PIPRAM 200 mg gélules (arrêt de commercialisation)

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PIPRAM 200 mg gélules (arrêt de commercialisation)

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 11/1/2001

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Autres dénominations :
    code expérimentation – 1489 RB


    Forme : GELULES

    Etat : arrêt de commercialisation

    Laboratoire : BELLON

    Produit(s) : PIPRAM

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 9/12/1974
    2. mise sur le marché 15/7/1975
    3. publication JO de l’AMM 21/4/1976
    4. arrêt de commercialisation 1/2/1997

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 318247-3

    1
    boîte(s)
    20
    unité(s)
    vert/blanc

    Evénements :

    1. agrément collectivités 15/6/1975
    2. inscription SS 15/6/1975


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    Conservation (dans son conditionnement) : 24
    mois

    Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIBACTERIEN VOIE GENERALE (AUTRE QUINOLONE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : J01M-B04.
      L’acide pipémidique est un agent antibactérien de synthèse de la famille des quinolones.
      Le spectre antibactérien naturel est le suivant :
      * Espèces habituellement sensibles :
      – Escherichia coli,
      – Proteus mirabilis et indologènes,
      – Klebsiella,
      – Enterobacter,
      – Citrobacter sp.
      * Espèces résistantes (CMI > ou = 16 mcg/ml):
      – Acinetobacter,
      – Germes anaérobies,
      – Bacteries gram positif,
      – Pseudomonas aeruginosa.
      * Espèces inconstamment sensibles :
      – Serratia.
      – Providencia sp.
      Lorsque pour une espèce donnée, la notion d’une sensibilité constante des souches n’a pas été établie, seule une étude in vitro de la souche permet de confirmer si elle est sensible, résistante ou intermédiaire.

    1. ***
      Elles procèdent de l’activité antibactérienne et des caractéristiques pharmacocinétiques de l’acide pipémidique. Elles tiennent compte à la fois des études cliniques auxquelles a donné lieu ce médicament et de sa place dans l’éventail des produits antibactériens actuellement disponibles.
      Elles sont limitées aux infections urinaires basses non compliquées aiguës ou récidivantes de l’adulte, dues aux germes définis ci-dessus comme sensibles.
    2. INFECTION URINAIRE

    1. TROUBLE DIGESTIF (RARE)
      NE NECESSITENT PAS L’ARRET DU TRAITEMENT.
    2. NAUSEE (RARE)
      NE NECESSITENT PAS L’ARRET DU TRAITEMENT.
    3. DOULEUR EPIGASTRIQUE (RARE)
      NE NECESSITENT PAS L’ARRET DU TRAITEMENT.
    4. VOMISSEMENT (RARE)
      NE NECESSITENT PAS L’ARRET DU TRAITEMENT.
    5. DIARRHEE (RARE)
      NE NECESSITENT PAS L’ARRET DU TRAITEMENT.
    6. REACTION ALLERGIQUE CUTANEE (RARE)
      MANIFESTATION RARE QUI DISPARAIT A L’ARRET DU TRAITEMENT.
    7. PHOTOSENSIBILISATION (RARE)
      MANIFESTATION RARE QUI DISPARAIT A L’ARRET DU TRAITEMENT.
    8. VERTIGE (RARE)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      SUJETS AGES

      DISPARAISSENT A L’ARRET DU TRAITEMENT.

    9. TROUBLE DE L’EQUILIBRE (RARE)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      SUJETS AGES

      DISPARAISSENT A L’ARRET DU TRAITEMENT.

    1. MISE EN GARDE
      – Photosensibilisation :

      Eviter l’exposition au soleil et aux rayonnements ultra-violets pendant le traitement en raison du risque de photosensibilisation.
    2. ALLAITEMENT
      En cas d’allaitement maternel, l’acide pipémidique doit être employé avec prudence. L’acide pipémidique passe à des concentrations de l’ordre du microgramme par ml, dans le lait maternel.
    3. REMARQUE
      L’acide pipémidique peut être utilisé à posologie normale en cas d’insuffisance rénale sévère, chez l’insuffisant hépatique ainsi que chez le malade sous anticoagulant.
    4. CONDUCTEURS DE VEHICULES
      L’attention est attirée, notamment chez les conducteurs de véhicules et les utilisateurs de machines, sur les risques de vertiges et de troubles de l’équilibre attachés à l’emploi de ce médicament.

    1. HYPERSENSIBILITE
      Aux médicaments de la famille des quinolones.
    2. ENFANT DE MOINS DE 15 ANS
    3. DEFICIT EN G6PD
    4. GROSSESSE
      Chez l’animal l’expérimentation n’a pas mis en évidence un effet tératogène. Dans l’espèce humaine le risque n’est pas connu par conséquent par mesure de prudence ne pas prescrire pendant la grossesse, bien qu’à ce jour aucun effet tératogène n’ait été signalé.

    Traitement

    A ce jour, aucun incident clinique en rapport avec un surdosage n’a été rapporté. L’acide pipémidique appartenant à la classe des quinolones, on peut préconiser, en cas d’apparition de signes cliniques lié à l’absoption d’une dose massive d’acide
    pipémidique, les mesures habituelles : lavage gastrique si l’ingestion du produit est récente, diurèse forcée si le produit est déjà absorbé, et si besoin, réanimation.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    La posolofie moyenne d’acide pipémidique est de huit cents mg par jour, soit deux gélules de Pipram matin et soir.
    .
    .
    Mode d’Emploi :
    L’acide pipémidique peut être employé à posologie normale en cas d’insuffisance rénale sévère, chez
    l’insuffisant hépatique ainsi que chez le malade sous anticoagulant.


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