deux premiers trimestres ne paraît pas poser de problème.
      En revanche, pendant le troisième trimestre, toute prise à base d’aspirine est absolument contre-indiquée.
    8. ALLAITEMENT
      Contre-indiqué en cas de prises répétées, en raison du risque toxique (acidose, syndrome hémorragique) que des concentrations élevées en salicylés dans le lait font courir au nouveau-né.

    Signes de l’intoxication :

    1. BOURDONNEMENT D’OREILLE
    2. ACUITE AUDITIVE(DIMINUTION)
    3. CEPHALEE
    4. VERTIGE
    5. NAUSEE
    6. FIEVRE
    7. HYPERVENTILATION
    8. ACIDOCETOSE
    9. ALCALOSE GAZEUSE
    10. ACIDOSE METABOLIQUE
    11. COMA
    12. COLLAPSUS CARDIOVASCULAIRE
    13. INSUFFISANCE RESPIRATOIRE
    14. GLYCEMIE(DIMINUTION)

    Traitement

    L’intoxication est à craindre chez les sujets âgés, et surtout chez les jeunes enfants (surdosage thérapeutique ou intoxications accidentelles fréquentes) où elle est peut être mortelle.
    – Symptômes cliniques :
    – Intoxication modérée : bourdonnements
    d’oreille, sensation de baisse de l’acuité auditive, céphalées, vertiges, nausées, sont la marque d’un surdosage et peuvent être controlés par la réduction de la posologie.
    – Intoxication sévère: fièvre, hyperventilation, cétose, alcalose respiratoire,
    acidose métabolique, coma, collapsus cardiovasculaire, insuffisance respiratoire, hypoglycémie importante.
    – Traitement :
    . Transfert immédiat en milieu hospitalier spécialisé
    . Evacuation rapide du produit ingére par lavage gastrique
    . Contrôle de
    l’équilibre acidobasique
    . Diurèse alcaline forcée, possibilité d’hémodialyse ou de dialyse péritonéale si nécessaire
    . Traitement symptomatique

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie usuelle :
    Réservé à l’adulte :
    * Douleurs d’intensité légère à modérée et/ou états fébriles :
    – La posologie quotidienne maximum est de trois grammes. A titre indicatif : un sachet à cinq cents milligrammes, à renouveler si nécessaire au bout
    de quatre heures, sans dépasser la dose de six sachets par jour.
    * Affections rhumatismales :
    – La posologie quotidienne est de quatre à six grammes à répartir dans la journée en trois ou quatre prises. A titre indicatif : deux sachets à cinq cents
    milligrammes, à renouveler si nécessaire au bout de six heures.
    .
    Posologie particulière :
    – Sujet âgé : la posologie quotidienne maximum est de deux grammes. A titre indicatif : un sachet à cinq cents milligrammes, à renouveler si nécessaire au bout de
    quatre heures, sans dépasser la dose de quatre sachets par jour.
    .
    Mode d’emploi :
    – Boire immédiatement après dissolution complète du contenu du sachet dans un verre d’eau sucrée ou non, de lait ou de jus de fruit.
    – Les prises systématiques permettent
    d’éviter les oscillations de fièvre ou de douleur. Elles doivent être espacées d’au moins 4 heures.


    Retour à la page d’accueil

Similar Posts