CALTRATE 500 mg comprimés à sucer

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CALTRATE 500 mg comprimés à sucer

Introduction dans BIAM : 15/11/1999
Dernière mise à jour : 7/3/2000

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : COMPRIMES A SUCER

    Usage : adulte, enfant + de 6 ans

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : WHITEHALL

    Produit(s) : CALTRATE

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 1/2/1999
    2. publication JO de l’AMM 13/8/1999
    3. rectificatif d’AMM 17/8/1999
    4. mise sur le marché 28/10/1999

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 348671-8

    1
    flacon(s)
    60
    unité(s)
    PE
    blanc

    Evénements :

    1. agrément collectivités 17/10/1999
    2. inscription SS 17/10/1999


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 12
    mois

    Régime : aucune liste

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 37.21 F

    Prix public TTC : 50.50 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. SUPPLEMENT MINERAL (CALCIUM) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : A12A-A04.
      L’apport de calcium corrige la carence calcique alimentaire.
      Les besoins journaliers en calcium sont de l’ordre de 1000 à 1500 mg de calcium élément.

      * Propriétés pharmacocinétiques :
      – Absorption : en milieu gastrique, le carbonate de calcium libère l’ion calcium en fonction du pH. Le calcium est essentiellement absorbé dans la partie haute de l’intestin grêle selon un mécanisme de transfert actif saturable dépendant de la vitamine D. Le taux d’absorption du calcium sous cette forme est de l’ordre de 30% de la dose ingérée.
      – Elimination : le calcium est éliminé par la sueur et les sécrétion digestives. Le calcium urinaire dépend de la filtration glomérulaire et du taux de réabsorption tubulaire du calcium.

    1. ***
      Carences calciques, notamment en période de croissance, de grossesse, d’allaitement.
      Traitement d’appoint des ostéoporoses (séniles, post-ménopausiques, sous corticothérapie, d’immobilisation lors de la reprise de la mobilité).
    2. CARENCE EN CALCIUM
    3. OSTEOPOROSE

    1. CONSTIPATION
    2. FLATULENCE
    3. NAUSEE
    4. CALCIURIE(AUGMENTATION)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE
    5. CALCEMIE(AUGMENTATION)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      TRAITEMENT PROLONGE
      FORTE DOSE

    1. ASSOCIATION THERAPEUTIQUE
      L’administration conjointe de calcium et de vitamine D doit être faite sous stricte surveillance de la calcémie et de la calciurie.
    2. INSUFFISANCE RENALE
      En cas d’insuffisance rénale, contrôler régulièrement la calcémie et la calciurie et éviter l’administration de fortes doses.
      En cas de traitement de longue durée et/ou d’insuffisance rénale, il est nécessaire de contrôler la calciurie et de réduire ou d’interrompre momentanément le traitement si celle-ci dépasse 7,5 mmol/24h (300 mg/24h) chez l’adulte et 0,12 à 0,15 mmol/kg/24h (5 à 6 mg/kg/24h) chez l’enfant.
    3. TRAITEMENT PROLONGE
      En cas de traitement de longue durée et/ou d’insuffisance rénale, il est nécessaire de contrôler la calciurie et de réduire ou d’interrompre momentanément le traitement si celle-ci dépasse 7,5 mmol/24h (300 mg/24h) chez l’adulte et 0,12 à 0,15 mmol/kg/24h (5 à 6 mg/kg/24h) chez l’enfant.

    1. HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS
    2. HYPERCALCEMIE
    3. HYPERCALCIURIE
    4. LITHIASE CALCIQUE
    5. CALCIFICATION TISSULAIRE
    6. IMMOBILISATION PROLONGEE
      S’accompagnant d’hypercalcémie et/ou d’hypercalciurie. Le traitement calcique ne doit être administré qu’à la reprise de la mobilité.
    7. PHENYLCETONURIE
      En raison de la présence d’aspartam.

    Signes de l’intoxication :

    1. SOIF
    2. POLYURIE
    3. POLYDIPSIE
    4. NAUSEE
    5. VOMISSEMENT
    6. DESHYDRATATION
    7. HYPERTENSION ARTERIELLE
    8. TROUBLE VASOMOTEUR
    9. CONSTIPATION

    Traitement

    *Symptômes : soif, polyurie, polydipsie, nausées, vomissements, déshydratation, hypertension artérielle, troubles vasomoteurs, constipation.
    Chez l’enfant, l’arrêt de la croissance staturo-pondérale peut précéder tous les signes.

    *Traitement : arrêt de
    tout apport calcique et le cas échéant de vitamine D, réhydratation et en fonction de la gravité de l’intoxication : utilisation isolée ou en association, de diurétiques, corticoïdes, calcitonine, éventuellement associés à une dialyse péritonéale.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie usuelle :
    Réservé à l’adulte et l’enfant de plus de 6 ans.

    *Chez l’adulte :
    Carences calciques et ostéoporoses : 1 à 1,5 gramme de calcium-élément par jour soit 2 à 3 comprimés à sucer par jour.

    *Chez l’enfant :
    Carences calciques en période
    de croissance :
    – enfant de 6 à 10 ans : 500 mg de calcium-élément par jour soit 1 comprimé à sucer par jour.
    – enfant de plus de 10 ans : 1 gramme de calcium-élément par jour soit 2 comprimés à sucer par jour.

    Grossesse et allaitement :
    Ce produit
    peut être utilisé pendant la grossesse et l’allaitement. Cependant, la dose journalière ne doit pas dépasser 1500 mg de calcium.


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