HALOPERIDOL THERAPLIX 0.2% solution buvable (arrêt de commercialisation)
HALOPERIDOL THERAPLIX 0.2% solution buvable (arrêt de commercialisation)
Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 14/1/2000
- Identification de la spécialité
- Présentation et Conditionnement
- Composition
- Propriétés Thérapeutiques
- Indications Thérapeutiques
- Effets secondaires
- Précautions d’emploi
- Contre-Indications
- Surdosage
- Voies d’administration
- Posologie et mode d’administration
Identification de la spécialité
Forme : SOLUTION BUVABLE
Etat : arrêt de commercialisation
Laboratoire : THERAPLIXProduit(s) : HALOPERIDOL THERAPLIX
Evénements :
- octroi d’AMM 29/12/1981
- publication JO de l’AMM 21/2/1982
- mise sur le marché 15/11/1982
- arrêt de commercialisation 15/9/1991
Présentation et Conditionnement
Conditionnement 1
Numéro AMM : 325218-5
1
flacon(s)
15
ml
PEEvénements :
- agrément collectivités 26/10/1982
- radiation collectivités 21/8/1991
- arrêt de commercialisation 15/9/1991
Lieu de délivrance : hôpitaux
Etat actuel : arrêt de commercialisation
Régime : liste IConditionnement 2
Numéro AMM : 553089-5
1
flacon(s)
100
ml
PEEvénements :
- agrément collectivités 28/1/1983
- radiation collectivités 12/1/1992
- arrêt de commercialisation 1/3/1992
Lieu de délivrance : hôpitaux
Etat actuel : arrêt de commercialisation
Régime : liste I
Composition
Expression de la composition : EXPRIME POUR :
Volume : 1
ml- HALOPERIDOL 2 mg
- LACTIQUE ACIDE excipient
- PARAHYDROXYBENZOATE DE METHYLE conservateur (excipient)
- PARAHYDROXYBENZOATE DE PROPYLE conservateur (excipient)
- NEUROLEPTIQUE (BUTYROPHENONE) (principale)
Bibliographie : Classe ATC : N05A-D01.
Neuroleptique majeur.
Agit sur : l’agitation, l’agressivité, le délire, les hallucinations.
-
En psychiatrie :
– psychoses aigües :
. bouffées délirantes, . syndrômes confusionnels, . états maniaques.
– psychoses chroniques :
. schizophrénie, avant tout la forme paranoïde, . psychose paranoïde, . psychose hallucinatoire chronique, . paraphrénies, . paranoïas.
- SYNDROME MALIN DES NEUROLEPTIQUES
Suspendre impérativement le traitement. - FIEVRE
Peut être l’un des éléments du syndrome malin et doit alors impérativement entraîner l’arrêt du traitement. - PALEUR
Peut être l’un des éléments du syndrome malin et doit alors impérativement entraîner l’arrêt du traitement. - TROUBLE NEUROVEGETATIF
Peut être l’un des éléments du syndrome malin et doit alors impérativement entraîner l’arrêt du traitement. - SEDATION
- SOMNOLENCE
- DYSKINESIE PRECOCE
Ces phénomènes cèdent à l’administration d’un antiparkinsonien anticholinergique. - TORTICOLIS SPASMODIQUE
Ces phénomènes cèdent à l’administration d’un antiparkinsonien anticholinergique. - CRISE OCULOGYRE
Ces phénomènes cèdent à l’administration d’un antiparkinsonien anticholinergique. - TRISMUS
Ces phénomènes cèdent à l’administration d’un antiparkinsonien anticholinergique. - SYNDROME EXTRAPYRAMIDAL
Cédant partiellement aux antiparkinsoniens anticholinergiques. - DYSKINESIE TARDIVE
Condition(s) Favorisante(s) :
TRAITEMENT PROLONGELes antiparkinsoniens anticholinergiques sont sans action ou peuvent provoquer une aggravation.
- DEPRESSION
Condition(s) Exclusive(s) :
TRAITEMENT PROLONGE - IMPUISSANCE
- FRIGIDITE
- AMENORRHEE
- GALACTORRHEE
- GYNECOMASTIE
- PROLACTINEMIE(AUGMENTATION)
- SYNDROME MALIN
En cas d’hyperthermie, il est impératif de suspendre l’Halopéridol Théraplix 0,2%; cette hyperthermie peut, en effet, être l’un des éléments du syndrôme malin (pâleur, hyperthermie, troubles végétatifs) qui a été décrit avec les neuroleptiques. - RECOMMANDATION
Il convient dans tous les cas de débuter par des doses faibles et de continuer par une posologie progressivement croissante. - CURES D’AMAIGRISSEMENT
Emploi déconseillé. - CONDUCTEURS DE VEHICULES
Il faut tenir compte d’une légère somnolence possible, surtout en début de traitement. - UTILISATEUR DE MACHINE
Il faut tenir compte d’une légère somnolence possible, surtout en début de traitement. - ALCOOL
L’attention des patients sera attirée sur le risque de potentialisation des effets de l’alcool. - EPILEPSIE
Surveillance renforcée (clinique et éventuellement électrique) en raison de la possibilité d’abaissement du seuil épileptogène. - MALADIE DE PARKINSON
Utilisation avec prudence. - SUJET AGE
Chez les sujets âgés en raison de leur importante sensibilité (sédation et hypotension) nécessitant une posologie plus faible. - AFFECTIONS CARDIOVASCULAIRES GRAVES
Prudence, en raison des modifications hémodynamiques, en particulier l’hypotension. - INSUFFISANCE RENALE
En raison du risque de surdosage. - INSUFFISANCE HEPATIQUE
En raison du risque de surdosage.
Traitement
L’hypertonie constitue le symptôme le plus fréquent. Il est antagonisé par les antiparkinsoniens de synthèse.
Voies d’administration
Posologie & mode d’administration
Posologie Usuelle :
– Adultes : un à vingt milligrammes par jour en deux ou trois prises.
– Enfant au dessus decinq ans : la posologie doit être lentement croissante, afin d’apprécier la susceptibilité individuelle particulièrement marquée chez
l’enfant. La dose initiale sera faible, ne dépassant pas deux à cinq gouttes par jour : on augmentera progressivement jusqu’à demi-dose de l’adulte.