CLIPTOL gel

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CLIPTOL gel

Introduction dans BIAM : 22/6/1999
Dernière mise à jour : 13/3/2001

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Autres dénominations :
    No de Dossier d’AMM – NL23784


    Forme : GEL POUR APPLICATION LOCALE

    Usage : adulte

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : PIERRE FABRE SANTE

    Produit(s) : CLIPTOL

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 16/4/1999
    2. mise sur le marché 15/5/1999
    3. publication JO de l’AMM 14/11/1999
    4. rectificatif d’AMM 6/11/2000

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 348452-4

    1
    tube(s)
    50
    g
    alu verni

    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    CONSERVER A TEMPERATURE < 25 DEGRES Régime : aucune liste

    Réglementation des prix :
    grand public

    Prix Pharmacien HT : 25 F

    Prix public TTC : 47.50 F

    TVA : 5.50 %

    Composition

    Expression de la composition : EXPRIME POUR :

    Par poids : 100
    g

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIINFLAMMATOIRE PERCUTANE (NON STEROIDIEN) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : M02A-A13.
      L’ibuprofène inhibe la synthèse des prostaglandines. Sous forme de gel, il possède une activité locale antiinflammatoire et antalgique.
      Le menthol appliqué localement est rubéfiant et révulsif. Il apaise les douleurs musculaires, tendineuses et articulaires. L’activité du menthol s’exerce sur les terminaisons nerveuses de la peau.
      * Propriétés pharmacocinétiques :
      La biodisponibilité du gel d’ibuprofène est d’environ 5% par rapport à une administration orale.
      Les taux plasmatiques sont peu élevés, réduisant le risque d’effets secondaires alors qu’au point d’application, les concentrations tissulaires en ibuprofène sont plus importantes.

    1. ***
      Traitement de la douleur et du gonflement en traumatologie bénigne : entorses, contusions, traumatologie sportive.
    2. ENTORSE
    3. CONTUSION
    4. DOULEUR POST-TRAUMATIQUE
    5. OEDEME POST-TRAUMATIQUE

    1. ERUPTION CUTANEE
      Effet lié à la voie d’administration.
    2. PRURIT
      Effet lié à la voie d’administration.
    3. URTICAIRE
      Effet lié à la voie d’administration.
    4. SECHERESSE DE LA PEAU
      Effet lié à la voie d’administration.
    5. ROUGEUR
      Effet lié à la voie d’administration.
    6. SENSATION DE BRULURE CUTANEE
      Effet lié à la voie d’administration.
    7. DERMATITE DE CONTACT
      Effet lié à la voie d’administration.
    8. REACTION ANAPHYLACTIQUE
      Réaction d’hypersensibilité, liée à l’ibuprofène.
    9. ASTHME
      Réaction d’hypersensibilité respiratoire, liée à l’ibuprofène.
    10. BRONCHOSPASME
      Réaction d’hypersensibilité respiratoire, liée à l’ibuprofène.
    11. DYSPNEE
      Réaction d’hypersensibilité respiratoire, liée à l’ibuprofène.
    12. REACTION ALLERGIQUE CUTANEE
      Réactions d’hypersensibilité cutanée, liée à l’ibuprofène : éruptions, prurit, urticaire, purpura, oedème de Quincke et moins fréquemment réactions bulleuses (nécrolyse épidermique, érythème polymorphe).
    13. EFFETS SYSTEMIQUES
      Condition(s) Exclusive(s) :
      FORTES DOSES
      SURFACE TRAITEE ETENDUE
      TRAITEMENT PROLONGE
      PANSEMENT OCCLUSIF

      Effets liés à l’ibuprofène.
      Ils sont fonction du passage transdermique du principe actif et donc de la quantité de gel appliquée, de la surface traitée, du degré d’intégrité cutanée, de la durée du traitement et de l’utilisation ou non d’un pansement occlusif (effets digestifs, rénaux).

    1. CONDITIONS D’UTILISATION DU PRODUIT
      – Ne pas appliquer sur les muqueuses, ni sur les yeux.

      – L’apparition d’une éruption cutanée impose l’arrêt immédiat du traitement.

      – Ne pas utiliser sous pansement occlusif.
    2. INSUFFISANCE RENALE
      L’ibuprofène par voie orale pouvant aggraver une insuffisance rénale préexistante, ce médicament doit être utilisé avec précautions en cas d’antécédents rénaux.
    3. PERSISTANCE DES SYMPTOMES
      En l’absence d’amélioration, voire en cas d’aggravation, le tableau clinique doit être réévalué.
    4. ALLAITEMENT
      Les AINS passant dans le lait maternel, par mesure de précaution, il convient d’éviter de les administrer chez la femme qui allaite.

    1. GROSSESSE
      Dans l’espèce humaine, aucun effet malformatif particulier n’a été signalé. Cependant, des études épidémiologiques complémentaires sont nécessaires afin de confirmer l’absence de risque.
      Au cours du troisième trimestre, tous les inhibiteurs de synthèse des prostaglandines peuvent exposer :
      – le foetus à :
      . une toxicité cardio-pulmonaire (hypertension pulmonaire avec fermeture prématurée du canal artériel);
      . un dysfonctionnement rénal pouvant aller jusqu’à l’insuffisance rénale avec oligohydramnios.
      – la mère et l’enfant, en fin de grossesse, à un allongement éventuel du temps de saignement.
      En conséquence, la prescription d’AINS ne doit être envisagée que si nécessaire pendant les 6 premiers mois de la grossesse.
      En dehors d’utilisations obstétricales extrêmement limitées et qui justifient une surveillance spécialisée, la prescription d’AINS est contre-indiquée lors du dernier trimestre de la grossesse.
    2. ALLERGIE A L’IBUPROFENE
      Antécédent d’allergie ou d’asthme déclenché par la prise d’ibuprofène ou de substances d’activité proches telles que autres AINS, aspirine.
    3. HYPERSENSIBILITE AUX AINS
    4. HYPERSENSIBILITE A L’ASPIRINE
    5. HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS
      Hypersensibilité au lévomenthol.
    6. DERMATOSES SUINTANTES
    7. ECZEMA
    8. LESIONS INFECTEES
    9. BRULURES
    10. PLAIE
    11. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
      Avec un autre topique sur la même zone.

    Signes de l’intoxication :

    1. CEPHALEE
    2. VOMISSEMENT
    3. SOMNOLENCE
    4. HYPOTENSION ARTERIELLE

    Traitement

    Un surdosage avec un produit d’application locale est peu probable.
    Signes d’un surdosage : maux de tête, vomissements, somnolence et hypotension.
    Corriger tout désordre hydroélectrolytique sévère.

    Voies d’administration

    – 1 – APPLICATION CUTANEE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie usuelle :
    Réservé à l’adulte (plus de15 ans).
    Pour chaque application, appliquer environ 10 à 40 mm de gel par application, soit 50 à 125 mg d’ibuprofène par application.
    .
    Mode d’emploi :
    Appliquer une mince couche sur la zone douloureuse et
    masser légèrement jusqu’à absorption.
    Répéter si nécessaire jusqu’à 3 fois par jour maximum, en respectant un minimum de 4 heures entre chaque application.


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