VICKS TOUX SECHE 0.133 pour cent ADULTES sirop

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VICKS TOUX SECHE 0.133 pour cent ADULTES sirop

Introduction dans BIAM : 17/11/1999
Dernière mise à jour : 19/6/2000

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : SIROP

    Usage : adulte

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : LACHARTRE

    Produit(s) : VICKS

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 15/4/1998
    2. publication JO de l’AMM 22/12/1998
    3. mise sur le marché 28/10/1999
    4. rectificatif d’AMM 31/1/2000

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 346532-0

    1
    flacon(s)
    120
    ml
    verre brun

    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    Conservation (dans son conditionnement) : 24
    mois

    CONSERVER A TEMPERATURE < 25 DEGRES Régime : aucune liste

    Réglementation des prix :
    grand public

    Prix Pharmacien HT : 24.06 F

    TVA : 5.50 %

    Composition

    Expression de la composition : par unité de prise, soit pour :

    Volume : 100
    ml

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTITUSSIF (OPIACE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : R05D-A09.
      Le dextrométorphane est un dérivé morphinique d’action centrale.
      Aux doses thérapeutiques, il n’entraîne ni dépression des centres respiratoires, ni accoutumance, ni toxicomanie.
      La viscosité du sirop permet de recouvrir les muqueuses irritées de la gorge et ainsi calmer l’irritation locale de la gorge accompagnant la toux sèche.
      * Propriétés pharmacocinétiques :
      Le dextrométorphane est bien absorbé au niveau du tube digestif. Il est partiellement métabolisé au niveau du foie, et excrété sous forme inchangée ou sous forme de métabolite déméthylé.

    1. ***
      Traitement de courte durée des toux sèches et des toux d’irritation chez l’adulte (plus de 15 ans).
    2. TOUX SECHE

    1. VERTIGE
    2. SOMNOLENCE
    3. NAUSEE
    4. VOMISSEMENT
    5. CONSTIPATION
    6. REACTION ALLERGIQUE
      A type d’éruption prurigineuse, urticaire, oedème de Quincke.
      En raison de la présence du rouge cochenille A, risque de réactions allergiques.
    7. ERUPTION PRURIGINEUSE
    8. URTICAIRE
    9. OEDEME ANGIONEUROTIQUE
    10. BRONCHOSPASME (EXCEPTIONNEL)

    1. MISE EN GARDE
      – Les toux productives qui sont un élément fondamental de la défense broncho-pulmonaire sont à respecter.
      – Il est illogique d’associer un expectorant ou mucolytique à un antitussif.
      – Avant de délivrer un traitement antitussif, il convient de s’assurer que les causes de la toux qui recquièrent un traitement spécifique ont été recherchées.
      – Si la toux résiste à un antitussif administré à une posologie usuelle, on ne doit pas procéder à une augmentation des doses, mais à un réexamen de la situation clinique.
    2. BOISSONS ALCOOLISEES
      La prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l’alcool pendant le traitement est déconseillée.
    3. DIABETE
      Ce médicament contient 5.5 g de saccharose par cuillère à soupe : en tenir compte dans la ration journalière.
    4. TROUBLES HEPATIQUES
      Ce médicament contient 0.6 g d’alcool par cuillère à soupe. Il est déconseillé chez les patients souffrant de maladie du foie, d’alcoolisme.
    5. EPILEPSIE
      Ce médicament contient 0.6 g d’alcool par cuillère à soupe. Il est déconseillé chez les patients souffrant d’épilepsie.
    6. GROSSESSE
      Concernant la présence de dextrométorphane, Il n’y a pas de données fiables de tératogenèse chez l’animal. En clinique, les résultats des études épidémiologiques menées sur des effectifs restreints de femmes semblent exclure un effet malformatif particulier du dextrométhorphane.
      En fin de grossesse, des posologies élevées, même en traitement bref, sont susceptibles d’entraîner une dépression respiratoire chez le nouveau-né.
      Au cours des trois derniers mois de la grossesse, la prise chronique de dextrométhorphane par la mère, et cela quelle que soit la dose, peut être à l’origine d’un syndrome de sevrage chez le nouveau-né.
      compte tenu de la présence d’alcool, l’utilisation de ce médicament pendant la grossesse est à éviter.
    7. CONDUCTEURS DE VEHICULES
      L’attention est appelée notamment chez les conducteurs de véhicules et les utilisateurs de machines, sur les risques de somnolence et de vertiges attachés à l’emploi de ce médicament.
    8. ALCOOLISME
      Ce médicament contient 0.6 g d’alcool par cuillère à soupe. Il est déconseillé chez les patients souffrant d’alcoolisme.

    1. ENFANT DE MOINS DE 15 ANS
    2. INSUFFISANCE RESPIRATOIRE
    3. TOUX DE L’ASTHMATIQUE
    4. HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS
    5. ASSOCIATION AUX IMAO
      – IMAO non sélectifs : risque d’apparition d’un syndrome sérotoninergique.(diarrhée, tachycardie, sueurs, tremblements, confusion voire coma)
      – IMAO sélectifs (moclobémide, toloxatone) par extrapolation à partir des IMAO non sélectifs : risque d’apparition d’un syndrome sérotoninergique.
      (diarrhée, tachycardie, sueurs, tremblements, confusion voire coma)
      s
    6. ALLAITEMENT
      Le dextrométorphane passe dans le lait maternel ; quelques cas d’hypotonie et de pauses respiratoires ont été décrits chez des nourrissons, après ingestion par les mères et d’autres antitussifs centraux à doses supra-thérapeutiques.
      En conséquence, la prise de ce médicament est contre-indiquée pendant l’allaitement.
    7. INTOLERANCE AU SACCHAROSE
      En raison de la présence de saccharose, ce médicament est contre-indiqué en cas d’intolérance au fructose, de syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou de déficit en sucrase-isomaltase.

    Signes de l’intoxication :

    1. NAUSEE
    2. VOMISSEMENT
    3. VERTIGE
    4. EXCITATION PSYCHOMOTRICE
    5. EXCITATION PSYCHOMOTRICE
    6. CONFUSION MENTALE
    7. SOMNOLENCE
    8. COMA
    9. DEPRESSION RESPIRATOIRE
    10. CRISE CONVULSIVE

    Traitement

    – Signes :
    nausées, vomissements, vertiges, nervosité, agitation, confusion, somnolence.
    En cas de surdosage massif : coma, dépression respiratoire, convulsions.
    – Traitement symptomatique :
    En cas de dépression respiratoire : naloxone, assistance
    respiratoire,
    En cas de convulsions : benzodiazépines.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie usuelle :
    – Réservé à l’adulte.
    – Une cuillère à soupe de quinze ml contient vingt mg de bromhydrate de dextrométorphane.
    – La durée du traitement doit être courte (limitée à cinq jours).
    – Chez l’adulte, la dose unitaire de bromhydrate de
    dextrométorphane est de quinze à trente mg, la dose quotidienne maximale est de cent vingt mg soit :
    -Prendre 1 cuillère à soupe par prise
    -En cas de besoin, renouveler la prise au bout de 4 heures
    -Ne dépasser en aucun cas 6 cuillères à soupe par
    jour.
    Posologies particulières :
    – Chez le sujet âgé ou en cas d’insuffisance hépatique :
    La posologie initiale sera diminué de moitié par rapport à la posologie conseillée, et pourra éventuellement être augmentée en fonction de la tolérance et des
    besoins.
    .
    Mode d’emploi :
    — Le traitement doit être limité aux horaires où survient la toux, sans dépasser les doses prescrites.


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