ENDOPANCRINE 10 UI/1ml solution injectable (arrêt de commercialisation)

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ENDOPANCRINE 10 UI/1ml solution injectable (arrêt de commercialisation)

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 19/10/1998

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : SOLUTION INJECTABLE

    action rapide

    Etat : arrêt de commercialisation

    Laboratoire : ORGANON S.A.

    Produit(s)

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 26/10/1977
    2. mise sur le marché 10/5/1978
    3. publication JO de l’AMM 7/11/1980
    4. arrêt de commercialisation 1/3/1997

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 303573-7

    12
    ampoule(s)
    1
    ml
    verre

    Evénements :

    1. agrément collectivités 21/12/1961
    2. inscription SS 21/12/1961


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    A L’ABRI DU GEL
    CONSERVER AU REFRIGERATEUR
    CONSERVER ENTRE +2 ET +8 DEGRES C

    Régime : aucune liste

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Composition

    Expression de la composition : par unité de prise, soit pour :

    Volume : 1
    ml

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. INSULINE D’ACTION RAPIDE (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : A10A-B03.


    1. Cette présentation est mieux adaptée à l’anesthésie réanimation et à la pédiatrie chez les nourrissons.
      – Traitement courant du diabète en trois ou quatre injections par jour.
      – L’injection du soir peut être remplacée en cas de besoin par une injection de NPH.
      – Mélange avec toutes les insulines Retard pour augmenter l’intensité de leur action initiale.
      – Acidocétose diabétique (coma diabétique) : voies IV directe et SC combinées.
      – Cétonurie(chez un sujet déjà traité par une injection matinale d’insuline Retard)
      – Cure de Sakel.

    1. ERYTHEME AU POINT D’INJECTION
    2. DOULEUR AU POINT D’INJECTION
    3. URTICAIRE
      Réaction allergique locale.
    4. REACTION ALLERGIQUE GENERALE
      Pouvant entraîner un collapsus. Les malades devront subir une désensibilisation rapide.
    5. COLLAPSUS CARDIOVASCULAIRE

    1. SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
      Surveillance pluri-quotidienne de la glycémie, et accessoirement de l’acétonurie et adaptation des doses en conséquence.
    2. APPORTS GLUCIDIQUES
      Répartir correctement les doses qui doivent être adaptées aux apports glucidiques.
    3. BOISSONS ALCOOLISEES
      A éviter en particulier à jeun.

    1. ALLERGIE A L’INSULINE
      Contre-indication relative.
    2. OBESITE
      Diabète avec surpoids ou obésité franche. Contre-indication relative.

    Traitement

    Le bon équilibre du diabétique est le résultat de plusieurs facteurs intriqués :
    – Insulino-thérapie bien adaptée.
    – Mais aussi un régime approprié et adapté aux efforts musculaires éventuels (l’adaptation est également nécessaire en cas d’affections
    intercurrentes).
    L’hypoglycémie peut donc être due à une dose mal adaptée d’insuline mais aussi à une erreur alimentaire (prise insuffisante d’hydrates de carbone) ou un effort physique non prévu et non compensé.
    L’hypoglycémie se manifeste par les
    signes suivants :
    sensation de faim, sueurs abondantes, tremblements, troubles visuels, confusion, irritabilité, asthénie, angoisse, céphalées. Si le malade n’absorbe pas rapidement du sucre ou une boisson très sucrée, l’hypoglycémie grave peut
    entraîner la survenue d’un coma hypoglycémique (il faut alors pratiquer une injection IM ou SC de glucagon et alimenter le malade dès son réveil ou injecter en IV du sérum glucosé hypertonique).
    Il n’y a aucun risque en cas de doute sur le diagnostic
    d’hypoglycémie à pratiquer le traitement décrit ci-dessus.

    Voies d’administration

    – 1 – SOUS-CUTANEE

    – 2 – INTRAMUSCULAIRE

    – 3 – INTRAVEINEUSE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    – Traitement courant du diabète en trois ou quatre injections par jour l’injection du soir peut être remplacée en cas de besoin par une injection de NPH.
    – Melange avec toutes les insulines retard (Durasuline, EZP, Semi- tardum,
    Tardum MX, Ultra-tardum) pour augmenter l’intensité de leur action initiale.
    .
    Posologie Particulière :
    – Acidocétose diabétique(coma diabétique) : voie intraveineuse directe et sous-cutanée combinées.
    – Cétonurie chez un sujet traité par une seule
    injection matinale d’insuline Retard: injection supplémentaire au cours de la journée (pas d’injection supplémentaire à un malade dans le coma si on n’a pas la preuve qu’il ne s’agit pas d’une hypoglycémie).
    .
    Mode d’emploi :
    Utilisation à température
    ambiante : sortir du réfrigérateur une heure avant l’emploi.
    Les injections doivent etre pratiquees dans des conditions d’asepsie rigoureuse en S.C.profonde,I.M.ou I.V.;
    L’action est alors un peu plus rapide et moins prolongée.
    Le flacon en cours
    d’utilisation peut être maintenu à température ambiante.


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