RHINATHIOL 15 mg/2 ml ADULTES TOUX SECHE SANS SUCRE gel oral

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RHINATHIOL 15 mg/2 ml ADULTES TOUX SECHE SANS SUCRE gel oral

Introduction dans BIAM : 4/11/1998
Dernière mise à jour : 8/12/1999

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : GEL ORAL

    Usage : adulte, enfant + de 15 ans

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : SYNTHELABO FRANCE

    Produit(s) : RHINATHIOL

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 22/10/1996
    2. publication JO de l’AMM 26/2/1997
    3. mise sur le marché 8/10/1998

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 343647-1

    1
    flacon(s)
    26
    dose(s)
    polypropylène

    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 24
    mois

    CONSERVER A TEMPERATURE < 30 DEGRES Régime : aucune liste

    Réglementation des prix :
    grand public

    Prix Pharmacien HT : 24 F

    Prix public TTC : 39.80 F

    TVA : 5.50 %

    Composition

    Expression de la composition : par unité de prise, soit pour :

    Volume : 2
    ml

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTITUSSIF (OPIACE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : R05D-A09.
      Le dextrométorphane est un dérivé morphinique d’action centrale.
      Aux doses thérapeutiques, il n’entraîne ni dépression des centres respiratoires, ni accoutumance, ni toxicomanie.
      * Propriétés pharmacocinétiques :
      Le dextrométorphane est bien absorbé au niveau du tube digestif. Il est partiellement métabolisé au niveau du foie, et excrété sous forme inchangée ou sous forme de métabolite déméthylé.

    1. ***
      En automédication, traitement de courte durée des toux sèches et des toux d’irritation
    2. TOUX SECHE

    1. VERTIGE
    2. SOMNOLENCE
    3. NAUSEE
    4. VOMISSEMENT
    5. CONSTIPATION
    6. REACTION ALLERGIQUE
      A type d’éruption prurigineuse, urticaire, oedème de Quincke.
    7. BRONCHOSPASME (EXCEPTIONNEL)

    1. MISE EN GARDE
      – Les toux productives qui sont un élément fondamental de la défense broncho-pulmonaire sont à respecter.

      – Il est illogique d’associer un expectorant ou mucolytique à un antitussif.

      – Avant de prescrire un traitement antitussif, il convient de s’assure que les causes de la toux qui recquièrent un traitement spécifique ont été recherchées.

      – Si la toux résiste à un antitussif administré à une posologie usuelle, on ne doit pas procéder à une augmentation des doses, mais à un réexamen de la situation clinique.

      – En cas de persistance des symptômes au-delà de 5 jours et/ou des fièvre, la conduite à tenir devra être révaluée par un médecin.
    2. SUJET AGE
      La posologie initiale sera diminuée de moitié par rapport à la posologie conseillée et pourra éventuellement être augmentée en fonction de la tolérance et des besoins.
    3. INSUFFISANCE HEPATIQUE
      La posologie initiale sera diminuée de moitié par rapport à la posologie conseillée et pourra éventuellement être augmentée en fonction de la tolérance et des besoins.
    4. BOISSONS ALCOOLISEES
      La prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l’alcool pendant le traitement est déconseillée.
    5. GROSSESSE
      Il n’y a pas de données fiables de tératogenèse chez l’animal.

      En clinique, les résultats des études épidémiologiques menées sur des effectifs restreints de femmes semblent exclure un effet malformatif particulier du dextrométorphane.

      En fin de grossesse, des posologies élevées, même en traitement bref, sont susceptibles d’entraîner une dépression respiratoire chez le nouveau-né.

      Au cours des trois derniers mois de la grossesse, la prise chronique de dextrométorphane par la mère, et cela quelque soit la dose, peut être à l’origine d’un syndrome de sevrage chez le nouveau-né.

      En conséquence, l’utilisation ponctuelle du dextrométorphane ne doit être envisagée au cours de la grossesse que si nécessaire.
    6. CONDUCTEURS DE VEHICULES
      L’attention est appelée notamment chez les conducteurs de véhicules et les utilisateurs de machines, sur les risques de somnolence et de vertiges attachés à l’emploi de ce médicament.

    1. ENFANT DE MOINS DE 15 ANS
    2. INSUFFISANCE RESPIRATOIRE
    3. TOUX DE L’ASTHMATIQUE
    4. HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS
    5. ASSOCIATION AUX IMAO
    6. ALLAITEMENT
      Le dextrométorphane passe dans le lait maternel ; quelques cas d’hypotonie et de pauses respiratoires ont été décrits chez des nourrissons, après ingestion par les mères et d’autres antitussifs centraux à doses supra-thérapeutiques.
      En conséquence, la prise de ce médicament est contre-indiquée pendant l’allaitement.

    Signes de l’intoxication :

    1. NAUSEE
    2. VOMISSEMENT
    3. VERTIGE
    4. EXCITATION PSYCHOMOTRICE
    5. EXCITATION PSYCHOMOTRICE
    6. CONFUSION MENTALE
    7. SOMNOLENCE
    8. COMA
    9. DEPRESSION RESPIRATOIRE
    10. CRISE CONVULSIVE

    Traitement

    – Signes :
    nausées, vomissements, vertiges, nervosité, agitation, confusion, somnolence.
    En cas de surdosage massif : coma, dépression respiratoire, convulsions.
    – Traitement symptomatique :
    En cas de dépression respiratoire : naloxone, assistance
    respiratoire,
    En cas de convulsions : benzodiazépines.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie usuelle :
    – Réservé à l’adulte.
    – Une pression de deux ml contient quinze mg de bromhydrate de dextrométorphane.
    – La durée du traitement doit être courte (limitée à cinq jours).
    – Chez l’adulte la posologie usuelle est de une à deux
    pressions, trois fois par jour (soit quarante cinq à quatre vingt dix mg par jour).
    – Dans tous les cas, les prises seront espacées d’au moins quatre heures.
    – Ne pas dépasser cent vingt milligrammes par vingt quatre heures (quatre prises ou huit
    pressions).
    .
    Posologies particulières :
    – Chez le sujet âgé ou en cas d’insuffisance hépatique :
    La posologie initiale sera diminué de moitié par rapport à la posologie conseillée, et pourra éventuellement être augmentée en fonction de la tolérance et
    des besoins.


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