MIACALCIC 80 UI/0,8 ml solution injectable

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MIACALCIC 80 UI/0,8 ml solution injectable

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 23/10/2000

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Autres dénominations :
    code expérimentation – SMC 20-051


    Forme : SOLUTION INJECTABLE

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : NOVARTIS PHARMA

    Produit(s) : MIACALCIC

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 31/7/1978
    2. publication JO de l’AMM 5/12/1980
    3. mise sur le marché 1/11/1981

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 322217-8

    6
    ampoule(s)
    0.80
    ml
    verre

    Evénements :

    1. inscription liste sub. vénéneuses 4/2/1978
    2. agrément collectivités 12/8/1980
    3. inscription SS 6/12/1981


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 48
    mois

    CONSERVER ENTRE 2 ET 8 DEGRES

    Régime : liste II

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 161.57 F

    Prix public TTC : 191.40 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. HORMONE HYPOCALCEMIANTE (CALCITONINE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : H05B-A01.
      L’action de la calcitonine est essentiellement osseuse : la calcitonine diminue la résorption osseuse ostéoclastique en diminuant immédiatement l’activité et à plus long terme, le nombre d’ostéoclastes.
      La calcitonine a également une action antalgique par un double mécanisme, périphérique d’une part, et vraissemblablement aussi central, soit direct, par augmentation des bêta-endorphines, soit indirect par fixation sur des récepteurs spécifiques et un effet neuromodulateur. Elle a des propriétés vasomotrices.
      Cette calcitonine de saumon est un polypepetide constitué de 32 acides aminés d’origine synthétique qui a des propriétés pharmacologiques schématiquement identiques aux calcitonines de mammifères, mais son activité par milligramme est nettement supérieure (multipliée par 25 à 50), et sa durée d’action semble un peu plus longue.

    1. ***
      – maladie de Paget en poussée évolutive, compliquée ou douloureuse.
      – Hypercalcémies d’origine diverses : hypercalcémie idiopathique du nourrisson, hypervitaminose D, hypercalcémie d’immobilisation , hyperparathyroïdie, hyperthyroïdie, myélome multiple (maladie de Kahler) et métastases osseuses.
      – Traitement du syndrome fracturaire au cours du tassement vertébral ostéoporotique, aigu, récent et douloureux.
      – Algodystrophies.
      – Hyperphosphatasémies familiales.
    2. MALADIE DE PAGET
    3. HYPERCALCEMIE
    4. OSTEOPOROSE(PREVENTION)
    5. ALGODYSTROPHIE
    6. HYPERPHOSPHATASEMIE FAMILIALE

    1. NAUSEE
      S’atténuent ou disparaissent généralement avec la poursuite du traitement, peuvent survenir lors des premières administrations avec toutes les calcitonines.
    2. VOMISSEMENT
      S’atténuent ou disparaissent généralement avec la poursuite du traitement, peuvent survenir lors des premières administrations avec toutes les calcitonines.
    3. DOULEUR ABDOMINALE
      S’atténuent ou disparaissent généralement avec la poursuite du traitement, peuvent survenir lors des premières administrations avec toutes les calcitonines.
    4. DIARRHEE
      S’atténuent ou disparaissent généralement avec la poursuite du traitement, peuvent survenir lors des premières administrations avec toutes les calcitonines.
    5. BOUFFEE VASOMOTRICE
      S’atténuent ou disparaissent généralement avec la poursuite du traitement, peuvent survenir lors des premières administrations avec toutes les calcitonines.
    6. HYPERSENSIBILITE GENERALISEE
      Hormone polypeptidique, la calcitonine peut provoquer, dans de très rares cas, des réactions d’hypersensibilité locales ou généralisées. Dans ce cas, le traitement devra être interrompu.

    1. ENFANT
      Chez l’enfant, l’administration de calcitonine sera limitée à des périodes thérapeutiques de quelques semaines, en raison d’un risque théorique de troubles de la croissance osseuse.
    2. GROSSESSE
      Bien que les résultats de tératologie expérimentale chez l’animal soit négatifs ces données ne permettent pas d’anticiper des résultats dans l’espèce humaine. La calcitonine ne semble pas passer la barrière placentaire. Par prudence, ne pas prescrire chez la femme enceinte.
    3. ALLAITEMENT
      Il n’y a pas de données sur le passage dans le lait maternel, par prudence, l’allaitement est déconseillé pendant le traitement.

    1. ALLERGIE A LA CALCITONINE DE SAUMON

    Traitement

    DES REACTIONS SEVERES DUES A UN SURDOSAGE N’ONT PAS ETE, DANS
    L’ETAT ACTUEL DES CONNAISSANCES, RAPPORTEES. L’ADMINISTRATION
    SOUS-CUTANEE DE 1000 U.I. PEUT ENTRAINER NAUSEES ET VOMISSEMENTS.
    LE TRAITEMENT EST SYMPTOMATIQUE.

    Voies d’administration

    – 1 – SOUS-CUTANEE

    – 2 – INTRAMUSCULAIRE

    – 3 – INTRAVEINEUSE

    – 4 – INTRAVEINEUSE(EN PERFUSION)

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    – Maladie de Paget en poussée évolutive ou compliquée :
    En général une injection quotidienne par voie sous-cutanée ou intramusculaire dont la durée est fonction de l’évolution clinique et biologique.
    Dans certains cas, la posologie
    peut être portée à deux injections par jour, lorsque la poussée évolutive le nécessite.
    – Hypercalcémies :
    . en cas de crise hypercalcémique, par voie intra-veineuse lente sur six heures, dans cinq cents ml de soluté isotonique ou de sérum
    physiologique ;
    . dans le traitement prolongé des états chroniques hypercalcémiques, par voie sous-cutanée ou intramusculaire, à raison de quatre UI par kg et par jour, réparties en quatre injections. Selon la gravité, cette dose peut être portée à huit
    UI par kg.
    – Traitement du syndrome fracturaire au cours du tassement vertébral ostéoporotique, aigu, récent et douloureux :
    cinquante à cent UI/jour pendant quinze jours.
    – Algodystrophies :
    . en traitement d’attaque : pendant dix jours à trois
    semaines, quatre-vingts UI à cent UI par jour.
    . en traitement d’entretien : quatre-vingts à cent UI par jour, trois fois par semaine.
    – Hyperphosphatasémies familiales : pendant toute la durée nécessaire quatre-vingts à cent UI par jour.
    .
    Mode
    d’emploi :
    . Voie injectable, sous-cutanée ou intramusculaire ou en perfusion.
    . La posologie est variable selon le poids des malades, l’indication, la sévérité de la maladie et la réponse au traitement.
    . Les mêmes posologies sont utilisées chez
    l’adulte et l’enfant.


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