MIDECACINE 200 mg gélules (arrêt de commercialisation)

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MIDECACINE 200 mg gélules (arrêt de commercialisation)

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 30/9/1998

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Autres dénominations :
    code expérimentation – 9164 CM


    Forme : GELULES

    Etat : arrêt de commercialisation

    Laboratoire : CLIN-MIDY

    Produit(s) : MIDECACINE

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 27/9/1976
    2. publication JO de l’AMM 27/5/1977
    3. mise sur le marché 15/5/1978
    4. arrêt de commercialisation 1/6/1991

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 320304-0

    1
    flacon(s)
    12
    unité(s)
    verre

    Evénements :

    1. agrément collectivités 15/4/1978
    2. inscription SS 15/4/1978
    3. inscription liste sub. vénéneuses 15/4/1978
    4. arrêt de commercialisation 1/6/1991
    5. radiation SS 9/9/1993
    6. radiation collectivités 29/9/1993


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    A TEMPERATURE AMBIANTE

    Régime : liste I

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIBIOTIQUE VOIE GENERALE (MACROLIDE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : J01F-A03.
      La Midécamycine est un antibiotique de la famille des macrolides.
      Activité antibactérienne : le spectre antibactérien naturel de la Midécamycine est le suivant :
      – espèces habituellement sensibles :
      streptocoque A ; streptocoque mitis, sanguis ; pneumocoque ; méningocoque ; gonocoque ; bordetella pertussis ; corynebacterium diphteriae ; listéria monocytogènes ; clostridium ; mycoplasma pneumoniae ; chlamydia trachomatis ; legionella pneumophila ; treponemes ; leptospires ; campylobacter ;
      – espèces inconstamment sensibles :
      haemophilus influenzae ; bacteroides fragilis ; vibrio cholerae ; staphylococcus aureus ;
      – espèces résistantes (C.M.I. supérieure à 4 mcg/ml) :
      entérobactériacées ; pseudomonas.
      Lorsque pour une espèce donnée, la notion d’une sensibilité constante des souches n’a pas été établie, seule une étude in vitro de la souche en cause permet de confirmer si elle est sensible, résistante ou intermédiaire.


    1. Elles procèdent de l’activité antibactérienne et des caractéristiques pharmacocinétiques de la Midécamycine. Elles tiennent compte à la fois des études cliniques auxquelles a donné lieu le médicament, et de sa place dans l’éventail des produits antibactériens actuellement disponibles.
      Elles sont limitées :
      – aux infections dues aux germes définis ci-dessus comme sensibles, notamment dans les manifestations :
      . ORL, .bronchopulmonaires, .stomatologiques, .cutanées, .génitales, en particulier prostatiques ;
      – à la prophylaxie de la méningite à méningocoques chez les sujets contacts ;
      – à la chimioprophylaxie des rechutes de RAA.

    1. REACTION ALLERGIQUE CUTANEE
    2. NAUSEE
    3. DOULEUR EPIGASTRIQUE

    1. INSUFFISANCE HEPATIQUE
      L’administration de Midécamycine n’est pas recommandée.

      Si elle est nécessaire elle justifie alors une surveillance régulière des tests hépatiques et éventuellement une réduction de la posologie. En effet la Midécamycine est métabolisée par le foie et éliminée par voie biliaire.
    2. ALLAITEMENT
      La Midécamycine passant dans le lait maternel, une suspension de l’allaitement doit être envisagée.

    1. HYPERSENSIBILITE
      A la Midécamycine.
    2. ASSOCIATION MEDICAMENTEUSE
      – Cisapride : risque majoré de troubles du rythme ventriculaire, notamment de torsades de pointes (diminution du métabolisme hépatique du cisapride par le macrolide).

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    – chez l’adulte : 1200 à 1600 mg par jour.
    – chez l’enfant : 20 à 50 mg/kg/jour.
    La forme gélules est adaptée au traitement chez l’enfant..


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