QUITADRILL 5 mg comprimés sécables

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QUITADRILL 5 mg comprimés sécables

Introduction dans BIAM : 12/3/1998
Dernière mise à jour : 12/3/1998

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : COMPRIMES SECABLES

    Usage : adulte, enfant + de 6 ans

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : PIERRE FABRE SANTE

    Produit(s) : QUITADRILL

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 6/7/1993
    2. publication JO de l’AMM 24/10/1993
    3. mise sur le marché 26/10/1993

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 344765-8

    1
    plaquette(s) thermoformée(s)
    14
    unité(s)
    PVC/alu
    blanc

    Evénements :

    1. mise sur le marché 10/1/1998


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 24
    mois

    A L’ABRI DE LA LUMIERE

    Régime : aucune liste

    Réglementation des prix :
    non remboursé

    Prix Pharmacien HT : 18.68 F

    Prix public TTC : 31 F

    TVA : 5.50 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIHISTAMINIQUE VOIE GENERALE (PHENOTHIAZINE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : R06A-D07.
      L’activité antiallergique de la méquitazine s’explique par :
      – une activité antihistaminique par action sélective sur les récepteurs H 1 périphériques,
      – une inhibition de la libération des médiateurs de l’allergie au niveau des mastocytes.
      La méquitazine présente deux avantages spécifiques :
      – une longue durée d’action,
      – l’absence d’effet sur la vigilance mise en évidence par les épreuves pharmacologiques chez l’animal.
      Chez l’homme, plusieurs études spécifiques de pharmacologie clinique basée sur des tests objectifs de psychomotricité et des échelles de vigilance ont confirmé le respect des performances psychomotrices des sujets de même que l’absence de potentialisation des effets de l’alcool sur la sédation et les aptitudes psychomotrices.
      Les études cliniques n’ont révélé aucune altération significative de la vigilance sous méquitazine par rapport au placebo. Cette caractéristique originale s’expliquerait par l’absence de fixation de la méquitazine (démontrée par radio-isotopie) sur les récepteurs H 1 du cerveau, lesquels contribuent au contrôle de la vigilance.
      La méquitazine possède de légères propriétés anticholinergiques.
      * Propriétés pharmacocinétiques :
      L’absorption de la méquitazine est rapide.
      La demi-vie apparente d’élimination, après prise répétée, est d’environ 18 heures. Le volume apparent de distribution a une valeur élevée traduisant une très forte diffusion de la méquitazine vers les milieux extravasculaires. La biotransformation constitue la voie d’élimination essentielle du produit. L’excrétion de la méquitazine et de ses métabolites se fait principalement par voie biliaire. L’excrétion urinaire de la méquitazine inchangée est très faible.
      Des études autoradiographiques quantitatives in vivo chez la souris et le cobaye ont montré l’absence de fixation de la méquitazine au niveau cérébral.

    1. ***
      – Traitement symptomatique de manifestations allergiques diverses :
      rhinite spasmodique, rhinite allergique (périodique ou apériodique), conjonctivite, oedème de Quincke, urticaire.
      – Traitement adjuvant symptomatique des affections dermatologiques prurigineuses (eczéma, prurigos…).
    2. RHINITE
    3. CONJONCTIVITE
    4. OEDEME ANGIONEUROTIQUE
    5. URTICAIRE
    6. ECZEMA
    7. PRURIGO NODULAIRE

    1. EFFET ATROPINIQUE
      L’augmentation de la posologie ne modifie pas l’efficacité du médicament et peut entraîner des effets de type atropinique. Ces troubles sont généralement discrets et transitoires.
    2. SECHERESSE DE LA BOUCHE
    3. TROUBLE DE L’ACCOMMODATION
    4. CONFUSION MENTALE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      SUJET AGE
    5. EXCITATION PSYCHOMOTRICE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      SUJET AGE

    1. GROSSESSE
      – Expérimentation animale : aucun effet tératogène n’a été mis en évidence.

      – Espèce humaine : les données chez l’animal ne permettent pas d’anticiper un effet malformatif dans l’espèce humaine.

      En l’absence de données cliniques précises, il est prudent d’éviter une prescription prolongée en fin de grossesse.
    2. ALLAITEMENT
      En l’absence de données pharmacocinétiques précises, l’utilisation n’est pas recommandée pendant l’allaitement.

    1. ASSOCIATION AUX IMAO
    2. GLAUCOME A ANGLE FERME
    3. ADENOME PROSTATIQUE

    Signes de l’intoxication :

    1. SOMNOLENCE
    2. NAUSEE
    3. VOMISSEMENT

    Traitement

    Dans les cas de surdosage massif accidentel, les symptômes observés ont été les suivants : somnolence, nausées, vomissements, légers troubles anticholinergiques.
    Traitement : symptomatique, éventuellement respiration assistée ou artificielle,
    anticonvulsivants.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie usuelle :
    – Chez l’adulte : un comprimé matin et soir ou deux comprimés en prise unique le soir.
    – Chez l’enfant à partir de six ans : un demi comprimé par dix kg de poids et par jour.


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