SOLUPSAN 1000 mg comprimés effervescents

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SOLUPSAN 1000 mg comprimés effervescents

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 3/8/1998

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Forme : COMPRIMES EFFERVESCENTS

    Usage : adulte

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : UPSA

    Produit(s) : SOLUPSAN

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 16/7/1981
    2. publication JO de l’AMM 22/9/1981
    3. mise sur le marché 7/2/1983

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 324784-7

    2
    tube(s)
    10
    unité(s)
    blanc

    Evénements :

    1. agrément collectivités 28/1/1983
    2. inscription SS 28/1/1983


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    TENIR LE RECIPIENT BIEN FERME
    CONSERVER DANS UN ENDROIT SEC
    A L’ABRI DE LA CHALEUR

    Régime : aucune liste

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Prix Pharmacien HT : 15.32 F

    Prix public TTC : 24.60 F

    TVA : 2.10 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    • CARBASALATE CALCIQUE 1272 mg
      Carbasalate calcique(correspondant à 1000 mg d’acide acétylsalicylique).

    Principes non-actifs

    1. ANALGESIQUE-ANTIPYRETIQUE (SALICYLE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : N02B-A15.


    1. – Traitement symptomatique des affections douloureuses et fébriles.
      – Traitement des rhumatismes chroniques inflammatoires et dégénératifs.

    1. BOURDONNEMENT D’OREILLE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      SURDOSAGE
    2. ACUITE AUDITIVE(DIMINUTION)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      SURDOSAGE
    3. CEPHALEE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      SURDOSAGE
    4. DOULEUR ABDOMINALE
    5. ULCERATION GASTRIQUE
    6. HEMORRAGIE DIGESTIVE
      Patente ou occulte, responsable d’une anémie ferriprive.
    7. EPISTAXIS
    8. GINGIVORRAGIE
    9. HEMATEMESE
    10. MELENA
    11. TEMPS DE SAIGNEMENT(ALLONGEMENT)
      Cette action persiste quatre à huit jours après l’arrêt de l’aspirine.
      Elle peut créer un risque hémorragique en cas d’intervention chirurgicale.
    12. OEDEME
    13. URTICAIRE
    14. ASTHME
    15. REACTION ANAPHYLACTIQUE

    1. HEMORRAGIE DIGESTIVE(ANTECEDENT)
    2. ULCERE GASTRODUODENAL(ANTECEDENT)
    3. INSUFFISANCE RENALE
    4. ASTHME
    5. MENORRAGIE
    6. GOUTTE
    7. GROSSESSE
      Bien qu’aucun effet tératogène n’ait été prouve chez la femme enceinte, l’aspirine est à déconseiller au moins dans les trois premiers mois de la grossesse.

      Elle peut retarder la date de l’accouchement et prolonger le travail.

    1. ULCERE GASTRIQUE
    2. ULCERE DUODENAL
    3. HYPERSENSIBILITE AUX SALICYLES
    4. MALADIE HEMORRAGIQUE
      Constitutionnelle ou acquise.
    5. RISQUE HEMORRAGIQUE
    6. GROSSESSE
      Les études effectuées chez l’animal ont mis en évidence un effet tératogène de l’aspirine.
      1 / Données cliniques concernant l’aspect malformatif (premier trimestre) :
      – aspirine en traitement ponctuel : les résultats des études épidémiologiques semblent exclure un effet malformatif particulier de l’aspirine, prise au cours du premier trimestre.
      – aspirine en traitement chronique : il n’existe pas actuellement de données en nombre suffisant pour évaluer un éventuel effet malformatif de l’aspirine lorsqu’elle est administrée en traitement chronique au delà de 150 mg/j pendant le premier trimestre de la grossesse.
      2 / Données cliniques concernant l’aspect foetotoxique (deuxième et troisième trimestres) :
      * pendant les 4ème et 5ème mois, l’analyse d’un nombre élevé de grossesses exposées en traitement bref n’a apparemment révélé aucun effet foetotoxique particulier. Toutefois, seules des études épidémiologiques permettraient de vérifier l’absence de risque.
      * à partir du 6ème mois de la grossesse, l’aspirine à doses antalgiques, antipyrétiques ou antiinflammatoires (> ou = 500 mg/prise et par jour), comme tous les inhibiteurs de synthèse des prostaglandines, peut exposer :
      – le foetus à :
      . une toxicité cardiopulmonaire avec fermeture prématurée du canal artériel et hypertension pulmonaire;
      . un dysfonctionnement rénal pouvant aller jusqu’à l’insuffisance rénale avec oligohydramnios.
      – la mère et l’enfant, en fin de grossesse, à un allongement éventuel du temps de saignement. Cet effet antiagrégant peut se manifester même à très faibles doses.
      En conséquence:
      – pendant les 5 premiers mois de la grossesse :
      . l’aspirine en traitement ponctuel peut être prescrite si besoin,
      . par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser l’aspirine en traitement chronique au delà de 150 mg/j.
      – à partir du 6ème mois de la grossesse :
      . en dehors d’utilisations cardiologiques ou obstétricales extrêmement limitées, et qui justifient une surveillance spécialisée, tout médicament à base d’aspirine est contre-indiquée à partir du 6ème mois.
    7. ALLAITEMENT
      L’aspirine passant dans le lait maternel, l’allaitement est déconseillé.
    8. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
      1 / Associations contre-indiquées :
      – Méthotrexate :
      L’aspirine est contre-indiquée avec le méthotrexate, si celui-ci est utilisé à des doses supérieures à 15 mg/semaine.
      – Anticoagulants oraux :
      Lorsqu’elle est administrée à doses élevées (> ou = 3 g/j), l’aspirine est contre-indiquée avec les anticoagulants oraux.
      2 / Associations déconseillées :
      – anticoagulants oraux (pour des doses d’aspirine < 3 g/j chez l'adulte),
      – d’autres AINS (pour les doses élevées d’aspirine, soit > ou = 3 g/j chez l’adulte),
      – l’héparine,
      – la ticlopidine,
      – les uricosuriques.

    Traitement

    L’intoxication est à craindre chez les sujets âgés et, surtout, chez les jeunes enfants (surdosage thérapeutique ou intoxications accidentelles fréquentes chez les tout-petits) où elle est dramatique et peut être mortelle.
    Symptômes cliniques :

    Intoxication modérée : bourdonnements d’oreille, sensation de baisse de l’acuité auditive, céphalées, vertiges, nausées sont la marque d’un surdosage et peuvent être contrôlés par la réduction de la posologie.
    – Intoxication sévère : fièvre,
    hyperventilation, cétose, alcalose respiratoire, acidose métabolique, coma, collapsus cardio-vasculaire, insuffisance respiratoire, hypoglycémie importante.
    Traitement :
    – Transfert immédiat en milieu hospitalier spécialisé.
    – Evacuation rapide du
    produit ingéré par lavage gastrique.
    – Contrôle de l’équilibre acidobasique.
    – Diurese alcaline forcée, possibilité d’hémodialyse ou de dialyse péritonéale si nécessaire.
    La forme effervescente présente un maximum de sécurité tant par la diminution du
    risque d’absorption massive que par l’obligation d’ingestion d’une quantité d’eau relativement importante favorisant l’élimination rapide.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    Réservé à l’adulte.
    – Affections douloureuses et fébriles :
    25 à 50 mg par kg par jour en 4 à 6 prises
    – Affections rhumatismales :
    50 à 100 mg par kg et par jour en 4 à 6 prises.
    .
    .
    Mode d’Emploi :
    Dissoudre le comprimé
    effervescent dans un verre d’eau.


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