TYLENOL 500 mg gélules (arrêt de commercialisation)

Donnez-nous votre avis

TYLENOL 500 mg gélules (arrêt de commercialisation)

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 4/1/2000

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Examens Perturbés
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : GELULES

    Etat : arrêt de commercialisation

    Laboratoire : POLIVE SNC

    Produit(s) : TYLENOL

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 16/11/1981
    2. publication JO de l’AMM 14/1/1982
    3. mise sur le marché 2/6/1983
    4. arrêt de commercialisation 1/3/1994

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 325065-4

    1
    plaquette(s) thermoformée(s)
    16
    unité(s)

    Evénements :

    1. arrêt de commercialisation 1/3/1994


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Régime : aucune liste

    Prix Pharmacien HT : 10.31 F

    Prix public TTC : 17.10 F

    TVA : 5.50 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANALGESIQUE-ANTIPYRETIQUE (ANILIDE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : N02B-E01.
      Tylenol possède des activités antalgiques et antipyrétiques ainsi que les propriétés suivantes :
      – respect de la muqueuse gastrique permettant une utilisation chez les personnes présentant des problèmes digestifs (oesophagites, affections gastro-duodénales, etc…) .
      – absence de répercution sur l’hémostase et possibilité d’utilisation aux doses thérapeutiques, avec les anti-vitamines k, sans majoration significative des effets anticoagulants.


    1. Traitement symptomatique d’affections douloureuses et/ou d’affections fébriles.

    1. ERUPTION CUTANEE (RARE)
      a type d’urticaire benin toute reaction allergique commande l’arret du traitement.
    2. THROMBOPENIE (EXCEPTIONNEL)

    1. INSUFFISANCE RENALE
      Surveiller par principe la fonction rénale, bien qu’aucune néphrotoxicité due au paracétamol n’ait été montrée chez l’homme dans les conditions normales d’emploi.
    2. TRAITEMENT PROLONGE
      Surveiller par principe la fonction rénale, bien qu’aucune néphrotoxicité due au paracétamol n’ait été montrée chez l’homme dans les conditions normales d’emploi.
    3. JEUNE ENFANT
      En raison de la teneur en principe actif, ne pas administrer au jeune enfant.
    4. GROSSESSE
      – Chez l’animal, il n’existe pas d’étude de tératogénèse.

      – Chez la femme :

      – Premier trimestre : une étude épidémiologique prospective, portant sur quelques centaines de femmes n’a pas mis en évidence d’effet tératogène.

      – Aprés le premier trimestre cet analgésique non anti-inflammatoire ne parait pas faire courir de risque foetal lors de la prise au cours des 2ème et 3ème trimestre.
    5. ALLAITEMENT
      A dose thérapeutique, l’administration de ce médicament est possible pendant l’allaitement.

    1. INSUFFISANCE HEPATOCELLULAIRE
    2. HYPERSENSIBILITE AU PARACETAMOL

    1. INTERACTION AVEC LES EXAMENS PARACLINIQUES
      La prise du paracétamol peut fausser le dosage de l’acide urique sanguin par la méthode à l’acide phosphotungstique et le dosage de la glycémie par la méthode à la glucose oxydase-péroxydase.

    Traitement

    Symptômes :
    – nausées, vomissements, anorexie, pâleur, douleurs abdominales apparaissant généralement dans les 24 premières heures. Un surdosage à partir de dix g de paracétamol (150 mg/kg de poids corporel chez l’enfant) peut provoquer une cytolyse
    hépatique susceptible d’aboutir à une nécrose complète et irréversible, se traduisant par une insuffisance hépatocellulaire, une acidose métabolique, une encéphalopathie pouvant aller jusqu’au coma et mort.
    – Simultanément, on observe une augmentation
    des transaminases hépatiques, de la lactico déshydrogénase, de la bilirubine et une diminution du taux de prothrombine pouvant apparaître 12 à 48 heures après l’ingestion.
    Conduite d’urgence :
    -Transfert immédiat en milieu hospitalier,
    – Evacuation
    rapide du produit ingéré par lavage gastrique.
    – Le traitement du surdosage comprend l’administration aussi précoce que possible de l’antidote N-acétylcystéine par voie I.V. ou par voie orale.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    Adultes :
    Une à deux gélules, une à trois fois par jour. Ne pas dépasser six gélules par vingt quatre heures.
    .
    .
    Posologie Particulière :
    Insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine inférieure à dix millilitres par
    minute) , l’intervalle entre deux prises sera au miminium de huit heures.
    .
    .
    Mode d’Emploi :
    Les prises doivent être espacées d’au moins quatre heures et avalées avec une quantité suffisante de liquide.


    Retour à la page d’accueil

Similar Posts