RHINATHIOL 5 mg/2 ml ENFANTS TOUX SECHE SANS SUCRE gel oral

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RHINATHIOL 5 mg/2 ml ENFANTS TOUX SECHE SANS SUCRE gel oral

Introduction dans BIAM : 23/11/1999
Dernière mise à jour : 28/2/2000

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : GEL ORAL

    Usage : enfant de 6 à 15 ans

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : SYNTHELABO FRANCE

    Produit(s) : RHINATHIOL

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 13/11/1998
    2. publication JO de l’AMM 11/7/1999
    3. mise sur le marché 4/11/1999

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 348123-0

    1
    flacon(s)
    26
    dose(s)
    polypropylène

    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 24
    mois

    CONSERVER A TEMPERATURE < 25 DEGRES Régime : aucune liste

    Réglementation des prix :
    grand public

    Prix Pharmacien HT : 21.06 F

    TVA : 5.50 %

    Composition

    Expression de la composition : par unité de prise, soit pour :

    Volume : 2
    ml

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTITUSSIF (OPIACE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : R05D-A09.
      Le dextrométorphane est un dérivé morphinique d’action centrale.
      Aux doses thérapeutiques, il n’entraîne ni dépression des centres respiratoires, ni accoutumance, ni toxicomanie.
      * Propriétés pharmacocinétiques :
      Le dextrométorphane est bien absorbé au niveau du tube digestif. Il est partiellement métabolisé au niveau du foie, et excrété sous forme inchangée ou sous forme de métabolite déméthylé.

    1. ***
      Traitement symptomatique des toux non productives gênantes.
    2. TOUX SECHE

    1. VERTIGE
    2. SOMNOLENCE
    3. NAUSEE
    4. VOMISSEMENT
    5. CONSTIPATION
    6. REACTION ALLERGIQUE
      A type d’éruption prurigineuse, urticaire, oedème de Quincke.
    7. BRONCHOSPASME (EXCEPTIONNEL)
    8. MYDRIASE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      DOSES ELEVEES
    9. URTICAIRE
      Lié à la présence de parabènes (parahydroxybenzoate de méthyle).
    10. CEPHALEE
      Liée à la présence de glycérol.
    11. DOULEUR EPIGASTRIQUE
      Liée à la présence de glycérol.
    12. DIARRHEE
      Liée à la présence de glycérol.

    1. MISE EN GARDE
      – Les toux productives qui sont un élément fondamental de la défense broncho-pulmonaire sont à respecter.
      – Il est illogique d’associer un expectorant ou mucolytique à un antitussif.
      – Avant de délivrer un traitement antitussif, il convient de s’assure que les causes de la toux qui recquièrent un traitement spécifique ont été recherchées.
      – Si la toux résiste à un antitussif administré à une posologie usuelle, on ne doit pas procéder à une augmentation des doses, mais à un réexamen de la situation clinique.
      – Liées à la présence de colorant azorubine E122 : possibilité deréactions allergiques, y compris d’asthme, en particulier chez les patients allergiques à l’aspirine.
    2. INSUFFISANCE HEPATIQUE
      La posologie initiale sera diminuée de moitié par rapport à la posologie conseillée et pourra éventuellement être augmentée en fonction de la tolérance et des besoins.
    3. BOISSONS ALCOOLISEES
      a prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l’alcool pendant le traitement est déconseillée.
    4. GROSSESSE
      Il n’y a pas de données fiables de tératogenèse chez l’animal.
      En clinique, les résultats des études épidémiologiques menées sur des effectifs restreints de femmes semblent exclure un effet malformatif particulier du dextrométorphane.
      En fin de grossesse, des posologies élevées, même en traitement bref, sont susceptibles d’entraîner une dépression respiratoire chez le nouveau-né.
      Au cours des trois derniers mois de la grossesse, la prise chronique de dextrométorphane par la mère, et cela quelque soit la dose, peut être à l’origine d’un syndrome de sevrage chez le nouveau-né.
      En conséquence, l’utilisation ponctuelle du dextrométorphane ne doit être envisagée au cours de la grossesse que si nécessaire.
    5. CONDUCTEURS DE VEHICULES
      L’attention est appelée notamment chez les conducteurs de véhicules et les utilisateurs de machines, sur les risques de somnolence et de vertiges attachés à l’emploi de ce médicament.

    1. HYPERSENSIBILITE A L’UN DES CONSTITUANTS
      Notamment aux parabènes (parahydroxybenzoate de méthyle) et au colorant azorubine.
    2. INSUFFISANCE RESPIRATOIRE
    3. TOUX DE L’ASTHMATIQUE
    4. ASSOCIATION AUX IMAO
    5. ALLAITEMENT
      Le dextrométorphane passe dans le lait maternel ; quelques cas d’hypotonie et de pauses respiratoires ont été décrits chez des nourrissons, après ingestion par les mères et d’autres antitussifs centraux à doses supra-thérapeutiques.
      En conséquence, la prise de ce médicament est contre-indiquée pendant l’allaitement.

    Signes de l’intoxication :

    1. NAUSEE
    2. VOMISSEMENT
    3. VERTIGE
    4. EXCITATION PSYCHOMOTRICE
    5. EXCITATION PSYCHOMOTRICE
    6. CONFUSION MENTALE
    7. SOMNOLENCE
    8. COMA
    9. DEPRESSION RESPIRATOIRE
    10. CRISE CONVULSIVE

    Traitement

    – Signes :
    nausées, vomissements, vertiges, nervosité, agitation, confusion, somnolence.
    En cas de surdosage massif : coma, dépression respiratoire, convulsions.
    – Traitement symptomatique :
    En cas de dépression respiratoire : naloxone, assistance
    respiratoire,
    En cas de convulsions : benzodiazépines.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie usuelle :
    – Réservé à l’enfant de six à quinze ans et pesant plus de vingt kilos.
    – Une pression de deux ml délivre cinq mg de bromhydrate de dextrométorphane.
    – Chez l’enfant, la dose unitaire de bromhydrate de dextrométorphane est d’un quart
    de mg par kilo, la dose quotidienne maximale est de un mg/kg soit :
    * enfant de plus de vingt kilos jusqu’à quarante kilos, soit de plus de six ans jusqu’à environ treize ans :
    Une dose par prise, à renouveler si nécessaire au bout de quatre heures,
    sans dépasser quatre prises par jour.
    * enfant de quarante à cinquante kilos, soit environ de treize à quinze ans :
    Deux doses par prise, à renouveler si nécessaire au bout de quatre heures, sans dépasser quatre prises par jour.
    – La durée du traitement
    doit être courte (limitée à cinq jours).
    – Le traitement doit être limité aux horaires où survient la toux, sans dépasser les doses prescrites.


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