ZOPICLONE GNR 7.5 mg comprimés pelliculés sécables

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ZOPICLONE GNR 7.5 mg comprimés pelliculés sécables

Introduction dans BIAM : 11/5/2000
Dernière mise à jour : 13/11/2000

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : COMPRIMES PELLICULES SECABLES

    Usage : adulte, enfant + de 15 ans

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : GNR-PHARMA

    Produit(s) : ZOPICLONE GNR

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 29/12/1999
    2. publication JO de l’AMM 11/4/2000
    3. mise sur le marché 20/4/2000

    Présentation et Conditionnement

    Conditionnement 1

    Numéro AMM : 352980-1

    1
    plaquette(s) thermoformée(s)
    5
    unité(s)
    PVC/PVDC/alu
    blanc

    Evénements :

    1. agrément collectivités 24/3/2000
    2. inscription SS 24/3/2000


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 24
    mois

    CONSERVER A TEMPERATURE < 25 DEGRES
    A L’ABRI DE LA LUMIERE

    Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 5.34 F

    Prix public TTC : 11.11 F

    TVA : 2.10 %

    Conditionnement 2

    Numéro AMM : 353442-3

    1
    plaquette(s) thermoformée(s)
    14
    unité(s)
    PVC/PVDC/alu
    blanc

    Evénements :

    1. agrément collectivités 24/3/2000
    2. inscription SS 24/3/2000


    Lieu de délivrance : officine et hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 24
    mois

    CONSERVER A TEMPERATURE < 25 DEGRES
    A L’ABRI DE LA LUMIERE

    Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 12.34 F

    Prix public TTC : 20.90 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. HYPNOTIQUE-SEDATIF (CYCLOPYRROLONE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : N05C-F01.
      La zopiclone est un hypnotique apparenté aux benzodiazépines. Il appartient à la famille chimique des cyclopyrrolones.
      Ses propriétés pharmacologiques sont celles des benzodiazépines : anxiolytique, sédatif, hypnotique, anticonvulsivant, myorelaxant.
      Ces effets peuvent être expliqués par une action agoniste sélective du complexe récepteur macromoléculaire GABA-oméga (BZ1 et BZ2) modulant l’ouverture du canal chlore.
      Chez l’homme, la zopiclone augmente la durée et améliore la qualité du sommeil, diminue le nombre de réveils nocturnes et de réveils précoces.
      Ces effets sont associés à un profil électro-encéphalographique caractéristique, différent de celui des benzodiazépines. Les études d’enregistrement du sommeil ont montré que la zopiclone diminue le stade I, prolonge le stade II, respecte ou prolonge les stades de sommeil profond (III et IV) et respecte le sommeil paradoxal.
      * Propriétés pharmacocinétiques :
      Absorption :
      L’absorption de la zopiclone est rapide : les concentrations maximales sont atteintes en 1 h 30 à 2 heures et s’élèvent à environ 30, 60 et 115 ng/ml respectivement après administration de 3.75 mg, 7.5 mg et 15 mg. La biodisponibilité est de l’ordre de 80%.
      L’absorption n’est pas modifiée par l’heure de la prise ou la répétition des doses ni selon le sexe.
      Distribution :
      La distribution du produit est très rapide à partir du compartiment vasculaire. La fixation aux protéines plasmatiques est faible (environ 45%) et non saturable. Le risque d’interactions médicamenteuses lié à une défixation protéique est très faible.
      Décroissance plasmatique : entre 3.75 mg et 15 mg, la décroissance plasmatique est indépendante de la dose.
      La demi-vie d’élimination est d’environ 5 heures.
      Après administration répétée, il n’y a pas d’accumulation et les variations individuelles paraissent très faibles.
      Les benzodiazépines et molécules apparentées passent la barrière hémato-encéphalique, ainsi que dans le placenta et le lait maternel. En cas d’allaitement, la cinétique de la zopiclone dans le lait maternel est superposable à celle du plasma. Le pourcentage estimé de la dose ingérée par le nourrisson n’excèderait pas 0.2% de la dose administrée à la mère par 24 heures.
      Métabolisme :
      La zopiclone est fortement métabolisée au niveau du foie.
      Parmi les métabolites, les 2 principaux sont le dérivé N-oxyde (pharmacologiquement actif chez l’animal) et le dérivé N-déméthylé (pharmacologiquement inactif chez l’animal). Leurs demi-vies apparentes évaluées à partir des données urinaires sont respectivement de 4 h 30 et 7 h 30, en accord avec le fait qu’ils n’ont pas montré d’accumulation significative à doses répétées (15 mg) pendant 14 jours. Chez l’animal, il n’a pas été mis en évidence d’induction enzymatique, même à fortes doses.
      Elimination :
      La faible valeur de la clairance rénale de la zopiclone inchangée (en moyenne 8.4 ml/min) comparée à la clairance plasmatique (232 ml/min) indique que la clairance de la zopiclone est essentiellement métabolique. Le produit est éliminé par voie urinaire, 80% environ, sous forme de métabolites libres (dérivés N-oxyde et N-déméthylé) et, par les fèces, 16% environ.
      Populations à risque :
      – Sujet âgé : le métabolisme hépatique diminue légèrement et la demi-vie a une valeur moyenne de 7 heures. Malgré cela, différentes études n’ont pas mis en évidence d’accumulation plasmatique de la zopiclone lors d’administrations répétées.
      – Insuffisant rénal : aucune accumulation de la zopiclone ou de ses métabolites n’a été décelée après utilisation prolongée. La zopiclone franchit la membrane de dialyse.
      – Cirrhotique : la clairance plasmatique de la zopiclone est nettement diminuée par ralentissement de la déméthylation, la posologie devra donc être adaptée.

    1. ***
      – Insomnie occasionnelle.
      – Insomnie transitoire.
      – Insomnie chronique.
    2. INSOMNIE

    1. GOUT AMER
    2. SOMNOLENCE
    3. BAISSE DE LA VIGILANCE
    4. CONFUSION MENTALE
    5. ASTHENIE
    6. CEPHALEE
    7. VERTIGE
    8. FAIBLESSE MUSCULAIRE
    9. ATAXIE (EXCEPTIONNEL)
    10. DIPLOPIE (EXCEPTIONNEL)
    11. TROUBLE DIGESTIF
    12. TROUBLE DE LA LIBIDO
    13. REACTION CUTANEE
    14. REACTION PARADOXALE
      réactions paradoxales et de type psychiatrique :
      Certains symptômes contraires aux effets recherchés ou de type psychiatrique peuvent apparaître au cours de la prise de benzodiazépines et apparentés :
      – aggravation de l’insomnie, cauchemars,
      – nervosité, irritabilité, agitation, agressivité, accès de colère,
      – idées délirantes, hallucinations, comportement inapproprié et autres troubles du comportement.
      Dans ce cas, le traitement doit être interrompu.
      Ces symptômes sont plus susceptibles d’apparaître chez le sujet âgé et chez l’enfant.
    15. AMNESIE ANTEROGRADE
      Une amnésie antérograde peut survenir à dose thérapeutique. Le risque augmente à posologie élevée. Elle peut s’accompagner dans certains cas de troubles du comportement.
    16. SYNDROME DE SEVRAGE
      L’utilisation de benzodiazépines et apparentés peut entraîner le développement d’une dépendance physique ou psychique.
      Au-delà de la dose thérapeutique, le risque de dépendance augmente avec la dose, la durée du traitement et l’association avec une benzodiazépine. Il est aussi plus important chez des patients ayant des antécédents de dépendance alcoolique ou de toxicomanie. Ces patients devront faire l’objet d’une surveillance attentive.
      En cas de dépendance physique, l’arrêt brutal du traitement pourra s’accompagner de symptômes de sevrage : insomnie, céphalées, douleurs musculaires, anxiété, tension, agitation, confusion et irritabilité.
      Dans les cas sévères, les symptômes suivants peuvent apparaître : déréalisation, dépersonnalisation, hyperacousie, engourdissement et picotement des extrémités, hypersensibilité à la lumière et à tout contact physique, hallucinations et crises convulsives.
      Les symptômes de sevrage peuvent se manifester dans les jours qui suivent l’arrêt du traitement.
      On a pu noter que dans le cas d’utilisation régulière de benzodiazépines et apparentés à durée d’action brève, certains symptômes de sevrage pouvaient survenir entre deux prises consécutives, particulièrement lorsque la posologie est forte.
    17. INSOMNIE(REBOND)
      L’interruption d’un traitement hypnotique peut entraîner un rebond d’insomnie transitoire : réapparition de manière exagérée de l’insomnie qui a motivé le traitement.
      Il peut également s’accompagner d’autres symptômes comme modification de l’humeur, anxiété et agitation.
      Ce syndrome apparaît principalement lors de l’arrêt brutal d’un traitement prolongé ou à dose supérieure aux doses recommandées.
      Il convient donc de réduire la dose progressivement et d’en informer le patient.

    1. MISE EN GARDE
      Accoutumance :

      Une certaine perte d’efficacité peut survenir au cours de l’utilisation répétée durant plusieurs semaines de benzodiazépines et apparentés, bien qu’aucun cas d’accoutumance notable n’ait été rapporté avec la zopiclone.

      Il convient de ne pas augmenter la dose.

      Dépendance :

      L’utilisation de benzodiazépines et apparentés peut entraîner le développement d’une dépendance physique ou psychique.

      Au-delà de la dose thérapeutique, le risque de dépendance augmente avec la dose, la durée du traitement et l’association avec une benzodiazépine. Il est aussi plus important chez des patients ayant des antécédents de dépendance alcoolique ou de toxicomanie. Ces patients devront faire l’objet d’une surveillance attentive.

      En cas de dépendance physique, l’arrêt brutal du traitement pourra s’accompagner de symptômes de sevrage : insomnie, céphalées, douleurs musculaires, anxiété, tension, agitation, confusion et irritabilité.

      Dans les cas sévères, les symptômes suivants peuvent apparaître : déréalisation, dépersonnalisation, hyperacousie, engourdissement et picotement des extrémités, hypersensibilité à la lumière et à tout contact physique, hallucinations et crises convulsives.

      Les symptômes de sevrage peuvent se manifester dans les jours qui suivent l’arrêt du traitement.

      On a pu noter que dans le cas d’utilisation régulière de benzodiazépines et apparentés à durée d’action brève, certains symptômes de sevrage pouvaient survenir entre deux prises consécutives, particulièrement lorsque la posologie est forte.

      Rebond d’insomnie :

      L’interruption d’un traitement hypnotique peut entraîner un rebond d’insomnie transitoire : réapparition de manière exagérée de l’insomnie qui a motivé le traitement.

      Il peut également s’accompagner d’autres symptômes comme modification de l’humeur, anxiété et agitation.

      Ce syndrome apparaît principalement lors de l’arrêt brutal d’un traitement prolongé ou à dose supérieure aux doses recommandées.

      Il convient donc de réduire la dose progressivement et d’en informer le patient.

      Amnésie :

      Les benzodiazépines et apparentés peuvent entraîner une amnésie antérograde. Elle survient le plus souvent quelques heures après la prise du produit.

      C’est pourquoi il est conseillé de prendre le médicament immédiatement avant le coucher et de se mettre dans les conditions les plus favorables pour une durée de sommeil ininterrompue de plusieurs heures.

      Réactions paradoxales et réactions de type psychiatrique :

      Certains symptômes contraires aux effets recherchés ou de type psychiatrique peuvent apparaître au cours de la prise de benzodiazépines et apparentés :

      – aggravation de l’insomnie, cauchemars,

      – nervosité, irritabilité, agitation, agressivité, accès de colère,

      – idées délirantes, hallucinations, comportement inapproprié et autres troubles du comportement.

      Dans ce cas, le traitement doit être interrompu.

      Ces symptômes sont plus susceptibles d’apparaître chez le sujet âgé et chez l’enfant.
    2. PSYCHOSE
      Les benzodiazépines et apparentés ne sont pas indiqués dans le traitement principal des psychoses.
    3. DEPRESSION
      Les benzodiazépines et apparentés ne doivent pas être utilisés seuls pour traiter la dépression ou l’anxiété liée à la dépression. Il convient de mettre à la disposition de ces patients la plus faible quantité de médicament.
    4. ALCOOLISME
      La plus grande prudence est recommandée en cas d’antécédents d’alcoolisme.
    5. DEPENDANCE
      La plus grande prudence est recommandée en cas d’antécédents d’autres dépendances, médicamenteuses ou non.
    6. INSUFFISANCE RESPIRATOIRE
      Chez l’insuffisant respiratoire, il convient de prendre en compte l’effet dépresseur des benzodiazépines et apparentés, d’autant que l’anxiété et l’agitation peuvent constituer des signes d’appel d’une décompensation de la fonction respiratoire.
    7. GROSSESSE
      Les études chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effet tératogène. En l’absence d’effet tératogène chez l’animal, un effet malformatif dans l’espèce humaine n’est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l’espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l’animal au cours d’études bien conduites sur deux espèces.

      En clinique, il n’existe pas actuellement de données en nombre suffisant pour évaluer un éventuel effet malformatif ou foetotoxique de zopiclone lorsqu’elle est administrée pendant la grossesse.

      En conséquence, par mesure de précaution, il est préférable de ne pas l’utiliser pendant le premier trimestre de la grossesse.

      Il est recommandé, si possible, d’utiliser les doses minimales de zopiclone au cours du dernier trimestre de la grossesse. En effet, il existe une possibilité de survenue, à la naissance, d’hypotonie, d’hypothermie et de détresse respiratoire chez le nouveau-né de mère traitée par des benzodiazépines et apparentés à dose élevée. Après quelques jours à quelques semaines d’âge peut apparaîter un syndrome de sevrage.
    8. CONDUCTEURS DE VEHICULES
      Sédation, amnésie, difficultés de concentration, troubles visuels et troubles musculaires peuvent altérer la capacité à conduire des véhicules ou à utiliser des machines.

      Si la durée de sommeil est insuffisante, le risque d’altération de la vigilance est encore accru.

    1. HYPERSENSIBILITE A CE PRODUIT
    2. INSUFFISANCE RESPIRATOIRE SEVERE
    3. INSUFFISANCE HEPATIQUE SEVERE
    4. SYNDROME D’APNEE DU SOMMEIL
    5. ENFANT DE MOINS DE 15 ANS (relative)
    6. ASSOCIATION A L’ALCOOL (relative)
    7. ALLAITEMENT (relative)
      L’administration de benzodiazépines et apparentés pourrait être à l’origine d’effets sédatifs (léthargie, baisse de tonus) chez l’enfant, et cela malgré un passage faible dans le lait maternel. En conséquence, si la prise de ce médicament apparaît indispensable, il convient d’éviter d’allaiter.
    8. MYASTHENIE (relative)
      L’administration de zopiclone aggrave les symptômes de la myasthénie.
      Il est recommandé de ne l’utiliser qu’exceptionnellement et sous surveillance accrue.

    Signes de l’intoxication :

    1. DEPRESSION DU SYSTEME NERVEUX CENTRAL
    2. SOMNOLENCE
    3. COMA
    4. CONFUSION MENTALE
    5. LETHARGIE
    6. ATAXIE
    7. HYPOTONIE MUSCULAIRE
    8. HYPOTENSION ARTERIELLE
    9. DEPRESSION RESPIRATOIRE
    10. MORTALITE AUGMENTEE

    Traitement

    Comme dans tous les surdosages, l’éventualité d’une poly-intoxication doit toujours être envisagée, car elle peut aggraver le pronostic.
    Les signes de surdosage se manifestent principalement par une dépression du système nerveux central pouvant aller de
    la somnolence au coma.
    On retrouve également, dans les cas bénins, des signes de confusion mentale, une léthargie.
    Le pronostic a toujours été favorable pour une mono-intoxication si le sujet a été traité.
    Les cas plus sérieux se manifestent par une
    ataxie, une hypotonie, une hypotension, une dépression respiratoire, rarement un coma, exceptionnellement un décès.
    Au cours de surdosage avec la zopiclone associée à d’autres traitements dépresseurs du SNC ou à l’alcool, une symptomatologie plus sévère
    a été signalée, d’évolution parfois fatale.
    En cas de surdosage, il convient de prendre les mesures habituelles de précaution : transfert en milieu spécialisé, surveillance des paramètres cardiorespiratoires, perfusion de solutions adéquates si
    nécessaire ; en cas de surdosage antérieur à 1 heure, l’induction de vomissement sera pratiquée si le patient est conscient ou, à défaut, un lavage gastrique avec protection des voies aériennes. Passé ce délai, l’administration de charbon activé peut
    permettre de réduire l’absorption.
    L’administration de flumazénil peut être utile pour le diagnostic et/ou le traitement d’un surdosage intentionnel ou accidentel en benzodiazépines.
    L’antagonisme par le flumazénil de l’effet de la zopiclone peut
    favoriser l’apparition de troubles neurologiques (convulsions).

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie usuelle :
    Dans tous les cas, la prise doit avoir lieu immédiatement avant le coucher.
    – Adulte de moins de 65 ans : 1 comprimé à 7.5 mg par jour.
    – Sujet âgé de plus de 65 ans : la posologie recommandée est de 1/2 comprimé par jour et ne peut
    être qu’exceptionnellement portée à 1 comprimé.
    .
    Posologies particulières :
    – Insuffisant hépatique, insuffisant respiratoire non décompensé : la posologie recommandée est de 1./2 comprimé par jour.
    – Sujet insuffisant rénal : il est recommandé de
    commencer le traitement par 1/2 comprimé par jour.
    Dans tous les cas, la posologie ne doit pas dépasser 7.5 mg mg par jour.
    – L’utilisation de ce médicament n’est pas recommandée chez l’enfant, en l’absence d’études.
    .
    Mode d’emploi :
    * Durée du
    traitement :
    Le traitement doit être aussi bref que possible, de quelques jours à 4 semaines maximum, y compris la période de réduction de la posologie.
    – Traitement de 2 à 5 jours en cas d’insomnie occasionnelle (lors d’un voyage, par exemple).

    Traitement de 2 à 3 semaines en cas d’insomnie transitoire (lors de la survenue d’un événement grave par exemple).
    Dans certains cas, il peut être nécessaire de poursuivre le traitement au-delà de 4 semaines, cela ne devrait pas intervenir sans
    réévaluation de l’état du patient.
    * Modalités d’arrêt du traitement :
    – Il convient de prévenir d’emblée le patient de la durée limitée du traitement et des modalités d’arrêt progressif de celui-ci.
    – L’arrêt progressif du traitement permet de
    minimiser le risque de rebond d’insomnie.
    – D’autre part, le patient devra être averti de la possibilité du phénomène de rebond d’insomnie à l’arrêt du traitement, afin de minimiser l’anxiété qui pourrait découler des symptômes associés à cette
    interruption.


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