DURASULINE 400 UI/10ml suspension injectable (arrêt de commercialisation)

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DURASULINE 400 UI/10ml suspension injectable (arrêt de commercialisation)

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 23/10/2000

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : SUSPENSION INJECTABLE

    Etat : arrêt de commercialisation

    Laboratoire : ORGANON S.A.

    Produit(s)

    Evénements :

    1. mise sur le marché 1/1/1977
    2. octroi d’AMM 1/1/1977
    3. arrêt de commercialisation 1/6/1990
    4. retrait d’AMM 24/9/1996

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 303423-5

    1
    flacon(s)
    10
    ml

    Evénements :

    1. arrêt de commercialisation 1/6/1990


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    A L’ABRI DU GEL
    CONSERVER AU REFRIGERATEUR

    Régime : aucune liste

    Composition

    Expression de la composition : par unité de prise, soit pour :

    Volume : 10
    ml

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. INSULINE D’ACTION PROLONGEE (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : A10A-E02.


    1. – Diabète gestationnel,
      – Complications dégénératives du diabète.

    1. ERYTHEME AU POINT D’INJECTION
    2. DOULEUR AU POINT D’INJECTION
    3. URTICAIRE
      Réaction allergique locale.
    4. REACTION ALLERGIQUE GENERALE
      Pouvant entraîner un collapsus. Les malades devront subir une désensibilisation rapide.
    5. COLLAPSUS CARDIOVASCULAIRE

    1. SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
      Surveillance pluri-quotidienne de la glycémie, et accessoirement de l’acétonurie et adaptation des doses en conséquence.

      En cas de déséquilibre avec glycosurie abondante, acétonurie et signes cliniques d’hyperglycémie, il peut être nécessaire de pratiquer des injections supplémentaires d’insuline d’action rapide et courte (Endopancrine 40).
    2. APPORTS GLUCIDIQUES
      Répartir correctement les doses qui doivent être adaptées aux apports glucidiques.
    3. BOISSONS ALCOOLISEES
      A éviter en particulier à jeun.

    1. ACIDOCETOSE
      Les insulines Retard sont contre-indiquées en tant que traitement isolé en cas d’acidocétose ; il faut alors maitriser la situation avec de l’insuline d’action rapide et courte qui peut être administrée par voie intraveineuse
    2. ALLERGIE A L’INSULINE
      Contre-indication relative.
    3. OBESITE
      Diabète avec surpoids ou obésite franche. Contre-indication relative.
    4. ALLERGIE A LA PROTAMINE

    Traitement

    Le bon équilibre du diabétique est le résultat de plusieurs facteurs intriqués:
    – Insulino-thérapie bien adaptée
    – Mais aussi un régime approprié et adapté aux efforts musculaires éventuels (l’adaptation est également nécessaire en cas d’affections
    intercurrentes).
    L’hypoglycémie peut donc être due à une dose mal adaptée d’insuline mais aussi à une erreur alimentaire (prise insuffisante d’hydrates de carbone) ou un effort physique non prévu et non compensé.
    L’hypoglycémie se manifeste par les
    signes suivants :
    Sensation de faim, sueurs abondantes, tremblements, troubles visuels, confusion, irritabilité, asthénie, angoisse, cephalées. Si le malade n’absorbe pas rapidement du sucre ou une boisson très sucrée, l’hypoglycémie grave peut
    entraîner la survenue d’un coma hypoglycémique (il faut alors pratiquer une injection IM ou SC de glucagon et alimenter le malade dès son réveil ou injecter en IV du sérum glucosé hypertonique).
    Il n’y a aucun risque en cas de doute sur le diagnostic
    d’hypoglycémie à pratiquer le traitement décrit ci-dessus.

    Voies d’administration

    – 1 – SOUS-CUTANEE

    – 2 – INTRAMUSCULAIRE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    – Traitement du diabète en une seule injection quotidienne le matin avant le petit déjeuner.
    .
    Mode d’emploi :
    – Utilisation à température ambiante : sortir du réfrigérateur une heure au moins avant l’emploi.
    – Agiter le flacon avant
    prélèvement.
    – Le flacon en cours d’utilisation peut être maintenu à température ambiante.
    – Les injections doivent être pratiquées dans des conditions d’asepsie rigoureuse en S.C.profonde ou I.M.; l’action est alors un peu plus rapide et moins
    prolongée.
    – Répartition de l’alimentation au départ: trois repas identiques et deux collations intermédiaires. Au delà de soixante dix à cent unités, il est préférable de fractionner la dose en deux injections de NPH (matin et soir) ou en trois
    injections, endopancrine 40 (matin et midi), NPH (soir).


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