AREDIA 60 mg/10 ml lyophilisat et solution pour perfusion (Hôp)

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AREDIA 60 mg/10 ml lyophilisat et solution pour perfusion (Hôp)

Introduction dans BIAM : 26/4/1999
Dernière mise à jour : 13/1/2000

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : POUDRE ET SOLVANT POUR SOLUTION POUR PERFUSION

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : NOVARTIS PHARMA

    Produit(s) : AREDIA

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 29/11/1995
    2. publication JO de l’AMM 20/3/1996
    3. mise sur le marché 15/5/1997

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 559254-8

    1
    ampoule(s) de solvant
    10
    ml
    verre

    1
    flacon(s) de lyophilisat
    verre

    Evénements :

    1. agrément collectivités 2/1/1997


    Lieu de délivrance : hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    CONSERVER A TEMPERATURE < 30 DEGRES Conservation (préparée, reconstituée ou déconditionnée) : 24
    heure(s)

    CONSERVER ENTRE +2 ET +8 DEGRES C
    CONSERVER AU REFRIGERATEUR

    Régime : liste I

    Prix Pharmacien HT : 1366 F

    Composition

    Expression de la composition : EXPRIME POUR :

    Volume : 10
    ml

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIOSTEOCLASTIQUE (DIPHOSPHONATE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : M05B-A03.
      Le pamidronate de sodium, substance active d’Arédia, est un puissant inhibiteur de la résorption osseuse ostéoclastique.
      Le pamidronate de sodium inhibe in vitro la formation et la dissolution des cristaux d’apatite de calcium. L’interaction physicochimique du pamidronate de sodium avec le cristal d’apatite rend compte de sa haute affinité pour l’os, mais les mécanismes cellulaires par lesquels il entraîne une activité antiostéoclastique sont actuellement inconnus.
      Le pamidronate disodique empêche l’accession des précurseurs de l’ostéoclaste à l’os, et donc leur transformation en ostéoclastes matures, capables de résorber l’os. L’effet antirésorptif local et direct du biphosphonate lié à l’os semble cependant être le mode d’action prédominant in vitro et in vivo.
      Il entraîne des modifications des paramètres biochimiques, reflétant la diminution de la résorption osseuse et la normalisation de la calcémie, notamment : diminution de l’hydroxyprolinurie, de la calciurie, de la phosphaturie et de la phosphatémie.
      Chez le sujet ayant une insuffisance rénale en rapport avec une hypercalcémie, Arédia peut, en normalisant la calcémie, améliorer le débit de filtration glomérulaire.
      Les données cliniques chez des patients atteints de myélome multiple ou atteints de métastases osseuses ont montré qu’Arédia retarde ou prévient des complications osseuses et leurs conséquences (hypercalcémie, fractures, recours à la chirurgie et à l’irradiation osseuse, compression médullaire) et diminue la douleur osseuse. Utilisé parallèlement avec un traitement anticancéreux, Arédia a permis de retarder la progression des métastases osseuses. Par ailleurs, le traitement par Arédia a entraîné la stabilisation ou la sclérose, visible à l’examen radiographique, de métastases osseuses ostéolytiques.
      * Propriétés pharmacocinétiques :
      Distribution :
      Les concentrations plasmatiques de pamidronate augmentent rapidement dès le début de la perfusion et chutent rapidement lorsque l’on arrête la perfusion. La demi-vie plasmatique apparente de distribution est d’environ 0.8 heure. Aussi, les niveaux d’équilibre apparent sont atteints lorsque les perfusions durent plus de 2 à 3 heures. Des pics plasmatiques d’environ 10 nmol/ml de pamidronate sont obtenus après perfusion de 60 mg sur 1 h. Le pourcentage de la dose retenu dans le corps après l’administration de chaque dose de pamidronate disodique est similaire chez l’animal et chez l’homme.
      L’accumulation de pamidronate dans l’os n’est donc pas limitée par sa capacité de liaison osseuse et dépend uniquement de la dose totale cumulée administrée.
      Le pourcentage de pamidronate circulant lié aux protéines plasmatiques est relativement faible (environ 54%) ; il augmente lorsque les concentrations de calcium atteignent des niveaux pathologiquement élevés.
      Elimination :
      La clairance plasmatique apparente est d’environ 180 ml/min.
      Le pamidronate ne semble pas être éliminé par biotransformation. Après une perfusion intraveineuse, environ 20 à 55% de la dose se retrouvent sous forme de pamidronate inchangé dans les urines au bout de 72 heures, le restant se répartissant entre les os et les tissus mous. Le pourcentage de pamidronate restant ne dépend ni de la dose (entre 15 et 180 mg) ni de la vitesse de perfusion (entre 1.25 et 60 mg/h).
      L’étude des concentrations plasmatiques ainsi que celle de l’élimination urinaire du pamidronate permettent de mettre en évidence deux phases avec des demi-vies apparentes d’environ 2 et 27 heures. La clairance rénale apparente est d’environ 54 ml/min.
      Caractéristiques selon les patients :
      Chez les patients atteints d’insuffisance rénale, même sévère, aucune accumulation plasmatique de pamidronate susceptible d’avoir une conséquence clinique n’a été observée. Aucune réduction de posologie n’apparaît donc nécessaire chez les patients atteints d’insuffisance rénale, même sévère.
      Par mesure de prudence, chez les insuffisants rénaux, le débit de perfusion de la solution d’Arédia ne doit pas dépasser 20 mg/h.
      Les clairances hépatique et métabolique du pamidronate sont non significatives. On ne s’attend donc pas à ce que l’insuffisance hépatique puisse avoir une influence sur la pharmacocinétique du pamidronate. De ce fait, il y a peu de risques d’interactions médicamenteuses dues au métabolisme ou à la liaison protéique.

    1. ***
      – Traitement des hypercalcémies sévères d’origine maligne.
      – Traitement du myélome stade III avec au moins une lésion osseuse.
      – Traitement palliatif des ostéolyses d’origine maligne avec ou sans hypercalcémie en complément du traitement spécifique de la tumeur.
      – Traitement de la maladie de Paget.
    2. HYPERCALCEMIE MALIGNE
    3. MYELOME MULTIPLE
    4. MALADIE DE PAGET

    1. FIEVRE (FREQUENT)
      Augmentation de la température corporelle de 1 à 2 degrés C, transitoire, elle survient en moyenne au deuxième jour du traitement et dure 24 à 48 heures et semble sans conséquence clinique.
    2. SYNDROME PSEUDOGRIPPAL
      Accompagné de malaise, rigidité, asthénie et réactions vasomotrices.
    3. REACTION ALLERGIQUE GENERALE (RARE)
      Réactions allergiques systémiques de type bronchospasme, dyspnée, dème de Quincke, réactions anaphylactoïdes et exceptionnellement choc anaphylactique.
    4. REACTION AU POINT D’INJECTION
      Occasionnellement : douleur, rougeur, tuméfaction, induration, phébite, thrombophlébite.
    5. DOULEUR OSSEUSE
      Occasionnelle, transitoire.
    6. DOULEUR MUSCULAIRE
      Occasionnellement.
    7. DOULEUR ARTICULAIRE
      Occasionnellement.
    8. DOULEUR
      Généralisée. Occasionnellement.
    9. CRAMPE (RARE)
    10. NAUSEE
      Occasionnellement.
    11. VOMISSEMENT
      Occasionnellement.
    12. ANOREXIE (RARE)
    13. DOULEUR ABDOMINALE (RARE)
    14. DIARRHEE (RARE)
    15. CONSTIPATION (RARE)
    16. DYSPEPSIE (RARE)
    17. GASTRITE
      Cas isolés.
    18. CEPHALEE
      Occasionnellement.
    19. PARESTHESIE (RARE)
      Hypocalcémie symptomatique.
    20. TETANIE (RARE)
      Hypocalcémie symptomatique.
    21. EXCITATION PSYCHOMOTRICE (RARE)
    22. CONFUSION MENTALE (RARE)
    23. SENSATION DE VERTIGE (RARE)
    24. INSOMNIE (RARE)
    25. SOMNOLENCE (RARE)
    26. LETHARGIE (RARE)
    27. CRISE CONVULSIVE
      Cas isolés.
    28. HALLUCINATION VISUELLE
      Cas isolés.
    29. LYMPHOPENIE
      Occasionnellement. Elle dure quelques jours et semble sans conséquence clinique.
    30. ANEMIE (RARE)
    31. LEUCOPENIE (RARE)
    32. THROMBOPENIE
      Cas isolés.
    33. HYPOTENSION ARTERIELLE (RARE)
    34. HYPERTENSION ARTERIELLE (RARE)
    35. INSUFFISANCE VENTRICULAIRE GAUCHE(AGGRAVATION)
      Cas isolés (dyspnée, oedème pulmonaire).
    36. INSUFFISANCE CARDIAQUE CONGESTIVE
      Cas isolés (oedème), due à une surcharge hydrique.
    37. HEMATURIE
      Cas isolés.
    38. INSUFFISANCE RENALE(AGGRAVATION)
    39. INSUFFISANCE RENALE AIGUE
    40. ERUPTION CUTANEE (RARE)
    41. PRURIT (RARE)
    42. CONJONCTIVITE
      Cas isolés.
    43. UVEITE
      (iritis, iridocyclite).
    44. SCLERITE
      Cas isolés. (Iritis, iridocyclite).
    45. EPISCLERITE
      Cas isolés.
    46. XANTHOPSIE
      Cas isolés.
    47. HERPES(REVEIL)
      Cas isolés.
    48. ZONA(REVEIL)
      Cas isolés.
    49. CALCEMIE(DIMINUTION) (FREQUENT)
      Souvent asymptomatiques.
    50. PHOSPHOREMIE(DIMINUTION) (FREQUENT)
    51. MAGNESEMIE(DIMINUTION)
      Occasionnellement.
    52. KALIEMIE(AUGMENTATION) (RARE)
    53. KALIEMIE(DIMINUTION) (RARE)
    54. NATREMIE(AUGMENTATION) (RARE)
    55. INSUFFISANCE HEPATIQUE
      Cas isolés.
    56. CREATININEMIE(AUGMENTATION)
      Cas isolés.
    57. UREE SANGUINE(AUGMENTATION)

    1. MISE EN GARDE
      – Arédia ne doit jamais être perfusé en bolus car cela peut causer des réactions locales sévères, notamment thrombophlébites au point d’injection. Arédia doit toujours être dilué et administré en perfusion intraveineuse lente.

      – Arédia ne doit pas être dilué dans des solutions contenant du calcium.
    2. CARDIOPATHIE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      SUJET AGE

      Aredia apporte 2.5 mg de sodium pour 15 mg de pamidronate de sodium. Chez les patients présentant une cardiopathie, en particulier les personnes âgées, une surcharge en sel peut accélérer le développement d’une insuffisance cardiaque (ventriculaire gauche congestive). La fièvre (syndrome pseudo-grippal) peut aussi contribuer à cette aggravation.

    3. ENFANT DE MOINS DE 15 ANS
      Il n’y a actuellement pas d’expérience clinique de l’utilisation de ce produit chez l’enfant de moins de 15 ans. Arédia ne doit donc être prescrit dans ce cas que lorsqu’il existe une mise en jeu du pronostic vital.
    4. SURVEILLANCE BIOLOGIQUE
      Surveiller la calcémie et la phosphatémie.

      Les patients pagétiques doivent bénéficier d’un apport suffisant en calcium et en vitamine D. Les troubles du métabolisme calcique (hypocalcémie, déficit en vitamine D) doivent être contrôlés avant de commencer le traitement.
    5. SURVEILLANCE DE LA FONCTION RENALE
      Une surveillance de la fonction rénale sera périodiquement effectuée chez les patients traités pour une hypercalcémie ou un myélome multiple, notamment ceux ayant une altération préalable de la fonction rénale.
    6. HYPOPARATHYROIDIE
      Les patients ayant subi une chirurgie thyroïdienne peuvent faire une hypocalcémie, causée par un hypo-parathyroïdisme relatif.
    7. CONDUCTEURS DE VEHICULES
      L’attention est appelée notamment chez les conducteurs de véhicules et les utilisateurs de machines, sur les risques de somnolence ou de vertige liés à l’emploi d’Aredia.

    1. HYPERSENSIBILITE A CE PRODUIT
      Antécédents d’hypersensibilité au pamidronate de sodium, aux excipients ou aux biphosphonates.
    2. GROSSESSE
      Les études effectuées chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effet tératogène. En l’absence d’effet tératogène chez l’animal, un effet malformatif dans l’espèce humaine n’est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l’espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l’animal au cours d’études bien conduites sur deux espèces.
      Des études chez l’animal ont montré que le pamidronate traverse le placenta et s’accumule dans les os du foetus comme cela s’observe chez les animaux adultes.
      Il n’existe pas actuellement de données pertinentes, ou en nombre suffisant, pour évaluer un éventuel effet malformatif ou foetotoxique d’Arédia lorsqu’il est administré pendant la grossesse.
      En conséquence, par mesure de précaution, il est préférable de ne pas administrer Arédia pendant la grossesse, sauf en cas de mise en jeu du pronostic vital.
    3. ALLAITEMENT
      Le pamidronate passe dans le lait.
      En conséquence, par mesure de précaution, il est préférable de ne pas administrer Aredia pendant l’allatement, sauf en cas de mise en jeu du pronostic vital.

    Traitement

    Il n’existe pas d’informations disponibles sur un surdosage en pamidronate. Une hypocalcémie légère et transitoire a été observée quand la dose administrée était trop élevée par rapport à la calcémie initiale. Cela peut entraîner des paresthésies
    (légères) mais, en général, il n’existe pas de symptômes pouvant être attribués à ces surdosages, et cela ne nécessite pas de traitement spécifique. Une hypocalcémie aiguë est peu probable puisque le traitement entraîne une diminution progressive sur
    plusieurs jours de la calcémie.
    Néanmoins, une surveillance clinique attentive est recommandée, dans le cas où aurait été administrée une dose trop forte par rapport à celle qui était nécessitée par le chiffre de calcémie. Dans les cas où surviendrait
    malgré tout une hypocalcémie aiguë entraînant des manifestations cliniques, celle-ci pourrait être traitée par des perfusions de calcium.

    Voies d’administration

    – 1 – INTRAVEINEUSE(EN PERFUSION)

    Posologie & mode d’administration

    Posologie usuelle :
    1 / Hypercalcémies sévères d’origine maligne :
    Les patients doivent être correctement hydratés avant et pendant la période de traitement.
    La durée du traitement est limitée au temps nécessaire à la normalisation de la calcémie.

    Traitement initial :
    La dose totale d’Arédia pour une cure thérapeutique peut être administrée en une perfusion unique ou en plusieurs perfusions réparties sur deux à quatre jours consécutifs.
    La dose totale recommandée à utiliser pour une cure
    thérapeutique est fonction du chiffre de calcémie initiale. Les indications suivantes dérivent de données cliniques utilisant la calcémie non corrigée. Cependant, les posologies proposées sont également applicables pour des valeurs de calcémie corrigées
    en fonction de l’albuminémie ou de la protidémie chez des patients réhydratés.
    * pour une calcémie initiale jusqu’à trois millimoles par litre (jusqu’à cent vingt mg par litre) : dose totale recommandée pour une cure : quinze à trente mg.
    * pour une
    calcémie initiale de trois à trois millimoles cinq par litre (cent vingt à cent quarante mg par litre) : dose totale recommandée pour une cure : trente à soixante mg.
    * pour une calcémie initiale de trois millimoles cinq à quatre millimoles par litre
    (cent quarante à cent soixante mg par litre) : dose totale recommandée pour une cure : soixante à quatre vingt dix mg.
    * pour une calcémie initiale supérieure à quatre millimoles par litre (supérieure à cent soixante mg par litre) : dose totale
    recommandée pour une cure : quatre vingt dix mg.
    – Répétition des cures :
    Si l’hypercalcémie récidive, ou si la calcémie ne commence pas à diminuer dans les deux jours suivant le début du traitement, on peut répéter les perfusions d’Arédia en suivant
    les mêmes indications posologiques que pour le traitement initial.
    Dans l’expérience clinique actuelle, il existe une possibilité de diminution de l’efficacité thérapeutique due à l’aggravation de la maladie cancéreuse et (ou) en cas d’administration
    réitérée du produit.
    La dose maximale par cure thérapeutique est de quatre vingt dix mg, que ce soit lors d’une cure initiale ou lors des cures ultérieures. Il est recommandé d’administrer les quatre vingt dix mg en quatre heures dans cinq cents
    ml.
    L’utilisation de plus fortes doses ne semble pas apporter de bénéfices cliniques supplémentaires.
    2 / Myélome stade III avec au mois une lésion osseuse :
    Quatre vingt dix mg toutes les quatre semaines.
    Il est recommandé d’administrer les quatre
    vingt dix mg en quatre heures dans cinq cents ml.
    3 / Ostéolyses malignes avec ou sans hypercalcémie :
    La dose recommandée d’Aredia est de quatre vingt dix mg toutes les quatre semaines.
    Chez les patients atteints de métastases osseuses traités par
    chimiothérapie toutes les trois semaines, l’administration d’Aredia (quatre vingt dix mg) pourra être réalisée toutes les trois semaines.
    4 / Maladie de Paget :
    La dose recommandée est de cent vingt à cent quatre vingt mg en deux à trois jours
    consécutifs.
    La surveillance clinique et biologique permet d’évaluer les effets du traitement.
    En cas de résultats insuffisants et/ou de reprise de l’évolutivité de la maladie de Paget, il est possible de répéter une nouvelle cure de cent vingt à cent
    quatre vingt mg, six mois au moins après la première cure.
    .
    Mode d’emploi :
    – En l’absence d’hypercalcémie : les quatre vingt dix mg (qui correspondent à la dose maximale journalière ou par cure) sont dilués dans 250 ml d’une solution pour perfusion et
    sont perfusés pendant 2 heures.
    – En cas d’hypercalcémie : il est recommandé d’administrer les quatre vingt dix mg (qui correspondent à la dose maximale journalière ou par cure) en 4 heures dans 500 ml.
    – Après reconstitution avec son solvant (eau ppi),
    Arédia doit être administré en perfusion intraveineuse lente, dilué dans une solution compatible (par exemple chlorure de sodium 0.9% ou sérum glucosé 5%) sans calcium ajouté.
    – La perfusion doit être posée dans une veine de taille suffisante afin de
    minimiser les réactions locales.
    – Il faut veiller à ce que la poudre soit complètement dissoute avant de procéder à la dilution dans la solution de perfusion.


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