CLAFORAN 1 g IM poudre et solvant pour solution injectable (Hôp)

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CLAFORAN 1 g IM poudre et solvant pour solution injectable (Hôp)

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 9/3/2001

  • Identification de la spécialité
  • Présentation et Conditionnement
  • Composition
  • Propriétés Thérapeutiques
  • Indications Thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Examens Perturbés
  • Surdosage
  • Voies d’administration
  • Posologie et mode d’administration

    Identification de la spécialité

    Autres dénominations :
    code expérimentation – RU 24 756


    Forme : POUDRE ET SOLVANT POUR SOLUTION INJECTABLE

    Usage : adulte, enfant + de 30 mois

    Etat : commercialisé

    Laboratoire : ROUSSEL DIAMANT

    Produit(s) : CLAFORAN

    Evénements :

    1. octroi d’AMM 1/4/1980
    2. mise sur le marché 17/9/1980
    3. publication JO de l’AMM 27/9/1980
    4. rectificatif d’AMM 18/5/2000

    Présentation et Conditionnement

    Numéro AMM : 323334-8

    1
    ampoule(s) de solvant
    4
    ml

    1
    flacon(s) de poudre
    verre

    Evénements :

    1. agrément collectivités 2/9/1980


    Lieu de délivrance : hôpitaux

    Etat actuel : commercialisé

    Conservation (dans son conditionnement) : 30
    mois

    CONSERVER A TEMPERATURE < 30 DEGRES Régime : liste I

    Prix Pharmacien HT : 57.05 F

    Composition

    Expression de la composition : PAR UNITE DE PRISE

    Principes actifs

    Principes non-actifs

    1. ANTIBIOTIQUE VOIE GENERALE (CEPHALOSPORINE) (principale)
      Bibliographie : Classe ATC : J01D-A10.
      Antibiotique antibactérien de la famille des bêta-lactamines du groupe des céphalosporines de 3ème génération.
      Le spectre d’activité antibactérienne du céfotaxime est le suivant :
      1 / Espèces habituellement sensibles (CMI inférieure ou égale à 4mg/l) :
      Plus de 90 % des souches de l’espèce sont sensibles (‘S’).
      E. coli, Salmonella, Shigella, P. mirabilis, P. vulgaris, Providencia,
      C. diversus, K. oxytoca, M. morganii, Streptocoques,
      S. pneumoniae pénicilline-sensibles, Staphylocoques méticilline-sensibles, H. influenzae, Haemophilus sp., Neisseria y compris N. meningitidis et N. gonorrhoeae,
      B. catarrhalis, Peptostreptococcus, C. perfringens, B. burgdorferi,
      P. multocida, A. hydrophila, C. diphteriae.
      2 / Espèces résistantes (CMI supérieure à 32 mg/l) :
      Au moins 50 % des souches de l’espèce sont résistantes (‘R’).
      Entérocoques, Listeria, Staphylocoques méticilline-résistants,
      P. aeruginosa, P. cepacia, X. maltophilia, A. baumanii, C. difficile, bactéries anaérobies à Gram négatif.
      3 / Espèces inconstamment sensibles :
      Le pourcentage de résistance acquise est variable. La sensibilité est donc imprévisible en l’absence d’antibiogramme.
      Enterobacter, C. freundii, Serratia,Yersinia, K. pneumoniae, S. pneumoniae de sensibilité diminuée ou résistant à la pénicilline.
      Certaines espèces bactériennes ne figurent pas dans le spectre en l’absence d’indication clinique.
      En France, en 1995, 30 à 40 % des pneumocoques sont de sensibilité diminuée à la pénicilline (CMI > 0.12 mg/l). Cette diminution de l’activité intéresse toutes les bêta-lactamines dans des proportions variables, et devra notamment être prise en compte pour le traitement des méningites en raison de leur gravité et des otites aiguës moyennes où l’incidence des souches de sensibilité diminuée peut même dépasser 50 %.
      * Propriétés pharmacocinétiques :
      1 / Distribution :
      Concentration sérique : Chez l’adulte :
      – après injection de 1 g en IV directe, on obtient une concentration supérieure à 100 mcg/ml dès la 5 ème minute ;
      – la perfusion de 1 g en 4 heures conduit à un taux sérique en plateau, voisin de 15 mcg/ml, à partir de la 2 ème heure ;
      – après injection de 1 g en IM, le pic sérique, atteint à la 30 ème minute, est voisin de 24 mcg/ml ;
      – après injection de 500 mg par voie veineuse (en 15 minutes), on obtient une concentration maximale supérieure à 40 mcg/ml au bout de 20 minutes ;
      – après injection de 500 mg en IM, on obtient une concentration maximale de 12 mcg/ml à la 30 ème minute ;
      – les concentrations sériques maximales après injection IV de 15 mg/kg de céfotaxime ne varient pas significativement en tenant compte du degré de l’insuffisance rénale.
      Chez l’enfant :
      – après administration chez l’enfant ou le nourrisson de 25 mg/kg par voie IM ou IV, les taux sériques sont, respectivement, de 25,3 mcg/ml +/- 4,7 au bout d’une demi-heure et de 53,3 mcg/ml +/- 10,3 au bout de 5 minutes.
      2 / Demi-vie d’élimination :
      Chez l’adulte :
      Elle est de l’ordre de 40 min en IV, 80 min en IM.
      La demi-vie d’élimination du céfotaxime est peu modifiée en cas d’insuffisance rénale. Par contre, celle du métabolite désacétyl-céfotaxime devient importante lorsque la clairance de la créatinine est inférieure à 5 ml/min.
      Chez l’enfant :
      Elle est de l’ordre de 1 h environ par voie IM ou IV.
      Elle est environ deux fois plus élevée chez le nouveau-né à terme et jusqu’à 2 à 5 fois plus élevée chez le prématuré.
      3 / Diffusion humorale et tissulaire :
      . Diffusion dans le liquide d’ascite non infecté de malades cirrhotiques : après injection IM de 1 g toutes les 12 heures, les concentrations, variables d’un sujet à l’autre, atteignent leur maximum à la 2 ème heure ;
      une heure après : taux moyen : 7,32 mcg/ml,
      deux heures après : taux moyen : 9,97 mcg/ml.
      . Concentration dans le mucus bronchique : les concentrations les plus élevées sont obtenues à la 3 ème heure en IM et dès la 2 ème heure en IV :
      après 1 g en IM, taux moyen : 1,20 mcg/ml,
      après 2 g en IV, taux moyen : 2,20 mcg/ml.
      – Concentrations moyennes maximales dans les crachats :
      après 2 g en IV : 2,91 mcg/ml +/- 2,08 (à la 2 ème heure),
      après 1 g en IM : 1,33 mcg/ml +/- 0,43 (à la 4 ème heure).
      – Taux moyens dans les tissus bronchique et pulmonaire, une heure après une dose de 2 g IV : ils ont été respectivement de 7,5 mcg/g et de 5,3 mcg/g.
      Trois heures après la dernière injection IM de1 g (posologie : 1 g x 2/jour), la moyenne des concentrations pulmonaires a été de 17,89 mcg/g.
      . Pénétration dans le liquide pleural :
      – chez 6 adultes atteints de pleurésie exsudative recevant 1 g en IV, les concentrations les plus élevées sont obtenues à la 3 ème heure ;
      une heure après : taux moyen : 6,8 mcg/ml +/- 4,9,
      trois heures après : taux moyen : 7,1 mcg/ml +/- 3,5 ;
      – chez 6 enfants atteints de pleurésie purulente et recevant 25 mg/kg toutes les 6 heures par voie IV ou par voie IM, les concentrations maximales étaient obtenues généralement à la 3 ème heure (taux moyen : 3 mcg/ml après IM ; 5,5 mcg/ml après IV) et restaient encore importantes à la 6 ème heure (taux moyen : 2,5 mcg/ml après IM ; 4,4 mcg/ml après IV).
      . Concentration dans le liquide d’otite :
      – chez les enfants recevant 50 mg/kg/jour par voie IM, la concentration, évaluée 1 heure après l’injection du matin, était d’environ 1 mcg/ml ; ce taux persiste en plateau pendant plusieurs heures ;
      – après injection IV, les taux sont de 2 à 3 mcg/ml, mais ils diminuent plus rapidement ;
      – lorsque la dose injectée par voie IM est de 100 mg/kg/jour, les concentrations sont de 15 à 20 mcg/ml.
      . Concentration dans le LCR :
      – chez 4 sujets ayant une méningite, les concentrations ont été de 2,25 à 15,2 mcg/ml, 2 heures après administration de 1 ou 2 g par voie veineuse ;
      – chez 13 enfants atteints de méningite bactérienne d’étiologies diverses, on a observé une concentration maximale de l’ordre de 14 mcg/ml, 1 ou 2 heures après l’injection d’une dose de 25 ou 50 mg/kg par voie veineuse.
      .Concentration dans l’os : les concentrations, variables selon les individus et la dose utilisée, atteignent 15,4 mcg/g avec une posologie de 2 g IM x 3 et 5,4 mcg/g, une heure après une dose unique de 2 g par voie IV.
      . Concentration dans l’humeur aqueuse : chez les sujets atteints de cataracte, recevant 2 g IV, les concentrations obtenues,1 heure après, sont de 0,265 à 2,30 mcg/ml (moyenne : 0,914 mcg/ml).
      . Concentration dans le tissu prostatique : après injection IV de 2 g chez 26 malades, la concentration dans le tissu prostatique atteint une valeur moyenne de 10,12 mcg/g en 30-35 minutes et de 22,46 mcg/g en 90 minutes.
      . Passage dans le lait : 2 à 3 heures après une injection IV de 1 g, la concentration moyenne est de 0,35 mcg/ml +/- 0,09 (extrêmes : 0,25 à 0,52).
      Après la 6 èm heure, ce taux est de 0 à 0,22 mcg/ml.
      – Passage transplacentaire : après 1 g IV, les concentrations obtenues sont les suivantes :
      placenta : < ou = 2,45 mcg/g,
      liquide amniotique : < ou = 3,3 mcg/ml,
      foetus :
      – sérum : < ou = 6,7 mcg/ml,
      – rein : < ou = 6,3 mcg/g,
      – poumon : < ou = 2,4 mcg/g,
      – LCR : < ou = 2,1 mcg/ml.
      Liaison aux protéines : de l’ordre de 20 à 40 %.
      3 / Biotransformation :
      – Il existe dans le sang un dérivé désacétylé dont l’activité varie selon les germes de 1/2 à 1/10 de celle du céfotaxime.
      – Au moins 20 % de la dose injectée sont retrouvés dans les urines des 24 heures sous forme d’un dérivé désacétylé.
      4 / Excrétion :
      . Urinaire : Chez l’adulte :
      – la concentration urinaire est de l’ordre de 1 000 mcg/ml dans les 6 heures suivant l’injection de 1 g par voie IM (élimination de 60 % +/- 4 dans les 24 heures) ;
      – elle est de l’ordre de 1 300 mcg/ml dans les 4 heures suivant l’injection de 1 g par voie IV directe (élimination de 64 % +/- 1,5 dans les 24 heures) ;
      – elle est de l’ordre de 600 mcg/ml dans les 4 heures suivant la perfusion veineuse de 1 g en 4 heures (élimination de 50 % dans les 12 heures) ;
      – la concentration urinaire est de l’ordre de 560 mcg/ml dans les 6 heures suivant l’injection de 500 mg en IM, avec une élimination dans les 24 heures de 61% +/- 6 ;
      – après injection de 500 mg par voie veineuse (en 15 min), l’élimination dans les 24 heures est de 63% +/- 9 ;
      Chez l’enfant :
      – l’excrétion urinaire était, chez 38 enfants (de 3 semaines à 12 ans), après une dose de 25 mg/kg en IV, de 56,3 % +/- 7,8 de la dose administrée, au bout de 6 heures.
      . Biliaire :
      – après injection IM de 500 mg toutes les 8 heures, on obtient un taux moyen de l’ordre de 2 mcg/ml dans la bile hépatique (5 sujets) ;
      – après injection IV de 1 g toutes les 6 heures, on obtient des taux moyens très supérieurs dans la bile vésiculaire (33,7 à 49,3 mcg/ml), mais très faibles dans la paroi vésiculaire : 1 mcg/g (5 sujets).


    1. Elles procèdent de l’activité antibactérienne et des caractéristiques pharmacocinétiques du céfotaxime.
      Elles tiennent compte à la fois des études cliniques auxquelles a donné lieu le médicament et de sa place dans l’éventail des produits antibactériens actuellement disponibles.
      Elles sont limitées aux infections sévères dues aux germes sensibles au céfotaxime en particulier les septicémies, les endocardites et les méningites, à l’exclusion de celles à Listéria monocytogenes.

    1. OEDEME ANGIONEUROTIQUE (RARE)
    2. BRONCHOSPASME (RARE)
    3. CHOC ANAPHYLACTIQUE (RARE)
    4. RASH
    5. PRURIT
    6. URTICAIRE
    7. ERYTHEME POLYMORPHE
      Quelques cas.
    8. SYNDROME DE STEVENS-JOHNSON
      Quelques cas.
    9. SYNDROME DE LYELL
      Quelques cas.
    10. DIARRHEE
    11. COLITE PSEUDOMEMBRANEUSE
    12. EOSINOPHILIE
      Réversible à l’arrêt du traitement.
    13. NEUTROPENIE
      Réversible à l’arrêt du traitement.
    14. THROMBOPENIE
      Réversible à l’arrêt du traitement.
    15. TRANSAMINASES(AUGMENTATION)
      Elévation transitoire des transaminases (ASAT, ALAT).
    16. PHOSPHATASES ALCALINES(AUGMENTATION)
      Elévation transitoire.
    17. TROUBLE RENAL
      Des altérations de la fonction rénale ont été observées avec des antibiotiques du même groupe, surtout en cas de traitement associé avec les aminosides et les diurétiques puissants.
    18. NEPHROPATHIE INTERSTITIELLE (RARE)
    19. ENCEPHALOPATHIE METABOLIQUE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      POSOLOGIES ELEVEES

      Condition(s) Favorisante(s) :
      INSUFFISANCE RENALE

      -une vigilance particulière doit s’appliquer aux patients traités pour méningite.

    20. TROUBLE DE LA CONSCIENCE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      POSOLOGIES ELEVEES

      Condition(s) Favorisante(s) :
      INSUFFISANCE RENALE

      -une vigilance particulière doit s’appliquer aux patients traités pour méningite.

    21. MOUVEMENT ANORMAL
      Condition(s) Exclusive(s) :
      POSOLOGIES ELEVEES

      Condition(s) Favorisante(s) :
      INSUFFISANCE RENALE

      -une vigilance particulière doit s’appliquer aux patients traités pour méningite.

    22. CRISE CONVULSIVE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      POSOLOGIES ELEVEES

      Condition(s) Favorisante(s) :
      INSUFFISANCE RENALE

      -une vigilance particulière doit s’appliquer aux patients traités pour méningite.

    23. DOULEUR AU POINT D’INJECTION

    1. MISE EN GARDE
      La survenue de toute manifestation allergique impose l’arrêt du traitement.

      La prescription de céphalosporines nécessite un interrogatoire préalable.

      L’allergie aux pénicillines étant croisée avec celle aux céphalosporines dans 5 à 10% des cas :

      – l’utilisation des céphalosporines doit être extrêmement prudente chez les patients pénicillino-sensibles ; une surveillance médicale stricte est nécessaire dès la première administration.

      – l’emploi des céphalosporines et des pénicillines est à proscrire formellement chez les sujets ayant des antécédents d’allergie de type immédiat aux céphalosporines. En cas de doute, la présence du médecin auprès du patient est indispensable à la première administration afin de traiter l’accident anaphylactique possible.

      – les réactions d’hypersensibilité (anaphylaxie) observées avec ces deux types de substances peuvent être graves et parfois fatales ;
      – Des diarrhées, graves et persistantes, ont été observées lors de l’utilisation d’antibiotiques appartenant à plusieurs familles. Ces épisodes peuvent être symptomatiques d’une colite pseudomembraneuse qui peut être mortelle et dont le diagnostic repose sur la coloscopie.

      Cet accident, rare avec les céphalosporines, impose l’arrêt immédiat du traitement et la mise en route d’une antibiothérapie spécifique appropriée (vancomycine). L’administration de produits favorisant la stase fécale doit absolument être évitée.

      – Pour cette présentation injectable IM renfermant de la lidocaïne : ne pas injecter par voie intraveineuse.
    2. SURVEILLANCE RENALE
      Il est prudent de surveiller la fonction rénale au cours du traitement en cas d’association du céfotaxime avec des antibiotiques potentiellement néphrotoxiques (aminosides en particulier) ou des diurétiques type furosémide ou acide étacrynique.
    3. INSUFFISANCE RENALE
      En cas d’insuffisance rénale, adapter la posologie en fonction de la clairance de la créatinine ou de la créatininémie.
    4. REGIME HYPOSODE
      Il faut tenir compte de la teneur en sodium du céfotaxime sodique qui est de 2.09 mmol/g (5.5 mg/g).
    5. SPORTIFS
      L’attention des sportifs sera attirée sur le fait que la forme Claforan injectable IM renfermant de la lidocaïne contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage.
    6. GROSSESSE
      Les études chez l’animal n’ont pas mis en évidence d’effet tératogène.

      En l’absence d’effet tératogène chez l’animal, un effet malformatif dans l’espèce humaine n’est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l’espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l’animal au cours d’études bien conduites sur deux espèces.

      En clinique, l’utilisation du céfotaxime au cours d’un nombre limité de grossesses n’a apparemment révélé aucun effet malformatif ou foetotoxique particulier à ce jour. Toutefois des études complémentaires sont nécessaires pour évaluer les conséquences d’une exposition en cours de grossesse.

      En conséquence, l’utilisation du céfuroxime ne doit être envisagée au cours de la grossesse que si nécessaire.
    7. ALLAITEMENT
      Le passage dans le lait maternel est faible (< 5 %), et les quantités ingérées très inférieures aux doses thérapeutiques.
      En conséquence, l’allaitement est possible en cas de prise de ce médicament.

      Toutefois, interrompre l’allaitement (ou le médicament en cas de survenue de diarrhée, de candidose ou d’éruption cutanée.

    1. HYPERSENSIBILITE AUX CEPHALOSPORINES (absolue)
    2. ALLERGIE A LA LIDOCAINE (absolue)
    3. HYPERSENSIBILITE AUX ANESTHESIQUES LOCAUX (absolue)
      De type amide.
    4. PORPHYRIE (absolue)
    5. BLOC AURICULOVENTRICULAIRE NON APPAREILLE (absolue)
    6. CHOC CARDIOGENIQUE (absolue)
    7. ENFANT DE MOINS DE 30 MOIS (absolue)

    1. TEST DE COOMBS
      Une positivation du test de Coombs a été obtenue en cours de traitement par des céphalosporines. Ceci pourrait également survenir chez les sujets traités par le céfotaxime.
    2. GLUCOSE URINAIRE
      Il peut se produire une réaction faussement positive lors de la recherche du glucose dans les urines avec des substances réductrices, mais non lorsqu’on utilise des méthodes spécifiques à la glucose oxydase.

    Traitement

    En cas de surdosage avec les bêta-lactamines, risque d’encéphalopathie métabolique réversible.

    Voies d’administration

    – 1 – INTRAMUSCULAIRE

    Posologie & mode d’administration

    Posologie usuelle :
    Adultes :
    – Trois grammes par jour en moyenne pouvant être portée jusqu’à douze grammes selon la sévérité de l’infection;
    – Dans les infections urinaires, la posologie de deux grammes par jour peut être suffisante
    .
    Posologie
    particulière:
    Chez l’insuffisant rénal :
    lorsque la clairance de la créatinine est supérieure à 5 ml/mn, la dose unitaire restera identique à celle des sujets à fonction rénale normale. Elle sera diminuée de moitié pour une clairance de la créatinine
    égale ou inférieure à 5 ml/mn.
    .
    Mode d’emploi :
    – Voie intramusculaire : injection profonde et en pleine masse musculaire.
    – Recommandation :
    utiliser la préparation extemporanément.
    .Chez l’enfant, la voie intraveineuse est la voie d’administration
    préférentielle.
    Incompatibilité physico-chimique :
    Ne jamais mélanger le céfotaxime avec un autre antibiotique dans la même seringue.


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