PROAMPI 500 mg comprimés pelliculés (arrêt de commercialisation)

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PROAMPI 500 mg comprimés pelliculés (arrêt de commercialisation)

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 9/11/1998

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Autres dénominations :
    nom ancien – PONDOCIL 500MG COMPRIMES


    Forme : COMPRIMES PELLICULES

    Etat : arrêt de commercialisation

    Laboratoire : PARKE DAVIS

    Produit(s) : PROAMPI

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 17/11/1975
    2. publication JO de l’AMM 22/7/1976
    3. mise sur le marché 5/9/1977
    4. arrêt de commercialisation 1/8/1998

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 318946-9

    1
    plaquette(s) thermoformée(s)
    12
    unité(s)
    blanc

    Evénements :

    1. agrément collectivités 9/3/1977
    2. inscription SS 9/3/1977
    3. inscription liste sub. vénéneuses 9/3/1977


    Lieu de délivrance : officine

    Etat actuel : arrêt de commercialisation

    Conservation (dans son conditionnement) : 36
    mois

    Régime : liste I

    Réglementation des prix :
    remboursé
    65 %

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIBIOTIQUE VOIE GENERALE (PENICILLINE SPECTRE ELARGI) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : J01C-A02.
      Pénicilline semi-synthétique du groupe A, à large spectre, bioprécurseur de l’ampicilline, antibiotique bactéricide dont le spectre antibactérien naturel est le suivant :
      – espèces habituellement sensibles :
      staphylococcus aureus (souches non productrices de pénicillinase), streptocoques A, streptocoques mitis, streptocoques sanguis, streptocoques D faecalis, pneumocoques, gonocoques, méningocoques, haemophilus influenzae, escherichia coli, proteus mirabilis, salmonella, shigella, leptospires, corynebacterium diphteriae, listeria monocytogenes, clostridium, fusobacterium, Bordetella pertussis, brucella, Vibrio cholerae.
      – espèces résistantes (CMI supérieure ou égale à seize mcg/ml) :
      staphylocoques producteurs de pénicillinase, klebsiella, enterobacter, serratia, proteus rettgeri, providencia, pseudomonas, mycoplasmes, chlamydiae, rickettsies, acinetobacter.
      Lorsque pour une espèce donnée, la notion d’une sensibilité constante des souches n’est pas établie seule une étude in vitro de la souche en cause peut permettre de savoir si elle est sensible, intermédiaire, ou résistante.
      En France, en 1995, 30 à 40 % des pneumocoques sont de sensibilité diminuée à la pénicilline (CMI > 0.12 mg/l). Cette diminution de l’activité intéresse toutes les bêta-lactamines dans des proportions variables, et devra notamment être prise en compte pour le traitement des méningites en raison de leur gravité et des otites aiguës moyennes où l’incidence des souches de sensibilité diminuée peut dépasser 50 %.


    1. Elles procèdent à la fois de l’activité antibactérienne et des caractéristiques pharmacocinétiques de la pivampicilline.
      Elles tiennent compte à la fois des études cliniques auxquelles a donné lieu le médicament et de sa place dans l’éventail des produits antibactériens actuellement disponibles.
      Elles sont limitées aux infections dues aux germes définis ci-dessus comme sensibles notamment dans leurs manifestations :
      – respiratoires
      – ORL et stomatologiques
      – rénales et urogénitales
      – gynécologiques
      – digestives et biliaires
      – la pivampicilline peut être utilisée comme forme de relais dans les infections méningées, septicémiques et endocarditiques.

    1. REACTION ALLERGIQUE
    2. URTICAIRE
    3. EOSINOPHILIE
    4. OEDEME ANGIONEUROTIQUE
    5. GENE RESPIRATOIRE
    6. CHOC ANAPHYLACTIQUE
    7. ERUPTION CUTANEE
      Maculopapuleuse ou exanthémateuse d’origine allergique ou non.
    8. TROUBLE DIGESTIF
    9. NAUSEE
    10. VOMISSEMENT
    11. DIARRHEE
    12. CANDIDOSE

    1. MISE EN GARDE
      Des réactions d’hypersensibilité sévères et parfois fatales (à type de choc anaphylactique ont pu être observées chez des malades traités par les pénicillines.

      Bien que ces accidents soient plus fréquents après injection parentérale, ils peuvent aussi exceptionnellement survenir après ingestion orale des produits.

      L’administration de pénicilline par voie orale nécessite donc un interrogatoire préalable ayant pour but de mettre en évidence des antécédents d’allergie typique aux pénicillines ou aux céphalosporines, ces antécédents contre-indiquent formellement la prescription de pivampicilline.

      De même, la survenue d’un urticaire précoce dès le début du traitement par la pivampicilline traduit une réaction d’hypersensibilité à la famille des pénicillines et doit faire arrêter le traitement.

      Cette réaction d’hypersensibilité contre-indique également l’utilisation ultérieure des autres pénicillines ou des céphalosporines.
    2. INSUFFISANCE RENALE
      Adapter la posologie en fonction de la créatininémie ou de la clairance de la créatinine.
    3. GROSSESSE
      Tenir compte du passage transplacentaire.
    4. ALLAITEMENT
      A fortes posologies, de faibles quantités d’antibiotiques peuvent passer dans le lait maternel.

    1. HYPERSENSIBILITE AUX PENICILLINES
    2. HYPERSENSIBILITE AUX CEPHALOSPORINES
    3. MONONUCLEOSE INFECTIEUSE
      Risque accru d’accidents cutanés.
    4. LEUCEMIE LYMPHOIDE
      Risque accru d’exanthème.
    5. ASSOCIATION A L’ALLOPURINOL
      Risque accru d’accidents cutanés.

    Voies d’administration

    – 1 – ORALE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie Usuelle :
    Adultes et enfants de plus de 12 ans :
    deux comprimés par jour (un matin et soir).
    .
    .
    Posologie Particulière :
    – insuffisance rénale : quand la filtration glomérulaire est inférieure à trente ml/mn : diviser la posologie par
    deux.
    Quand la filtration glomérulaire est inférieure à dix ml/mn diviser la posologie par trois.
    – traitement de relais des septicémies, endocardites, méningites :
    jusqu’à six grammes par jour chez l’adulte et 150 mg/kg/24h chez l’enfant.
    .
    .
    Mode
    d’Emploi :
    Avaler les comprimés sans les sucer ni les croquer, et de préférence au cours des repas ou avec un verre d’eau non gazeuse ou un verre de lait.


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